Libellés

Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

dimanche, février 15, 2009

On n'a encore rien vu




L'autre soir je posais la question: «A-t-on raison de dire que le christianisme a fait son temps et doit mourir de sa mort naturelle comme toutes les civilisations qui l'ont précédé?» Je crois pouvoir dire que si le christianisme est à la baisse dans une forte partie du monde, ce n'est pas par la faiblesse de sa doctrine, l'anémie de ses principes ou le caractère périmé de son credo, mais bien par l'intervention violente de forces tyranniques, la conspiration de forces souterraines, la tolérance béate du contrôle politique et social des masses chrétiennes par des éléments antichrétiens ou extrachrétiens. S'il était vrai que cette civilisation chrétienne doit disparaître, il faut admettre que ce sera la dernière dans toute l'histoire humaine, qu'il n'y en aura plus d'autre puisqu'il n'est pas possible d'en imaginer une autre, et que la race humaine sombrera dans un chaos qui la détruira totalement.

Le malaise qui angoisse le monde actuel est assurément voulu. Il est voulu par une volonté consciente qui vise un but précis: le renversement de l'ordre chrétien; qui a infiltré comme un germe nocif tout le corps de cet ordre, qui a une unité de direction et d'action, qui gruge et affaiblit tous les organes du grand corps avant de pouvoir le subjuguer complètement. Tout ce qu'on a vu jusqu'à ce jour est peu de chose en comparaison de ce qu'apportera la troisième et dernière phase de la Révolution Mondiale si bien réussie dans ses deux premières phases par la trahison délibérée ou la molle connivence des chefs d'états chrétiens. Il n'y a pas à s'illusionner. L'ennemi ne renoncera pas à sa colossale puissance acquise dans le corps chrétien et ne cessera pas la bataille qu'il a entreprise uniquement pour nous faire plaisir. Il est lui-même entraîné par les courants vertigineux qu'il a déohaînés sur le monde. L'apprenti-démon n'est pas plus maître de son expérimentation que l'apprenti-sorcier. Si, pour le chrétien, le Christ est tout, a tout, doit être partout et a droit à ce que tout se soumette à Lui, esprits et choses, mondes ou hommes, individus ou col1ectivi,tés, le germe antichrétien toléré dans l'organisme chrétien a pour tâche unique d'éliminer le Christ de tout et de partout. C'est là la réalité de la grande bataille finale amorcée en 1914 et conduite sous des dehors diplomatiques, militaires et économiques. Avec une diabolique séduction, l'ennemi antichrétien gagne même des légions de chrétiens à sa cause, par l'habileté et la puissance de sa propagande, les convainquant que sa haineuse bataille contre la Croix est... une croisade. Ce n'est que par le mensonge qu'il peut les séduire.

Un personnage considérable dans le monde chrétien, S.E. Mgr Antonio Garcia, évêque de Tuy, a longuement étudié cette vaste question; il l'a même vécue durant la guerre civile espagnole, aux fureurs de laquelle il a miraculeusement échappé. Voici comment, il y a à peine trois ans, il résumait ses études et ses recherches: «Il est évident que le conflit actuel est l'une des plus terribles guerres déchaînées par l'Antéchrist, c'est à dire par le Judaïsme, contre l'Église catholique et contre le Christ. Et dans cette crise de l’histoire du monde, la Juiverie utilise deux armées formidables: l'une secrète, nommément la franc-maçonnerie; l'autre, ouverte et avouée, aux mains dégoulinantes de sang, celle des communistes, et de tous les groupemcnts associés, anarchistes, anarcho-syndicalistes, socialistes, aussi bien que les forces auxiliaires:' Rotary, Ligues de bienfaisance, etc., dans lesquelles on prêche l'exclusion du Christ, de Sa moralité, de Sa doctrine, ou dans lesquelles on entend au moins en faire abstraction, comme si Jésus-Christ n'avait pas dit clairement: «Qui n'est pas avec moi est contre moi».

Dans un combat aussi clairement précisé, de quel côté le chrétien se rangera-t-il, s'il ne veut pas pourrir d'inertie et de lâcheté dans le no-man's-land de la toute nouvelle stratégie élaborée pour paralyser les masses populaires: la «fraternité» judéo-chrétienne?


Évidence et Vérité


Le scientisme, forme grandiloquente du naturalisme, est la nouvelle religion que le gauchisme veut imposer au monde, depuis les libéraux avancés comme feu W.L. Mackenzie King jusqu'aux communistes comme Staline et Chou-En-Lai. Cette erreur grossière provient de la matérialisation de la Vérité, quand ce n'est pas sa totale omission. Car l'évidence, la démonstration que la science peut apporter n'est nullement la Vérité. L'évidence de la Nature et ses phénomènes est accessible même aux animaux: lumière, ténèbres, douleur, couleur, chaleur, froid, hauteur, distance, consistance, senteur, goût, foudre, vent, fumée, vapeur, vibrations, etc. Tout ce que l'homme peut faire, de plus que l'animal, c'est d'analyser et mesurer les phénomènes, de constater les lois qui les régissent; mais ni la Nature ni la raison humaine ne peuvent expliquer l'origine, le début de ces lois, qui les a imaginées et imposées. Par contre, la Vérité, inaccessible à tout être dépourvu d'une âme, a sur l'évidence la même supériorité que l'Esprit sur la matière. La Vérité ne concerne que le monde spirituel et les fonctions de l'esprit humain, même lorsqu'il s'agit pour celui-ci d'apprécier des évidences. La Vérité s'identifie à Dieu comme l'évidence s'identifie au monde matérie1. C'est pourquoi le matérialisme, qui nie Dieu, ne peut connaître et encore moins avoir la Vérité. Cela explique comment, en notre ère des plus prodigieux développements matériels, l’homme s'éloigne de la vision de Dieu dans la mesure qu'il s'extasie devant les découvertes humaines, il sombre dans la pénurie spirituelle et morale en proportion de la foi plus exclusive qu'il accorde aux déploiements et transformations de la matière, il erre dans la confusion et le désordre quand il s'imagine que sa science et ses réalisations sont le fondement de l'Ordre sur la terre.

L'évidence scientifique ne peut apporter qu'une vague lueur, par le faible moyen de l'induction, des réalités spirituelles; tandis que la Vérité, connue par la Révélation et acceptée par la Foi, éclaire d'une éblouissante lumière toutes les facultés de l'âme, lui apportant la connaissance de réalités plus saisissantes et plus vivantes que toutes celles du monde matériel, donnant même à ce dernier ses proportions et son sens réels. La physique moderne en est rendue à affirmer que la matière n'est pas autre chose qu'énergie vibratoire dans des modalités aux présentations variées; et cette énergie vibratoire pluriforme et polymanifeste est essentiellement unitaire en même temps que de «composition» trinitaire, que ce soit dans les domaines atomique, électrique, magnétique, moléculaire, etc., dans le jeu des lois d'attraction, cohésion, gravitation, reproduction, etc. Cest à croire qu'il n'y aurait qu'une seule et unique loi régissant le monde, loi de «trinité en unité» qui se présente en des centaines, des milliers de variations et d'aspects différents. Serait-ce parce que l'Auteur de cette loi unique aux manifestations multiples y a gravé sa signature? Pour répondre à cette question, je crois que la Vérité est plus compétente que l'évidence.

La Vérité est une, inchangeante, éternelle, universelle. C’est pourquoi elle est infaillible et reste l’unique source de certitude. Si elle ne s'appliquait qu'en un endroit, une circonstance particulière ou un temps déterminé, ce ne serait pas la Vérité. Dans le monde humain, doué d'esprit, Ia Vérité une et infaillible ne peut reposer qu'en un seul homme, chargé d'une autorité que lui confère l'infaillibilité, autorité que seul a pu transférer Celui qui a pu dire: «Je suis la Vérité».



Matérialisation universelle


La matérialisation de la Vérité en métaphysique, lui substituant l’«évidence scientifique» ccmme seule source de certitude, en a sapé l'autorité. C'est ce que voulait l'ennemi infiltré dans l'organisme chrétien. Encore, si ce n'était que la seule matérialisation effectuée. Toutes les autres autorités qui dépendent de la Vérité dans le domaine physique ont subi le même sort, remplacées graduellement par des usurpations appuyées sur le terrorisme, des préjugés, des haines, des orgueils en révolte, de trafics de consciences.

On a vidé la Charité de sa substance, l'Amour; dans sa coquille creuse, on a injecté l'ersatz inerte de l'«humanisrne», la «fraternité» adéiste et libérale qui n'a rien de supérieur à la simple solidarité instinctive et fragile des animaux d'une même espèce. L'Amour n'y étant plus, son absence laisse le champ libre à l'indifférence, la dureté de coeur, la cruauté. Les guerres modernes en donnent des images effarantes.

Sur le plateau du théâtre mondial, la Justice a fait place à l'arbitraire, comme le démontrent le triste état des nombreux peuples enchaînés, les ignobles farces qu'on a nommées «procès internationaux» et les aberrations statuées aux Nations-Unies. Le Droit a pris un sens unilatéral et est devenu, comme dans le cas de l'usurpation vioLente de Palestine, le Tort glorifié. Deux conceptions opposées de la vie, de la société et de tout ce qui s'y rattache sont engagées dans un combat à finir. À la solennelle affirmation de leur Dieu-Homme: «Vous ne pouvez rien faire sans moi», les peuples occidentaux-chrétiens, par leurs chefs politiques, répondent prétentieusement par un humanisme achrétien qui n'est que la formule de leurs propres ennemis. Et pourquoi tant d'aveuglement? Parce que les masses chrétiennes se laissent béatement guider par des chefs esclaves du camp opposé: franc-maçonnerie, sionisme, marxisme, trinité de moyens qui se rejoignent dans une unité de but final identique.

Les mots ont changé de sens et les terminologies ont pris des signiificationsinverses, ce qui propage constamment la confusion qui existe déjà dans le grand corps chréhen par la présence d'un parasitisme retardataire et déformateur. Prenons le mot «démocratie», qui dans la société humaine (des deux côtés du rideau de fer), est devenu l'impératif suprême et qui a remplacé toute autorité divine grâce à une seule et même propagande. Que signifie donc ce mondial mot de passe, ce verbum tout-puissant? N'importe quoi, du moment que c'est contre le Vrai, le Juste et le Beau. En Russi,e, la «démocratie» justifie l'esclavage de vingt millions d'hommes dans des camps de concentration, la destruction de la religion, de la famille, du droit de propriété. En Palestine, elle béatifie le racisme le plus virulent et le plus sauvage. En France, elle glorifie la désunion et l'instabilité. En Angleterre, elle confirme l'abandon et l'abdication d'un rôle historique appelé «vital, capital» il n'y a pas une décade. En Ghine, elle sanctionne l'usurpation, la tyrannie et le despotisme. En Amérique, elle canonise la ploutocratie, le socialisme, le métissage, l'avilissement des moeurs. Qu'un monarque mange un hot-dog à la Maison Blanche, on le proclame «démocratique». Qu'un prince ou une princesse se rie des lois sacrées du mariage et s'identifie aux caractères les plus scandaleux d'une époqu'e, c'est être «bon démocrate». La propagande antichrétienne qui donne le ton à la vie moderne, sur la note «démocratie», se croirait coupable d'antidémocratie si elle tentait d'élever le niveau moral ou intellectuel des peuples. Sa tâche est de «décrasser les cerveaux»,de toute culture, aes deux côtés du rideau de fer. Sur notre continent, la fabrication des robots en série, sous le signe du jazz et du vertige sportif, l'exaltation des attitudes du gorille et la propagande de la vulgarité, sont les détergents à la mode, avec le culte du bruit incantationnel et les romans-fleuves toujours plus niaiseux. À de courts moments de répit qu'on lui permet, la foule, parce que rien ne peut tuer son esprit, ressent cette profanation de sa dignité et réalise l'omniprésence du mensonge. Elle méprise les autorités qui permettent un pareil état de choses et souhaite secrètement leur renversement.



Deux credos en conflit


La tolérance, qui ne s'appliquait autrefois qu'au mal et à l'erreur (puisque le Bien et le Vrai n'ont pas besoin de tolérance) a été hissée sur le même socle que le droit. L'intérieur et essentiellement spirituel libre arbitre, option consciente et volontaire du mal ou du bien, perd de plus en plus sa raison d'être devant un libéralisme qui accorde un égal respect public au mal comme au bien, au mensonge comme à la vérité. Non seulement les mots ont perdu leur valeur, mais en nombre de cas il faut leur accorder un sens totalement opposé à leur signification primitive. C'est ainsi qu'on qualifie d'«abstrait», «abstraction» ce qui contredit le plus violemment le domaine de l'abstraction, comme ces «arts» révolutionnaires nouveaux dénués d'inspiration, de goût, d'effort spirituel, d'intention, de pensée, de raison et qui se résument à des formes incohérentes, des barbouillages ou des dissonances criardes qui feraient tout simplement rire s'ils provenaient de singes en liberté ou de machines détraquées. Cette «abstraction» envahit jusqu'à nos temples où elle va, par ses caricatures blasphématoires, supplanter la réelle inspiration des Fra Angelico et des Raphaël.

Quand on sait d'où vient tant de perversion et de confusion, et pour quel but désiré, on ne peut en ressentir aucune surprise. Mais ce qui déconcerte et laisse perplexe, c'est de voir à quel degré d'incroyable naïveté les élites chrétiennes, ces groupes formés dans l'orthodoxie doctrinale et préparés à «défendre la forteresse assiégée», tombent plus rapidement que la foule ignorante dans les pièges de la propagande ennemie. Est-ce par désir d'originalité ou goût de la nouveauté qu'une doctrine éternellement vraie est sacrifiée aux sophismes de la conspiration anti-chrétienne? Rien ne sert d'avoir des principes et de proclamer des vérités métaphysiques si, dans leur application pratique aux problèmes de la société humaine, on les fait servir au jeu des forces du mal, à l'avilissement plutôt qu'à l'élévation de l'être humain.

Deux credos se disputent l'adhésion des esprits dans le monde: le credo matérialiste et le credo spiritualiste. Tous deux ont leurs dogmes qui se complètent et forment un tout logique, comme les mailles d'une même chaîne. Dans l'un et l'autre credo, il est impossible de briser ou soustraire un chaînon sans rompre la chaîne elle-même. Dans l'un et l'autre crédo, l'aboutissement final est le même: la béatitude pour l'être humain, un paradis de justice et de fraternité, de bonheur et d'égalité, de paix et d'équité.

Le credo chrétien proclame que l'homme naît avec des penchants mauvais, que la Terre est «une vallée de larmes», que le paradis de béatitude n'existe que dans l'au-delà et ne peut être atteint que par la rédemption dans le Christ. Le crédo matérialiste proclame que l'homme naît bon et n'est corrompu que par son entourage, que la Terre peut devenir un séjour de plaisir, que le paradis de béatitudes est accessible uniquement en ce monde (puisqu'il n'y a pas d'au-delà).

Chacun des deux credos définit les conditions d'admission à son paradis. Le credo matérialiste énumère les siennes, que l'on retrouve et dans le marxisme et dans la franc-maçonnerie et dans le sionisme: élimination de l'idée de Dieu, d'un monde spirituel, de l'âme humaine, du Trône et de l'Autel, de toute religion, du droit de propriété privée, de toute initiative personnelle, de la famille comme cellule fondamentale de la société, de toute idée de patrie, des différences raciales et des frontières nationales. Le paradis ne viendra, après toutes ces destructions, que par un gouvernement mondial de république universelle qui ne connaîtra pas d'opposition et qui fera régner sur le monde la justice, la paix, la fraternité, l'égalité, l'hygiène, la non-richesse, la non-pauvreté, le même confort pour tous et chacun. La parole du Christ, verbum Verbi: «Il y aura toujours des pauvres parmi vous» est une erreur que le matéria1isme se charge de corriger!

L'échéance finale est donc un super-gouvernement de république mondiale, comme se le proposent le marxisme de Moscou, le maçonnico-communisme des Nations-Unies, le sionisme tel que défini dans les «Protocoles» et prouvé par tous les événements contemporains. C'est pourquoi on se demande comment il se peut que des chrétiens non-inféodés aux trois organismes sus-mentionnés peuvent prêcher la nécessité, l'opportunité ou la possibilité d'un même gouvernement mondial de république universelle, comment il est possible que les disciples du Christ peuvent préconiser une même solution que les disciples de Lucifer, comment il peut arriver que l'orthodoxie doctrinale chrétienne puisse conclure dans le même sens que la «doctrine» antichrétienne. C'en est à se demander quelle section du christianisme, même mineure, n'a pas subi la corrosion par l'acide libéral-socialiste-communiste.



Conditions de f'unité


L'unité mondiale, l'unité de l'humanité, toutes les conditions en existent déjà dans le christianisme. C'est le seul plan où peut se réaliser le véritable internationalisme de justice et de paix, pour tous les domaines et toutes les activités. Quel catholique ne reconnaîtra pas les pouvoirs d'un prêtre nègre, jaune, brun, blanc, rouge ou sémite; ne s'inclinera pas devant un évêque de n'importe quelle race ou n'importe quel lieu; n'admettra pas comme son prochain n'importe quel être humain parce qu'il est ou est appelé à devenir un membre du corps mystique du Christ? C'est spirituellement, et de cette façon-là seulement, que la fraternité mondiale est possible, dans une catholicité et un oecuménisme véritables. L'internationalisme ne peut s'imposer et se fonder que sur des bases spirituelles: idéal commun, doctrine commune, éthique commune, conception commune de la justice, du droit, de l'équité, de la paix: tous acceptés librement par tous les hommes; et, en tout cela, qu'il s'agisse d'un wde mondial d'échange des activités spirituelles de l'homme, découvertes ou réalisations religieuses, philosophiques, scientifiques, artistiques, morales, légales et sociales. C'est ce que le christianisme a compris et fait depuis les guinze siècles gu'il mène le monde. Si, par le pouvoir civil des peuples soumis à sa culture, il a fait du colonialisme, ce colonialisme a enseigné aux peuples coloniaux l'art des institutions et de l'organisation, une loi criminelle et un droit civil avancés, l'hygiène curative et préventive, l'application de la science occidentale dans les communications, le transport, le commerce, l'industrie, l'agriculture, la pisciculture et les autres activités importantes. Sans l'expansion de l'idée occidentalo-chrétienne, ces peuples coloniaux n'auraient pas émergé de leur sauvagerie et seraient encore plongés dans la barbarie qui les caractérisait il y a quelques millénaires. Il y a eu de l'exploitation des indigènes? Evidemment, nul ne le cont,este. Il y a deux raisons à cette exploitation. La première, fort raisonnable et acceptable: faire payer à ces indigènes une part mineure de ce qu'on leur donnait. La deuxième: le parasitisme juùf, malheureusement toléré par les chrétiens, qui suçait les indigènes et les colons d'Europe non seulement de leur argent mais aussi de leur sang, dans TOUTES les colonies établies par les Blancs à travers le monde. L'histoire des Amériques nordique, centrale et sudiste, des pays arabes et africains, de l'Inde, de l'Indonésie et la Chine en offrent des exemples saisissants. Il suffit de lire le livre «Jews in Canada» édité dans un accès d'orgueil par le Canadian Jewish Congress, pour savoir gue nos grands-pères canadiens furent victimes de la plus ignoble exploitation par les Juifs David et Abraham Gradis, de Bordeaux, qui avaient arraché au roi de France le privilège exclusif du commerce et de la navigation entre la France et le Canada; dont le sinistre intendant Bigot était l'associé commercial et représentant chez nous; qui communiquaient librement et directement avec Londres pendant la guerre entre la France et l'Angleterre; ,qui, chargés de fournir aux régiments français et milices canadiennes les armes et les munitions pour les campagnes de Montcalm et Lévis, voyaient à ce que leurs nombreux navires de secours fussent interceptés en haute mer par la marine anglaise. Le roi de France paya généreusement en millions sonnants ces marchandises jamais livrées. Cette page de l'histoire canadienne, jamais mentionnée par nos historiens officiels, est tellement sale et perfide que si elle avait été développée comme il convient suivant les faits et la vérité, jamais les Canadiens-français n'auraient accepté qu'un seul Juif fût admis dans notre pays, parce que ces trafiquants juifs et leur ignoble valet Bigot avaient été les SEULS et UNIQUES responsables de la trahison perpétrée contre nos aïeux. Là-dessus, je ne vous donne pas mon opinion personnelle, mais seulement les vantardises officielles de la juiverie canadienne pour se gagner les bonnes grâces du protestantisme anglais (qui ne lui fait pas plus confiance que le catholicisme français, bien qu'i' se sente obligé de subir, lui aussi, son terrorisme moral).


Les béatitudes opposées


L'antithèse du colonialisme a toujours été l'autonomisme, parfois appelé faussement nationalisme. Car le nationalisme est une affirmation positive faite par une cellule vivante autonome et déjà complète, comme l'affirmation de souveraineté que fait une cellule familiale nouvelle. L'antithèse du nationalisme n'est pas l'impérialisme, mais bien l'internationalisme. L'impérialisme peut se justifier par une tutelle nécessaire sur des peuples mineurs et non-évolués; l'internationalisme veut à tort subjuguer et régenter des peuples majeurs et plus évolués que la conspiration internationaliste elle-même. Dans l'histoire humaine, on a vu des peuples localisés et de culture supérieure vouloir constituer puis étendre leur impérialisme; mais l'internationalisme politique n'a pu provenir que d'un peuple non-localisé, internationaliste et bien internationalisé. C'est le peuple juif, il n'y en a jamais eu d'autre à aucune époque connue. Son internationalisme est le seul qui soit matérialiste, en opposition au seul internationalisme spirituel du christianisme; seul il a pu fournir les prophètes, la propagande et les moyens financiers du communisme international qui proclame la possibilité d'un paradis sur terre; seul de tous les peuples et toutes les religions, il a imaginé un Eden terrestre en opposition à l'Eden céleste. À cause de sa dissémination internationale et ses principes talmudistes (déformation grotesque de la Thora), il a été capable d'instaurer d'abord un internationalisme de l'or, du capital-finance qui opère par la Haute Banque Juive Internationale. Celle-ci a ensuite procréé les internationales de la propagande (presse, cinéma, livres, revues, radio, télévision), du commerce international, des monopoles mondiaux de denrées et produits essentiels, de la franc-maçonnerie pour classe supérieure, du marxisme pour classes humbles. Comme tous ces internationalismes peuvent facilement crouler devant une réaction nationale, l'essentiel et dernier internationalisme s'imposait: l'internationalisme, politique qui doit absorber les souverainetés nationales. C'est ainsi que la juiverie mondiale (comme elle s'en vante dans ses plus officielles publications), a utilisé ses trois puissants moyens de la maçonnerie, du marxisme et du sionisme pour imposer à toutes les souverainetés nationales sa souveraineté internationale par la Société des Nations, puis par les Nations-Unies.

L'internationalisme sur le plan matériel (contrôles financier, économique, politique), ou gouvernement mondial, ou «paradis sur terre», est le couronnement pratique de toutes les erreurs du matérialisme. De même le nationalisme sur le plan spirituel: religion pour un seul peuple ou une seule race, vérité localisée, éthique et morale régionales, justice ,et équité géographiques, est la suprême erreur du faux spiritualisme. Cest sur la confusion de ces deux domaines, savamment exploitée, que la juiverie mondiale (religieusement nationaliste) pousse de l'avant son internationalisme destructeur des peuples non-juifs. Non seulement la juiverie est aidée puissamment à diffuser cette confusion par ses instruments du sionisme, de la franc-maçonnerie et du marxisme, mais encore elle compte sur l'aide active d'une forte partie de la chrétienté que cette confusion doit terrasser. Tout ce qu'il faut affirmer et protéger pour parvenir à la béatitude céleste qui couronne le crédo chrétien, il faut le détruire pour obtenir la béatitude terrestre qui couronne le crédo antichrétien. C'est ce que de nombreuses élites chrétiennes, toujours en retard de 50 ans sur la manoeuvre ennemie, ne semblent pas avoir compris; ignorant ou écartant la puissante virilité doctrinale des Pères géants, elles spéculent avec une tapetterie déconcertante et spirituellement efféminée sur les paradoxes de l'adversaire, en avalent une partie, compromettent, marchandent, méli-mélosent et finissent par capituler. On en trouve une autre démonstration dans le catéchisme ultra-moderne imposé dans nos écoles primaires, «nouveauté» d'importation belge, qui condamne le nationalisme sans retour, sur la foi du Mensonge, en lui donnant une définition erronée qu'il n'a jamais eue, et qui en même temps enseigne à nos enfants la «citoyenneté mondiale»: l'idéal rêvé du sionisme, de la maçonnerie et du marxisme. Le catéchisme «moderne» imposé à nos enfants a, sur ce sujet du nationalisme, une particularité frappante: il utilise les termes des rabbins, des vénérables des loges, des athées de l'UNESCO. Il biaise, marche en écrevisse, crochement, et ne peut s'empêcher d'étaler sa mauvaise foi en qualifiant le nationalisme d'«étroit». Exactement comme le Grand Orient, comme le Sanhédrin! Chose curieuse, ce même catéchisme ne qualifie pas l'internationalisme, pas même la Vertu, la Justice, la Beauté, la Pureté, la Foi, la Charité, etc., qui, elles aussi pourraient être «étroites». Dans le harem des subversités judaïques, les eunuques catéchisants belges font vraiment bien leur deVoir. S'ils reçoivent la médaille d'or de la franc-maçonnerie B'naï B'rith, il faudra les en féliciter.

Archives du blogue