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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

mercredi, mars 04, 2009

CONCLUSIONS THÉOLOGIQUES

Je ne sais si j'aurai réussi à exposer avec force l'opposition théologique, c'est-à-dire, arrangée par Dieu, qui doit exister à travers l'histoire chrétienne entre la Synagogue et l'Église, entre chrétiens et juifs, entre Isaac et Ismaël, entre Jacob et Ésaü.

Dans les deux chapitres suivants, j'étudierai historiquement ces relations entre juifs et chrétiens. L'indispensable ici est de laisser consignées les conclusions théologiques à la lumière desquelles on doit interpréter l'histoire.


PREMIÈRE CONCLUSION - Le peuple juif, dont le destin fut de nous apporter le Christ, buta sur le Christ. Une partie du peuple crut au Christ, et s'édifia sur Lui pour former les racines et le tronc de l'Olivier qu'est l'Église. Une autre partie du peuple tomba et Le renia en invoquant l'orgueil charnel de la race et de la nation judaïque. Cette partie d'Israël fut rejetée, et porte sur elle le sang du Christ comme malédiction. Cette partie forme le judaïsme proprement dit, qui est héritage et continuation des Rabbins qui rejetèrent le Christ.

Après le Christ, il n'y a, pour les descendants d'Abraham, que deux chemins: ou bien être chrétiens en adhérant au Christ, ou bien être juifs. Celui qui, sciemment, ne se convertit pas sincèrement au Christianisme, est juif, avec toutes les perversités sataniques de la race stigmatisée.


SECONDE CONCLUSION - Le judaïsme est un ennemi déclaré et actif de tous les peuples en général, et d'une manière spéciale, des peuples chrétiens. Il joue le rôle d'Ismaël, qui persécutait Isaac; d'Ésaü, qui cherchait à tuer Jacob; de Caïn, qui donna la mort à Abel. Saint Paul, dans sa Première Epître aux Thessaloniciens, dit que: "Les juifs sont ennemis de tous les peuples".

Remarquons que ceci est terrible et très important. Ils sont ennemis théologiques. C'est-à-dire, ce n'est pas une inimitié locale, ou de sang, ou d'intérêts. C'est une inimitié disposée par Dieu. Les juifs, s'ils sont juifs, c'est-à-dire s'ils ne se sont pas convertis sincèrement au Christianisme, même s'ils ne le veulent pas, chercheront avec des mensonges à faire du mal, à perdre et à corrompre les chrétiens, à s'emparer de leurs biens et à les assujettir comme de vils esclaves. Ils remplissent en cela une fonction théologique comme la remplit le diable, dont ils sont les fils, comme l'exprimait Jésus-Christ, quand il disait aux pharisiens: "Vous êtes fils du diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il fut homicide dès le commencement, et il ne demeura pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui; quand il profère des mensonges, il parle de 1ui-même, parce qu'il est menteur et père du mensonge". (Jean, VIII, 44)


TROISIÈME CONCLUSION - Si les juifs sont des ennemis théologiques, cette inimitié doit être universelle, inévitable, et terrible.

Universelle, parce qu'elle doit s'étendre à tous les peuples, précédant déjà le christianisme, l'accompagnant déjà. Aussi voyons-nous que là où va le christianisme, là aussi vont les juifs. Il n'y a pas moyen de l'éviter, parce que c'est théologique. Le christianisme et le judaïsme doivent se rencontrer partout sans se réconcilier et sans se confondre. Ils représentent dans l'histoire l'éternelle lutte de Lucifer contre Dieu, des ténèbres contre la Lumière, de la chair contre l'esprit. Ils représentent dans le temps l'accomplissement spirituel et l'accomplissement charnel de l'Écriture. La Lettre doit être partout, pour être servante de l'esprit, aussi Saint Thomas nous enseigne-t-il que le juif est serviteur de l'Église.

Inimitié terrible, parce qu'elle est théologique. Dans le juif il y a un mystère, d'iniquité, comme l'enseignent Saint Jérôme et Saint Justin se faisant l'écho de Jésus-Christ et de la prédication apostolique. Ne vous fiez pas au juif, parce qu'il exerce l'inimitié en simulant la bienfaisance. Jésus-Christ les anathématise en les appelant une infinité de fois des hypocrites et des menteurs. Le juif fait du mal sans montrer la main. Les juifs agissent derrière les coulisses, insinue le grand juif Disraéli. Et en cela ils ne font que perpétuer ce qu'ils firent un jour avec le Christ: ils tramèrent contre Lui la conjuration secrète, mais leurs plans, ce furent les gentils qui les exécutèrent. Ainsi l'action judaïque sur le monde se réalise dans l’ombre des conciles secrets, et les personnages qui paraissent régir les peuples ne sont que des marionnettes maniées par ces fils de l'iniquité.


QUATRIÈME CONCLUSION - Depuis que le Christ fut élevé sur le Mont du Calvaire, le monde a été livré à deux forces véritablement opposées: la force juive, et la force chrétienne.

Dans le monde actuel, dans toutes les manifestations de la vie, il ne peut y avoir que deux modes véritablement fondamentaux, deux pôles d'attraction: le chrétien et le juif. Seulement deux religions: la chrétienne et la juive. Seulement deux internationalismes: le chrétien et le juif. Tout ce qui n'est pas du Christ et pour le Christ se fait en faveur du judaïsme. De là vient que la déchristianisation du monde va de pair avec sa judaïsation.

Pourquoi ne peut-il y avoir que ces deux modes? Parce que ce sont les seuls voulus par Dieu. Ce sont les seuls théologiques. Dieu a réparti le monde entre Isaac et Ismaël, entre' Jacob et Ésaü, entre Caïn et Abel, entre le Christ et l'Anti-Christ.

Toutes les forces humaines doivent se replier sur l'un ou l'autre front.
C'est pourquoi aux peuples gentils, à nous qui nous nous sommes vu proposer la vocation à la foi chrétienne, il ne nous reste que deux chemins: ou nous christianiser ou nous judaïser. Prendre part ou bien à l’Olivier de l'Église ou bien à la Vigne stérile du judaïsme. Ou bien être fils de Sarah la femme libre, ou bien d'Agar l'esclave.

Les peuples gentils, s'ils veulent être libres et grands, n'ont pas d'autre solution que d'adhérer à l'Église, humblement. Ils n'ont pas d'autre grandeur dans la liberté que la grandeur incomparable des nations chrétiennes du Moyen-Âge, qui forgea les saints et les héros, qui éleva les cathédrales, qui éduqua les peuples dans la contemplation des saints, qui lui donna le sens de la beauté dans le chant grégorien et les fresques de l'Angelico et du Giotto, qui sublima son intelligence avec la Somme Théologique du Docteur Angélique.

Si les peuples gentils, répudiant cette grandeur comme obscurantiste et sombre, veulent être grands de la grandeur charnelle de Babylone, ils pourront l'être, oui, mais en tant que serviteurs du judaïsme. Parce que les juifs ont la supériorité dans le domaine du charnel.

Et voici que l'histoire nous dit (Werner Sombart en fait la preuve) que la grandeur si vantée du capitalisme anglais et américain n'est qu'une création judaïque. Grandeur charnelle incomparable, mais qui est le travail de millions de chrétiens au bénéfice d'une poignée de juifs.


CINQUIÈME CONCLUSION - L'unique défense, la seule protection des peuples gentils pour ne pas tomber dans l'esclavage judaïque est la vie chrétienne. Parce que seul, le Christ est le Salut de l'homme. C'est pour cela que le Moyen-Âge n'a pas subi la domination des juifs. Les juifs ont été à l'affût, mais sans jamais atteindre la domination.

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