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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

dimanche, octobre 18, 2009

COLLÈGE DES MÉDECINS ET SON COMPLOT

Selon le LAROUSSE UNIVERSEL 1 de 1948, voici la définition de l’euthanasie:




[zî] n. f. (du gr. eu, bien, et thanatos, mort). Sommeil
provoqué, quand la mort est imminente, afin d'éviter une agonie douloureuse. Nom donné aussi à une théorie d'après laquelle il serait licite de précipiter la mort des malades incurables, pour leur éviter les souffrances de l'agonie.

Dans le cas qui nous préoccupe, il s'agit de la théorie d’après laquelle il serait licite de précipiter la mort des malades incurables, pour leur éviter les souffrances de l’agonie.

Dans les deux cas, il n’y est pas mentionné que les mourants donnent la permission de se faire assassiner. Pourtant, Patapouf, du Collège des médecins, nous arrive avec une nouvelle définition qui n’a rien à voir avec la réalité.

Il faut savoir que le Collège des médecins est pour l’avortement malgré les risques réels pour la santé morale et physique des femmes qui leur font une confiance aveugle. Tout ce que les médecins veulent, c’est un permi de tuer comme l’agent secret 007 James Bond. Cela n’a rien à voir non plus avec la charité, mais tout à voir avec les coûts de la santé; un patient mort ne coûte rien au gouvernement.

Qui plus est, selon Patapouf du Collège des médecins, la pratique existe déjà. Le Collège des assassins veut l’immunité totale contre les poursuites en justice au civil comme au criminel. C’est ce que Patapouf ne dit pas.

Voici la définition de l’Office de la langue française:




euthanasie n. f.
Équivalent(s) English euthanasia

Définition: Terme réservé à la pratique qui consiste à hâter
la mort d'un malade incurable, dans le dessein d'abréger ses souffrances.

Note(s): Autrefois synonyme de mort calme et sans souffrances.



Intéressant n’est-ce pas? Ce n’est pas tout, ce n’est que l’ébauche de cet article sur le complot du Collège des médecins avec le gouvernement et les politiciens véreux qui militent pour la mort, comme le fait Fanfreluche Duceppe du Bloc Québécois.





Selon le Petit Robert, édition 1972, page 641,l’euthanasie se définit comme suit:


EUTHANASIE [otan.zi). n. f (1771; de eu-, et gr. thanatos «mort») . — 1. Méd. Mort douce et sans souffrance. — 2. Cour. Théorie selon laquelle il est charitable et légitime de provoquer la mort de malades incurables dont la fin est proche, lorsqu'ils souffrent trop. La législation française condamne
l'euthanasie qu'elle considère comme un assassinai.


Cette théorie ne tient pas la route puisque la médecine a les moyens de calmer la douleur pour la rendre supportable, même si ces médicaments peuvent abréger les jours du malade. Ceci dit, si un médecin du Collège des assassins prescrit une dose plus forte que nécessaire, il est difficile de l’accuser de meurtre sans la collaboration d’un autre médecin. Les médecins n’aiment pas témoigner contre d’autres médecins. Autrement dit, un malade est plus en danger de mourir assassiné que d’être terrassé par la maladie avec la mentalité du Collège des assassins et de son porte-parole Patapouf...


Mais le dictionnaire anglais New Webster’s lève encore un peu plus le voile sur les intentions humanistes du Collège des assassins et de son Patapouf, du maudit bon monde:

euthanasia n. the deliberate, painless killing of persons who suffer from a painful and incurable disease or condition, or who are aged and helpless (Gk fr. eu-, good + thanatos, death]

«Who are aged and helpless» veut dire les vieux sans défense, et nous pouvons ajouter: qui coûtent cher au gouvernement, d’où la poussé pour avoir un permis de tuer. Les assassins ont déjà un permis de tuer les bébés avant l’accouchement, ils en veulent un autre pour tuer avant la mort naturelle.

24 septembre 2009

Cent médecins contre l'euthanasie


Valérie GaudreauLe Soleil

(Québec) Une centaine de médecins québécois s'opposent farouchement à l'euthanasie, qu'ils associent à rien de moins qu'«un droit de tuer».

«Faire mourir le patient n'est pas une solution humaine pour soulager les situations dramatiques de douleur et de souffrances terminales», écrit le Dr André Bourque, chef du département de médecine générale du CHUM dans une lettre ouverte qui résume le contenu d'un mémoire remis au Collège des médecins le 31 août et signé par les médecins Joseph Ayoub, Catherine Ferrier, François Lehmann et José Morais. Mais en entrevue, le Dr Bourque assure que le groupe a l'appui d'une centaine de médecins, consultés par courriel.

Pourquoi cette sortie publique sur l'euthanasie maintenant? C'est que le mois prochain, le conseil d'administration du Collège des médecins doit se prononcer sur la position du Groupe de travail en éthique clinique qui, en mai, a recommandé que l'euthanasie puisse faire partie des soins appropriés dans certains cas. Le comité avait été mandaté en 2006 et sa recommandation porte uniquement sur l'euthanasie et non sur le suicide assisté.

Décision en octobre

À la mi-octobre, le C.A. du Collège des médecins décidera s'il accepte ou rejette cette ouverture à l'euthanasie ou s'il demande de poursuivre la réflexion.

Aussi, dans les prochaines semaines, la députée du Bloc Québécois Francine Lalonde présentera le projet de loi privé C-384 voulant qu'un médecin ne commet pas un homicide s'il aide une personne à mourir après un consentement lucide.

Dans ce contexte, le Dr André Bourque a jugé urgent de faire connaître son opposition. Selon lui, mettre fin à la vie n'est tout simplement pas une solution devant la souffrance. Les progrès dans la médication et l'évolution des soins palliatifs permettent maintenant de voir venir le dernier jour sans douleur.

Quant à la souffrance de l'âme, le Dr Bourque estime que la demande à mourir est plutôt «un cri du coeur» de quelqu'un qui demande de la sympathie. «Lorsqu'ils sont bien entourés, la grande majorité va changer d'idée», explique-t-il en assurant que sa démarche n'est liée à aucune conviction religieuse.

Plus globalement, les auteurs du mémoire craignent qu'ouvrir la porte à l'euthanasie ne change la perception sur les gens atteints de maladies chroniques ou de handicaps sévères. «Ces personnes en viendraient à avoir le sentiment qu'elles sont un fardeau indu pour les proches ou la société», écrivent les médecins qui appréhendent aussi une «érosion de la relation médecin-patient». «Le médecin ne deviendra plus seulement celui qui guérit ou réconforte, mais celui qui donne la mort.»

Les auteurs du mémoire soutiennent de plus que Collège des médecins n'a pas consulté ses membres avant de réfléchir à la question. «Ce qu'on dit est qu'il n'y a pas de presse et qu'il faut faire un débat plus longtemps avant de changer des normes éthiques millénaires», indique le Dr Bourque.

Dans tout ce débat, il ne remet toutefois pas en question l'interruption de traitements, comme enlever l'oxygène à un patient en phase terminale. «Ce n'est pas tuer un malade que d'arrêter un traitement», dit-il.

«Démagogues et honteux»

Pour le travailleur social Yvon Bureau, qui milite depuis 25 ans pour le droit de mourir dans la dignité, les propos de ce groupe de médecins sont tout simplement «honteux». «Ce sont des fondamentalistes prêts à dire des choses pas vraies, lance-t-il. Ils veulent faire peur au monde et faire croire qu'on va donner le droit de tuer. C'est de la démagogie.» M. Bureau se dit toutefois convaincu que «ça ne marchera pas». Dans l'état de l'Oregon, en Belgique et en Hollande, assure-t-il, l'euthanasie est permise sans qu'il y ait eu de dérapages.

Pour lui, encourager ou aider quelqu'un à se suicider doit demeurer un crime. Mais une aide médicale pour mourir, elle, devrait être permise dans un contexte balisé. Il ne croit pas que cela briserait la confiance envers les médecins. «Au contraire, ça pourrait l'améliorer parce que les gens savent que s'ils veulent de l'aide à mourir, ils en auront. Je suis convaincu que les gens se suicident moins quand ils savent qu'il y a de l'aide.»

Les spécialistes sondés

Le Collège des médecins n'est pas la seule organisation qui réfléchit à l'euthanasie. La Fédération des médecins spécialistes (FMSQ) vient aussi de sonder ses membres sur la délicate question.

Mais pour l'instant, impossible de dire de quel côté pencheront les quelque 8000 médecins spécialistes du Québec. «Nous venons tout juste d'avoir les résultats préliminaires. Nous en dirons plus dans quelques semaines», a indiqué la directrice des communications de la FMSQ, Nicole Pelletier.

L'idée d'un sondage est venue dans la foulée de la réflexion amorcée par le Collège des médecins. «On s'est dit que puisque le sujet allait bientôt être sur toutes les lèvres, mieux vaut faire partie du débat que de regarder le train passer», explique Mme Pelletier. Elle précisant que le sondage porte uniquement sur l'euthanasie et non sur le suicide assisté.



Quand un introverti vous dit avoir peur que vous le dérobiez, c’est qu’il a déjà vidé votre compte en banque. Yvon Bureau est un simple travailleur sociale aux idées marxistes dans la ligne dure du culte de mort, point à la ligne. Son discours est typiquement de la gauche. Son vocabulaire se limite à faire des attaques contre la personne en employant des mots typiques go-gauchistes comme: fondamentalistes (pour faire germer l’idée de fondamentalistes religieux comme les Talibans), etc., en plus de soit ne pas savoir de quoi il parle, soit de mentir. Qu’est-ce que mourir dans la dignité? Si Bureau veut se suicider, qu’il le fasse et qu’il cesse de nous écoeurer avec ses idées suicidaires. Mais l’euthanasie fait partie d’un plan beaucoup plus sinistre et global qu’il le raconte, à part les mensonges qu’il raconte.


L’article suivant a été écrit par notre regretté Pierre Marchildon, en 2007. L'euthanasie, l'avortement, le mariage homosexuel, etc, font partie de ce plan diabolique. l'article est long mais très révélateur.

L’UNION NORD-AMÉRICAINE: UNE PERTE DE LA SOUVERAINETÉ

par Pierre Marchildon

Après la création du premier bloc de l’Union nord-européenne, la seconde étape ou second bloc du Nouvel Ordre Mondial comme Partenariat de la sécurité et de la prospérité, est l’incorporation du Canada et du Mexique aux États-Unis. En mars 2005, le Président des États-Unis Georges W. Bush, le Président Vicente Fox du Mexique, et le Premier Ministre Paul Martin du Canada, signèrent ce document dans un commun accord. Les 21 et 22 août 2007, le Premier Ministre actuel, Stephen Harper, rencontra à Montebello, Québec, le Président Bush et le Président Felipe Calderon, du Mexique, pour discuter du partenariat en détail.Ainsi ce continent sera transformé en un pouvoir mastodonte (groupant les trois pays de l’Amérique du Nord), similaire à l’Union européenne qui, en Europe, cause la disparition de la classe moyenne et une augmentation dramatique du coût de la vie.Le Pape Jean-Paul II a condamné ce genre de mondialisation quand il a dit aux membres de la fondation pour l’Éthique et l’Économique, le 17 mai 2001 (http://www.vatican.va/):

«Plusieurs admettent aussi que cela ne garantit pas une juste distribution des biens aux citoyens de différents pays. Ce qui arrive, c’est que les richesses produites sont souvent concentrées entre les mains d’un petit groupe de personnes, ce qui affaiblit davantage la souveraineté des États nationaux. Les nations faibles qui sont synonymes de pays les moins développés sont davantage ébranlées par leur manque d’accès au système mondial qui est maintenant gouverné par quelques centres dirigés par un petit nombre d’entreprises privées. Le libre marché, naturellement, est une caractéristique particulière de notre temps. Cependant il y a des besoins humains indispensables qui ne peuvent pas être laissés à la merci du libre-marché au risque d’être mis de côté.»

The Council on Foreign Relations (Conseil des Relations étrangères)

Le Council on Foreign Relations est un des architectes majeurs du Nouvel Ordre Mondial, un groupe qui promeut la mondialisation dans tout l’univers et qui a des membres de haut rang dans l’ensemble des partis politiques. Dans leur propre plan présenté en mai 2005, le Council on Foreign Relations donne un compte-rendu intitulé La construction d’une communauté nord-américaine et il déclare:

«La recommandation principale du Groupe de travail est d’établir d’ici 2010 une communauté économique et sécuritaire en Amérique du Nord, dont les limites seraient définies par un tarif douanier commun et un périmètre de sécurité externe.» (Page 53-54).

Un des co-présidents du Groupe de travail, Bill Weld, était aussi gouverneur du Massachusetts. Il est pro-avortement, pro-homosexuel et un Républicain libertaire, partisan de l’anarchie.En d’autres mots, il n’y aurait ni barrières ni douanes qui resteraient entre les pays, mais il y en aurait seulement dans le périmètre extérieur; l’union des pays deviendrait ainsi l’Union nord-américaine avec les mêmes principes que l’Union européenne.

«Ses limites (de l’Union nord-américaine) seront définies par une barrière douanière commune et un périmètre extérieur de sécurité à l’intérieur duquel la circulation des personnes, des produits et des capitaux sera légale, harmonieuse et sécuritaire. Son but sera de garantir une Amérique du Nord libre, juste et
prospère.»(Page 61).

Si le Partenariat de la sécurité et la prospérité a le pouvoir de contrôler les mouvements du commerce, des investissements, de l’éducation et de la production, alors nous, comme peuples, nous n’aurons rien à dire dans l’administration de nos pays.Voici un exemple de ce qui arrive dans l’Union européenne, aujourd’hui: quand on a posé des questions au Ministre des Affaires étrangères de l’Allemagne, Klaus Kinkel, au sujet du peuple qui n’avait pas désiré le remplacement de leur monnaie nationale par l’Euro, il répondit:

«Les politiciens devraient avoir le courage de prendre des décisions… contre la volonté du peuple.»

Ainsi la démocratie et la souveraineté nationale seront compromises et l’Union nord-américaine introduira l’Amero qui sera une monnaie unique sous le modèle de l’Euro.Après l’Amero, on voudra introduire une société sans monnaie pour les trois nations, et les transactions dans ce système électronique de haute-technologie dévoileraient vos allées et venues ainsi que des informations personnelles.En 1986, la loi de l’Europe unie était signée dans le but de créer

«un territoire sans frontières internes dans lequel la circulation libre des biens, personnes, services et capitaux est assurée selon les clauses de ce Traité».

Le Partenariat de la sécurité et la prospérité utilise presque les mêmes expressions que la loi de l’Union européenne quand il affirme:

«Pour rendre l’Amérique du Nord prospère dans l’avenir, il faut cultiver l’efficacité de la circulation des personnes, des biens et des services qui traversent nos frontières.»

Ce plan du Partenariat de la sécurité et la prospérité n’est pas appuyé ou même bien connu par les citoyens de nos pays; mais il est plutôt secondé et connu par les quelques compagnies mondiales qui en bénéficieront.

En Europe, le coût élevé de la vie provoque la disparition de la classe moyenne. Le Fonds Monétaire International a déclaré que le haut taux de chômage demeure un problème majeur en Europe, spécialement depuis que les systèmes économiques adoptèrent l’union monétaire (l’Euro), le 1er janvier 1999.

De la Pologne, il y a eu une immigration massive vers l’Angleterre, au-delà d’un million et demi de Polonais ont traversé les frontières pour aller chercher du travail. Aux États-Unis, l’ex-Président Bush avait proposé une politique de porte ouverte avec le même scénario pour l’Union nord-américaine.

Alors, qui bénéficiera de cela? L’élite supérieure qui comprend entre autres: le Council on Foreign Relations, les Bilderbergers, les Illuminati et le Comité des 300. L’Union nord-américaine a été créée en cachette et est déjà en bonne voie d’être mise sur pied avec l’aide de nos représentants et de nos gouvernements élus qui ont recours au Partenariat de la sécurité et la prospérité et à l’Accord du libre échange nord-américain.

Un des membres du Council on Foreign Relations est Zbigniew Brzezinski qui a écrit un livre intitulé Technotronic Era (L’ère de la technétronique). Il échange des vues sur différentes manières de contrôler les États-Unis et finalement le monde entier via les Nations-Unies. Il a puisé ses idées et informations dans aucun autre document que celui du Comité des 300 qui traite du plan d’une dictature mondiale. Brzezinski remplissait alors le rôle de Conseiller de la Sécurité Nationale auprès du Président Jimmy Carter et il est membre de la direction du Comité des 300 et du Council on Foreign Relations.

Plusieurs d’entre nous croyaient que notre gouvernement ne pouvait pas envisager une telle union des pays en un seul gouvernement, mais maintenant cela devient rapidement une réalité et nous ne pouvons pas ignorer plus longtemps les preuves que nous avons sous les yeux. Le Docteur Itmar Issing, un des membres du Conseil de la Banque centrale européenne, a dit que:

«Dans tous les pays où l’Euro a remplacé la monnaie nationale, ils ont cessé d’exister comme territoires séparés. Il n’y a plus d’Allemagne ni de France ni de Belgique. C’est tout simplement l’Europe.»

Ces hommes ont alors en main les moyens pour transformer un Etat qu’ils trouvent non conforme à l’Union. Le rapport du Council on Foreign Relations, Building a North American Communauty (Construire une Communauté nord-américaine), ajoute:

«Bien que chaque pays doive retenir son droit d’imposer et de maintenir des
règlements uniques, conformes à ses priorités nationales et au niveau des
revenus, les trois pays devraient s’efforcer de faire converger leurs
réglementations.

«Les trois dirigeants ont souligné l’importance d’aborder cette question au sommet du mois de mars 2005, au Texas. Le Partenariat nord-américain de sécurité et de prospérité pour l’Amérique du Nord qu’ils ont signé, reconnaît la nécessité de se concentrer davantage sur le développement de la force économique du continent en plus d’assurer la sécurité. A cette fin, il met beaucoup d’emphase sur les questions de réglementation. Les cadres supérieurs des trois pays ont mis sur pied une série de groupes de travail dirigés par des ministres désignés du Cabinet. Ces groupes de travail ont pour mandat de produire un plan
d’affaire pour approbation par les chefs de gouvernements dans les 90 jours, avant la fin du mois de juin 2005 et de faire des comptes-rendus réguliers par la suite.» (Page 85).

En 2005, le Groupe de travail a autorisé la publication de ses recommandations pour l’Union de l’Amérique du Nord dans les puissants media, avec des références mineures à ce sujet. Dans les journaux, il y a eu des articles sur le sujet sans entêtes (pour ne pas attirer l’attention). C’est ainsi que (les promoteurs de l’Union nord-américaine) gardent la population dans l’ignorance de leurs intrigues.

Dans un rapport daté du 24 mai 2007 provenant de Washington, nous avons appris par le Centre des Études stratégiques et internationales que le rapport final des plans pour l’Union nord-américaine devait être soumis au Congrès de septembre 2007.

Pour ceux qui ne le savent pas, l’Accord du libre échange nord-américain (ALENA) a été créé pour promouvoir les objectifs de l’Union nord-américaine. L’économie mexicaine est contrôlée par l’Accord du libre-échange nord-américain. Les Mexicains cherchent des emplois en dehors de leur pays comme cela arrive dans l’Union européenne. Récemment un témoignage d’un immigrant mexicain, de Can Cun, a été publié dans un journal en vue:

Si c’était vrai que le libre-échange est bon pour le Mexique, nous ne serions pas ici.

La super autoroute de l’ALENA

Le dernier projet des mondialistes est la soi-disant «super autoroute de l’ALENA, — qui serait une autoroute allant du Mexique au Canada. Vous pouvez voir sur le diagramme que cette autoroute relierait littéralement tout le continent de l’Amérique du Nord. Les mondialistes disent que les échanges seraient plus faciles, plus vites et plus efficaces et feraient un énorme impact sur le monde financier. Ils projettent, d’implanter des systèmes d’identification électroniques de haute technologie pour traverser plus facilement les frontières de chaque pays, en utilisant des moyens électroniques dans la marchandise elle-même. Les étiquettes RFID qui sont maintenant encouragées et utilisées seront nécessaires, selon l’Accord du libre échange nord-américain pour identifier les produits qui seront expédiés dans les autres pays.

En septembre 2006, le Congressiste Ron Paul, candidat républicain pour la présidence, opposé à la super autoroute de l’Accord du libre échange nord-américain, a dit:

Cette super autoroute relierait le Mexique, les Etats-Unis et le Canada, en traçant une large bande au centre du Texas et à travers la ville du Kansas. Des embranchements relieraient la principale artère à la côte ouest des Etats-Unis, la Floride, et au nord-est. Des personnes proposent une autoroute colossale à
dix voies, la largeur de plusieurs champs de footballs, avec des voies ferrées et des voies pour la marchandise, des câbles fibre optique, des pipe-lines d’huile et de gaz naturel le long de l’autoroute.

Tout ce projet exigera des travaux exorbitants pour le fédéral et les Etats, (pour les provinces, les municipalités) à une échelle sans précédent, puisque des millions de gens, de commerces devront être déménagés. La perte de communautés entières est presque certaine puisque ceux qui exécuteront les plans
de l’autoroute d’une étendue de milliers de milles, ne pourront pas contourner une ville attrayante, un monument historique ou la maison d’un citoyen âgé.

Le Gouverneur Perry, du Texas, est un partisan du projet de la super autoroute et le Congrès de Washington a fourni des petits montants pour l’étude de la proposition. Etant donné que cette question d’argent était seulement un point dans ce projet de lois de finance concernant les énormes déplacements, la majorité des membres n’y portèrent pas attention.

Le but final n’est pas simplement une super autoroute, mais l’établissement de l’Union nord-américaine — parachevée avec une monnaie (unique), une bureaucratie s’étendant dans les trois pays et des déplacements effectivement sans frontières dans l’Union. Comme l’Union européenne, une Union nord-américaine représenterait un autre pas vers l’abolition complète de la souveraineté nationale. — Ron Paul

Sous ce régime terroriste, de nouvelles technologies seront nécessaires pour améliorer les buts sécuritaires communs et promouvoir la circulation légitime des gens et des biens d’un pays à l’autre, par l’établissement d’une frontière «intelligente (1) et sécuritaire» avec un système de localisation GPS (2) de haute technologie. Plusieurs camionneurs américains seraient remplacés par des Mexicains parce que les conducteurs mexicains sont payés 25% à 50% de moins que les conducteurs des États-Unis.

Cette super autoroute sera construite et financée en partie par une compagnie de construction d’autoroutes de Madrid, Espagne, appelée Cintra. Les propriétaires de cette compagnie possèdent plusieurs autoroutes avec des postes de péage, comprenant la 407 à Toronto, en Ontario. Au Texas, l’autoroute, appelée maintenant Trans-Texas Corridor, est évaluée au montant de 184 000 000 000$ et sera environ de 4 000 miles (6 437 kilomètres) de longueur. Cintra a investi dans ce projet et a promis de contrôler le péage pendant les 50 premières années. En mars 2002, le Gouvernement Perry, du Texas, a rencontré le Gouverneur du Mexique et ils signèrent une entente pour étendre l’autoroute Trans-Texas Corridor à l’intérieur du Mexique, lequel bénéficiera des compagnies mondiales.

Un État policier

The real Id act (loi d’identification réelle) a pour but, dit-on, de détourner le terrorisme. Le mécanisme final en matière du maintien de l’ordre dans l’Union nord-américaine est un État policier consolidé par des lois antiterroristes. Ces lois antiterroristes sont seulement des moyens trompeurs pour dépouiller le peuple de ses libertés afin de promouvoir une soi-disant sécurité (puisque nous serons épiés comme si nous étions tous des terroristes). Une partie du plan de ce Groupe de travail Canada-États-Unis-Mexique est d’établir une union-douanière à la grandeur du continent avec un accès commun au commerce, à l’énergie, l’immigration, et d’imposer une loi du maintien de l’ordre et de sécurité qui éliminerait effectivement les frontières nationales qui existent actuellement.

En mai 2005, le Président Bush a signé le Real ID Act qui sera appliqué en 2009. Cette carte ou licence sera indispensable pour traverser les frontières des États-Unis. Elle sera également obligatoire pour les comptes de banque, pour obtenir une sécurité sociale ou un autre service du gouvernement. Sans cette carte munie d’une puce électronique, vous ne pourrez même pas pénétrer dans l’édifice du gouvernement ni monter dans un avion.

Le Département de la Sécurité Homeland (patrie) propose «d’établir un minimum de normes pour les licences des conducteurs fournies par l’État et pour les cartes d’identification que les Agences fédérales accepteraient. Ce règlement propose des normes pour répondre au minimum des exigences du REAL ID Act of 2005: informations et caractéristiques de sécurité qui doivent être inscrites dans chaque carte, informations requises pour établir l’identité et le statut d’immigration du requérant avant qu’une carte puisse être émise, et des normes de sécurité physique aux endroits où les licences des conducteurs et les cartes d’identification adéquates sont émises».

«Chaque année, l’expansion (le cheminement vers l’union des pays) continuera d’admettre des milliers de policiers ou soldats aux frontières», dit un rapport du Département de la Sécurité Homeland. On est porté à se demander pourquoi ces planificateurs exigent un effectif militaire si puissant aux frontières de l’Amérique.

En plus de cette extra force armée, les mesures de sécurité comprennent une technologie avancée qui facilitera l’application des lois du maintien de l’ordre et des enquêtes dans le domaine de la criminalité et de la sécurité. En réalité, tout ce qui n’est pas conforme à l’Union nord-américaine peut être interprétée comme un comportement criminel.

Loi de l’Insurrection

Le Président Bush a signé une loi en novembre 2006 qui permet au Président actuel des États-Unis d’imposer la loi martiale. La révision de la Insurrection Act (Loi de l’Insurrection) permet maintenant au Président des États-Unis de déclarer l’état d‘urgence publique, de stationner des troupes partout en Amérique et de mobiliser les soldats de la Garde nationale sans le consentement ni l’approbation des autorités locales avec l’intention ou le dessein de supprimer le désordre public.

Un Partenariat tripartite permettra aussi à deux pays de faire avancer les questions débattues, (contestées, discutées) telles que l’euthanasie, le mariage de même sexe, et de créer un climat qui incitera le troisième pays à accepter cela plus tard. Un exemple classique de l’influence de l’Union européenne sur la question de l’avortement est le récent conflit de l’Union européenne avec la Pologne à l’occasion du congrès mondial des familles parce que celle-ci s’opposait à l’avortement.

L’Élite mondiale veut enlever toutes les frontières entre les pays dans le but de faciliter les échanges, etc. Le 13 novembre 1993, le Président Bill Clinton a dit que l’Accord du libre-échange nord-américain s’étendrait rapidement et engloberait non seulement le Mexique mais aussi le reste de l’Amérique latine. À cause de l’effondrement économique, plusieurs pays de l’Amérique du sud, tels que l’Équateur, El Salvador, le Panama et les Iles Vierges Britanniques ont été forcés de remplacer leur monnaie souveraine pour le dollar américain qui les met déjà sous le contrôle des banquiers internationaux. La nouvelle étape sera le dollar «Amero». Les autres nations ont réussi à garder leur monnaie mais elles luttent économiquement.

La solution proposée par Bush et les banquiers internationaux est d’exhorter le Congrès à établir une loi pour l’Accord du libre-échange de l’Amérique centrale. Ensemble, l’Accord du libre-échange de l’Amérique centrale et l’Accord du libre-échange nord-américain créeraient un immense bloc économique par l’union des Amériques, une Union américaine qui nous conduirait dans la voie du Gouvernement Mondial. L’administration Bush visait aussi le Moyen-Orient comme nouveau continent dans le développement démocratique. Cela signifie le groupement des pays soi-disant libérés du Moyen-Orient conformément à l’Accord du libre=échange du Moyen-Orient qui a été proposé et approuvé par le Congrès des États-Unis en 2003.

Tous ces nouveaux droits humains sont appuyés par la Constitution mondiale des Nations unies qui l’emporte sur notre constitution. Il nous suffit de regarder ce qui arrive en Europe, où la situation s’aggrave chaque année dans chaque pays forcé d’accepter la culture de mort par l’avortement, l’euthanasie, etc. Informons-nous nous-mêmes de cette question et transmettons le message à tous ceux qui nous entourent. Les vrais patriotes doivent connaître ce qui arrive avant qu’il ne soit trop tard pour faire quelque chose à ce sujet. La souveraineté nationale de notre pays est en jeu. Soit que nous entrions dans le nouveau centenaire avec un État policier mondial électronique ou que nous y entrions comme êtres humains libres. Tout dépend de l’engagement que nous prenons actuellement. Prévenir c’est se prémunir. Faites-vous un devoir de commander des circulaires pour informer la population et alerter les citoyens du complot secret du Council on Foreign Relations, du Comité des 300 et des Illuminati.

Qu’est-ce que l’Accord du libre-échange nord américain?

Le 14 septembre 1993, le Président Bill Clinton signa une entente pour une proposition appelée l’Accord du libre-échange nord-américain. Il avait promis au peuple américain que cette entente (ALENA) créerait plus d’emplois aux États-Unis, mais en réalité, en 2006, la politique de l’ALENA coûta la perte de millions d’emplois.

Plusieurs personnes ne réalisent pas que la vraie fonction de l’Accord du libre-échange nord-américain n’a rien à faire avec la création d’emplois, mais c’est plutôt une partie d’un plan destructeur pour acheminer notre gouvernement vers un Nouvel Ordre Mondial qui a été recommandé par plusieurs prédécesseurs de Clinton. L’ex-Président Georges H. W. Bush a admis dans plusieurs discours qu’il était grandement en faveur de cette idée.

Voici ce qui met le plus d’obstacles à cette fusion des différents pays impliqués: on enlèvera à chaque pays le privilège de voir eux-mêmes aux tarifs et quotas, ensuite on ajoutera des tarifs externes communs à toutes les nations par l’établissement d’une union-douanière. La nouvelle étape est la création d’un marché universel où tous les biens, les services et les gens des pays peuvent se déplacer librement. Autrement dit, une union sans frontières.

Pierre Marchildon

Notes:(1) Un système de contrôle intelligent très complexe qui permet de capter des données touchant le transport routier et par conséquent aux points de contrôle, de restituer aux utilisateurs et intervenants des informations susceptibles d’améliorer la gestion du trafic et de sécurité.

(2) Système de localisation qui permet, à un moment précis, de déterminer une position géographique en se servan de signaux émis par des satellites placés en orbite autour de la Terre, vers un appareil récepteur situé sur le site à localiser. [Office de la langue française]

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