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mercredi, décembre 23, 2009

Comme des porcs dans un abattoir

Avortement obligatoire en Chine

Chuck Colson

14 décembre 2009

Autant qu'il soit douloureux de parler de l'avortement obligatoire, nous devons nous prononcer quand nous voyons un mal si monstrueux. Découvrez comment vous pouvez faire votre entendre votre voix.

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Pendant l'Avent, les Chrétiens aiment raconter à leurs enfants l'histoire de Marie, splendide avec l'enfant, arrivant à Bethléem pour donner naissance à son Fils.

C'est une image réconfortante. Mais pour beaucoup de Chinoises, cela leur rappelle d'horribles souvenirs. Les souvenirs de leur propre grossesse qui a fini, pas par l'accouchement, mais par la mort de leur bébé par l'avortement obligatoire.

Une femme chinoise appelée Wujian - pas son vrai nom - a récemment témoigné devant la Commission des droits de l'homme de Tom Lantos sur la politique brutale d'un enfant de la Chine. Il y a quatre ans, Wujian est tombée enceinte d'un bébé illégal conçu sans permis.

Voulant protéger son enfant, Wujian s'est cachée dans une cabane d'un secteur éloigné. Elle était seule et effrayée, mais prenait plaisir à sentir son bébé commencer à bouger dans son sein.

Mais quand les fonctionnaires de l'orthogénie ont appris où elle était, ils ont fait irruption dans la maison et ont traîné Wujian dans un fourgon. Elle a été amenée à un hôpital, où elle a trouvé des douzaines d'autres femmes qui venaient de subir des avortements obligatoires. Certaines pleuraient, certains criaient et une agonisait en se roulait le plancher. Elles étaient, comme l'a dit Wujian, «comme des porcs dans un abattoir.»

Et ensuite ce fut le tour de Wujian. Comme l'infirmière l'a préparait à se faire piquer à l'oxytocin pour provoquer l'avortement, Wujian l'a pria de ne pas le faire. L'infirmière se fâcha. Elle dit à Wujian qu'elle faisait ces procédures chaque jour et que ce n'était apas u;ne grande affaire. «Elle introduisit l'aiguille dans mon utérus,» a dit Wujian. «Ce fut la fin du monde pour moi.»

Le soir suivant, Wujian fut transférée dans une chambre avec des empreintes digitales sanglantes sur le mur laissées par d'autres femmes. Puisque l'injection n'avait pas fait son oeuvre, les docteurs ont opté pour une procédure chirurgicale qui m'est simplement trop horrible à décrire en direct.

Consiente pendant la procédure, Wujian décida alors de mourir. À la fin de la chirurgie, l'infirmière lui montra les restes de la procédure et ensuite, qui furent tout simplement jetés dans une corbeille.


Au fil des mois, la souffrance émotionnelle de Wujian augmenta. Elle ne se pardonnait pas de n'avoir pu sauver son enfant. Wujian fut sauve, cependant, seulement quand ell fut guéri en acceptant le Christ.

Elle a dit la Commission de Lantos: «Je crois que je rencontrerai mon bébé de nouveau au ciel. Si Dieu le permet, je demanderai pardon à mon bébé quand je le verrai dans le ciel.»

Wujian n'est qu'une des centaines de millions de Chinoises qui supportent le mal de l'avortement forcé - ce que le membre du Congrès Chris Smith appelle: «Le viol le plus grave des droits de la femme dans l'histoire de l'humanité.»

Le gouvernement chinois affirme avoir adouci sa politique d'un enfant. C'est un mensonge. En allant sur notre site Web,
BreakPoint.org et nous vous dirons comment signer une pétition demandant au le gouvernement chinois de mettre fin à cette pratique barbare une fois pour toutes.

Et comme nous nous préparons à célébrer la naissance du Christ, nous devons prier pour les femmes comme Wujian, ces mères qui souffrent de voir tous ces bébé chéris assassinés chaque année.

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