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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

vendredi, mars 06, 2009

PROLOGUE A LA PREMIÈRE ÉDITION


Il n'est pas possible de dissimuler que le thème du présent livre est extrêmement difficile et extrêmement passionnant.

Difficile, parce que le peuple juif remplit toute l'histoire de Dieu et des hommes. Quelle période de l'histoire peut-on écrire sans mentionner ce peuple? Sans mentionner ce peuple en le glorifiant ou en le condamnant, mais on est forcé d'en faire mention. "Il y a deux mystères de l'histoire, a dit un écrivain juif (Ed. Fleg, Jésus raconté par le juif errant, p 177): Jésus est un mystère comme Israël est un mystère! Et quand vous mettez ensemble ces deux mystères, voulez-vous que je vous dise ce qui sè passe? Il y a un troisième mystère plus mystérieux à lui seul que les deux autres!"

Passionnant parce que, qui peut s'occuper du juif sans un sentiment d'admiration ou de mépris, ou des deux à la fois? Peuple qui un jour nous apporta le Christ, peuple qui le répudia, peuple qui s'infiltra au sein des autres peuples, non pour vivre ensemble avec eux mais pour dévorer insensiblement leur substance; peuple toujours dominé, mais peuple toujours rempli d'un désir insolent de domination.

Plus passionnant encore maintenant parce que la domination de ce peuple, ici et partout, devient chaque jour plus effective. Parce que les juifs dominent nos gouvernements comme les créanciers leurs débiteurs. Et cette domination se fait sentir dans la politique internationale des peuples, dans la politique interne des partis, dans l'orientation économique des pays; cette domination se fait sentir dans les Ministères d'Instruction Publique, dans les plans d'enseignement, dans la formation des Maîtres, dans la mentalité des universitaires; la domination juive s'exerce sur la banque et sur les consortiums financiers, et tout le mécanisme complexe de l'or, des devises, des paiements, se déroule irrémédiablement sous cette puissante emprise; les juifs dominent les agences d'information mondiale, les rotatives, les revues, les publications, de sorte que la masse bâtit sa mentalité d'après les moules judaïques; les juifs dominent dans le vaste secteur des loisirs, et ainsi, ils imposent les modes, contrôlent les lupanars, monopolisent le cinéma et les stations de radio, de sorte que les coutumes des chrétiens sont en train de se modeler selon leurs impositions.

Où ne domine pas le juif? Ici, dans notre pays, quel point vital de notre zone y a-t-il, où le juif ne bénéficie du meilleur de notre richesse en même temps qu'il empoisonne notre peuple avec ce qu'il y a de plus néfaste dans les idées et les loisirs? Buenos Aires, cette grande Babylone, nous en offre un exemple typique. Chaque jour son essor est plus grand, chaque jour aussi y est plus grande la puissance judaïque. Les juifs contrôlent ici notre argent, notre blé, notre maïs, notre lin, nos viandes, notre pain, notre lait, nos industries naissantes, autant que cela peut rapporter utilement, et en même temps ce sont eux qui sèment et fomentent la haine entre patrons et ouvriers chrétiens, entre bourgeois et prolétaires; ce sont eux les agents les plus passionnés du socialisme et du communisme; ce sont eux les capitalistes les plus puissants de ce qu'il peut y avoir de dancings et de cabarets à infecter la ville. On dirait que tout l'argent que nous raflent les juifs, de la fertilité de notre sol et du travail de nos bras, est ensuite investi pour empoisonner nos intelligences et corrompre nos cœurs.

Et ce que nous observons ici s'observe en tout lieu et en tout temps. Toujours le juif, emporté par la frénésie de la domination mondiale, rafle les richesses des peuples et sème la désolation. Voici deux mille ans qu'il apporte à cette tâche la ténacité de sa race, et maintenant, il est sur le point d'atteindre à une effective domination du monde.

Quand on pense que ce peuple proscrit, qui sans s'assimiler vit au milieu de tous les peuples, à travers les vicissitudes les plus diverses, toujours et partout intact, incorruptible, sans pouvoir être confondu, conspirant contre tous, quand on pense que ce peuple est le lignage le plus grand de la terre!


Le lignage le plus grand, parce que ce lignage a une histoire indestructible de six mille ans. Le lignage le plus grand, parce que le Christ, Fils du Dieu vivant, y a pris chair.

Eh bien ce peuple, qui, ici et partout, maintenant et dans les vingt siècles de civilisation chrétienne, remplit tout, malgré qu'il soit une minorité infinitésimale, quelle origine a-t-il? Comment et pourquoi se perpétue-t-il? Quel sort lui incombe dans l'histoire? Quelle attitude faut-il adopter face à lui? Voilà ce que j'espère expliquer dans les chapitres qui suivent.

Je dis: expliquer, parce que ces pages ont la prétention d'être une explication du juif, et, dans ce cas, la seule possible, une explication théologique. La théologie est la science des mystères de Dieu. Les mystères de Dieu sont les jugements insondables du Très-Haut qui nous sont connus lorsque Lui-même daigne nous les manifester. Sans leurs manifestations nous ne pourrions même jamais les entrevoir.

Or, le juif, comme l'enseigne la théologie catholique, est l'objet d'une vocation très spéciale de Dieu. C'est seulement à la lumière théologique qu'on peut expliquer le juif. Ni la psychologie, ni les sciences biologiques ni même les pures sciences historiques ne peuvent expliquer ce problème du juif, problème universel et éternel, qui remplit l'histoire par ses trois dimensions, problème qui par sa condition même, requiert une explication universelle et éternelle, qui soit valable aujourd'hui, hier, et toujours. Explication qui, comme Dieu, doit être éternelle, c'est-à-dire, théologique.

Sera-t-il nécessaire de faire remarquer que ces leçons, qui touchent au vif un sujet brûlant, ne sont pas en soi destinées à justifier l'action sémite ni l'action antisémite? Ces deux termes tendent à rapetisser un problème plus profond et plus universel. Dans le problème judaïque, ce n'est pas Sem qui lutte contre Japhet, mais Lucifer contre Jéhovah, le vieil Adam contre le nouvel Adam, le Serpent contre la Vierge, Caïn contre Abel, Ismaël contre Isaac, Ésaü contre Jacob; le Dragon contre le Christ. La théologie catholique, en même temps qu'elle répandra la lumière sur "le mystère ambulant" qu'est tout juif, indiquera les conditions de la vie en commun entre juifs et chrétiens, deux peuples frères qui doivent vivre séparés jusqu'à ce que la miséricorde de Dieu dispose de leur réconciliation.

Buenos Aires 1936


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