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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

vendredi, février 20, 2009

APPENDICE


Nous reproduisons en appendice le dernier document de la Chaire Romaine, publié à l'aube même du monde moderne proprement dit, peu d'années avant que les juifs ne s' emparent du contrôle de la Société Chrétienne, chose qui, comme on sait, eut lieu dans la Révolution Française. Le sage Pontife Benoît XIV y fait un examen bref mais lucide, de la grandeur et de la misère du peuple juif, résumé que, pour leur malheur, les peuples chrétiens devaient oublier. Plus tard, quand les juifs se sont transformés en maîtres de peuples chrétiens, et ont confiné l'Église dans les ghettos, ils ne jugèrent plus possible ni utile de parler. Les peuples déchristianisés ne pouvaient pas comprendre surnaturellement ce mystère de l'histoire qu'est le peuple Juif. Cependant les peuples devaient supporter ce mystère en subissant les pénuries sans nombre que le peuple juif devait leur infliger avec le capitalisme, le libéralisme, le socialisme, le communisme, et aujourd'hui, le sionisme.

LETTRE ENCYCLIQUE du Pape Benoît XIV (1740-1758) au Primat, aux Archevêques et Évêques de Pologne, se rapportant à ce qui est interdit aux juifs résidant dans les mêmes villes et mêmes cantons que les chrétiens. (Bullarium Romanum, Vol 26, pp 297-300. La lettre est officiellement intitulée: A QUO PRIMUM. Elle fut envoyée en l'an 1751).

Vénérables frères,

Salut et bénédiction apostolique.

Grâce à la grande bonté de Dieu, les fondations de notre Sainte Religion Catholique furent posées pour la première fois en Pologne vers la fin du Xe siècle, sous notre prédécesseur Léon VIII, grâce au zèle actif du Duc Mieceslas et de sa chrétienne épouse Dambrowska. C'est ce que nous apprend Dlugoss, auteur de vos Annales (Livre II, page 94). Depuis lors, la nation polonaise, toujours pieuse et dévote, s'est maintenue inaltérable dans sa fidélité à la sainte Religion adoptée par elle, et s'est éloignée avec aversion de toute espèce de secte. Ainsi, bien que les sectes n'aient épargné aucun effort pour rencontrer un appui dans le royaume afin d 'y répandre les semences de leurs erreurs, de leurs hérésies, et de leurs opinions perverses, les polonais n'ont fait que résister de plus en plus passionnément et vigoureusement à de tels efforts, et ils ont montré encore plus abondamment leur fidélité.

Prenons quelques exemples de cette fidélité. En premier lieu, nous devons en mentionner une, que l'on peut considérer comme particulièrement appropriée à notre propos, et qui est pour une bonne part la plus importante. C'est le spectacle non seulement de la glorieuse mémoire, gardée comme relique dans le calendrier sacré de l'Église, des martyrs, des confesseurs, des vierges, des hommes notables par leur éminente sainteté, qui naquirent, furent éduqués, et moururent dans le Royaume de Pologne. C'est aussi la célébration dans ce même royaume, de beaucoup de conciles et de synodes qui furent menés à heureux terme. Grâce au labeur de ces assemblées, on a gagné une resplendissante et brillante victoire sur les luthériens, qui avaient essayé toutes les formes et manières d'obtenir une entrée et s'assurer une base dans ce royaume. C'est par exemple, le grand Concile de Pétrikau (Piotrkov) qui eut lieu durant le pontificat de Notre illustre Prédécesseur et concitoyen Grégoire XIII (1572-1585), sous la présidence de Lipomanus, Évêque de Vérone et Nonce Apostolique. Dans ce Concile, pour la grande gloire de Dieu, on a proscrit et exclu définitivement d'entre les principes qui gouvernent la vie publique du royaume, le principe de la "Liberté de conscience". Il y a ensuite le substantiel volume des Constitutions des Synodes de la Province de Gnesen. Dans ces Constitutions, on ordonna d'écrire toutes les sages et utiles promulgations et provisions des évêques polonais pour préserver complètement la vie catholique de leurs troupeaux de la contamination par la perfidie juive. Elles ont été rédigées à la vue du fait que les conditions de l'époque exigeaient que chrétiens et juifs cohabitassent dans les mêmes villes et les mêmes bourgades. Tout cela montre sans doute clairement et pleinement, quelle gloire (ainsi que nous l'avons déjà dit), la nation polonaise a gagné pour elle en préservant inviolée et intacte la sainte religion que ses ancêtres ont embrassée voici tant de siècles.

Des nombreux points dont nous venons de faire mention, il n'en existe aucun dont Nous ayons le regret de devoir nous plaindre, sauf du dernier. À ce sujet, Nous nous voyons forcé de nous écrier, désolés:

"Comme l'or s'est noirci!" (Lam de Jer, IV, I). Pour être bref: par des personnes responsables dont le témoignage mérite crédit, et qui sont bien informées de l'état des choses en Pologne, et par des gens qui habitent dans le royaume, qui par zèle religieux nous ont fait parvenir leurs plaintes, à Nous et au Saint Siège, Nous avons eu connaissance des faits suivants: Le nombre des juifs y a grandement augmenté. Ainsi, certaines localités, bourgades et villes qui étaient anciennement entourées de splendides murailles (dont les ruines en font foi) et qui étaient habitées par un grand nombre de chrétiens, comme Nous le voyons dans les vieilles listes et les vieux registres qui existent encore, sont aujourd'hui négligées et sales, peuplées d'un grand nombre de juifs, et presque dépourvues de chrétiens. En outre il y a dans le même royaume un certain nombre de paroisses, dans lesquelles la population catholique a diminué considérablement. La conséquence en est que la rente a diminué dans de telles proportions qu'elles sont en danger imminent de rester sans prêtres. En outre, tout le commerce d'articles d'usage général, comme les liqueurs et même le vin, sont aussi entre les mains des juifs; on leur permet de se charger de l'administration des fonds publics; ils sont devenus concessionnaires d’hôtels et de fermes, et ils ont acquis des propriétés terriennes. Par tous ces moyens, ils ont acquis des droits de maître sur les malheureux cultivateurs du sol, chrétiens et non seulement ils se servent de leur puissance d'une manière inhumaine et sans cœur, imposant des labeurs sévères et douloureux aux chrétiens, les obligeant à porter des fardeaux excessifs, mais par surcroît, ils leur infligent un châtiment corporel, tel que coups et blessures. D'où ces malheureux sont dans le même état de sujétion au juif, que les esclaves à la capricieuse autorité de leur maître. Il est vrai que pour infliger un châtiment, Îes juifs sont obligés de recourir à un fonctionnaire chrétien à qui est confiée cette fonction. Mais comme ce fonctionnaire est obligé d'obéir à ce que lui commande le maître juif, s'il ne veut pas se voir priver lui-même de son office, les ordres tyranniques du juif doivent être accomplis.

Nous avons dit que l'administration des fonds publics et la gérance d'hôtels, de domaines et de fermes, sont tombées entre les mains des juifs, au grand dam des chrétiens, et sous bien des formes. Mais nous devons aussi faire allusion à d'autres monstrueuses anomalies, et nous verrons, si nous les examinons avec soin, qu'elles sont capables d'être à l'origine de maux encore beaucoup plus grands et d'une ruine plus étendue que ceux que nous avons déjà mentionnés. C'est une question chargée des plus grandes et plus graves conséquences que les juifs soient admis dans les maisons de la noblesse avec une capacité domestique ou économique pour occuper le poste de majordome. De cette façon ils vivent en termes d'intimité familière sous le même toit avec des chrétiens; ils les traitent continuellement d'une manière méprisante, montrant ouvertement leur mépris. Dans des villes et autres lieux, on peut voir des juifs partout au milieu des chrétiens; et ce qui est encore plus lamentable, les juifs ne craignent pas le moins du monde d'avoir des chrétiens des deux sexes, chez eux, attachés à leur service. De nouveau, puisque les juifs s'occupent beaucoup d'affaires commerciales, ils amassent d'énormes sommes d'argent de ces activités, et s'emploient systématiquement à dépouiller les chrétiens de leurs biens et ce qu'ils possèdent, par le moyen de leurs exactions usuraires. Bien qu'en même temps ils demandent pour les prêts d'argent aux chrétiens un intérêt immodérément élevé, pour le paiement desquels les synagogues servent de garantie, cependant, leurs raisons d'agir ainsi sont facilement visibles. Avant tout, ils obtiennent de l'argent des chrétiens, dont ils se servent pour faire du commerce, en tirant ainsi un profit suffisant pour payer l'intérêt convenu, et en même temps ils augmentent leur propre pouvoir. En second lieu, ils gagnent autant de protecteurs de leurs synagogues et de leurs personnes qu'ils ont de créditeurs.

(Le texte peut être difficile à comprendre si nous ne
connaissons pas le contexte.

1. - D’abord, les juifs empruntent de l’argent des chrétiens à bas taux;

2. - Avec cet argent, ils font du commerce qui engendre assez d’argent pour payer les bas intérêts aux chrétiens;

3. - Avec les profits, les juifs prêtent de l’argent aux chrétiens à des
taux usuraires, ce qui fait que la communauté chrétienne s’appauvrit.

Note de Clouseau.)


Le fameux moine Radulphus, dans les temps passés, se sentit transporté par son zèle excessif, et il était si hostile aux juifs qu'au XIIe siècle, il traversa la France et l'Allemagne en prêchant contre eux comme ennemis de notre sainte Religion, et il finit par inciter les chrétiens à les balayer complètement. En conséquence de ce zèle intempestif, un grand nombre de juifs furent sacrifiés. On se demande ce que ferait et dirait ce moine s'il vivait aujourd'hui et s'il voyait ce qui arrive en Pologne. Le grand Saint Bernard s'opposa aux excès effrénés de la frénésie de Radulphus, et, dans sa lettre 363, il écrivit au clergé et au peuple de la France orientale comme suit:

"Les juifs ne doivent pas être persécutés; on ne doit pas les sacrifier ou les chasser comme des bêtes sauvages. Voyez ce que les Ecritures disent à leur sujet. Je sais qu'il est prophétisé au sujet des juifs dans le Psaume: "Le Seigneur, - dit l'Église - m'a révélé Sa volonté au sujet de mes ennemis: ne les tue pas pour que mon peuple ne devienne pas oublieux". Ils sont, c'est certain, les signes vivants qui nous rappellent la Passion du Sauveur. En outre, ils ont été dispersés par tout le monde, pour que, tandis qu'ils paient la faute d'un si grand crime, ils puissent être témoins de notre rédemption".

Une autre fois, dans sa lettre 365, adressée à Henri, archevêque de Mayence, il écrit:

"L'Église ne triomphe-t-elle pas chaque jour sur les juifs d'une manière plus noble en leur faisant voir leurs erreurs ou en les convertissant, qu'en les tuant? Ce n'est pas en vain que l'Église universelle a établi par le monde la récitation de la prière pour les juifs obstinément incrédules, pour que Dieu lève le voile qui couvre leur cœur, et les amène de leur obscurité à la lumière de la Vérité, car si elle n'espérait pas que ceux qui ne croient pas puissent croire, il paraîtrait stupide et sans propos de prier pour eux".

Pierre, abbé de Cluny, écrivit contre Radulphus d'une façon semblable, à Louis, roi des Français. Il exhorta le roi à ne pas permettre que les juifs fussent massacrés. Cependant, comme il est enregistré dans les Annales du Vénérable Cardinal Baronius, en l'an du Christ 1146, en même temps, il pressait le roi de prendre des mesures sévères contre eux à cause de leurs excès, en particulier de les dépouiller de leurs biens qu'ils avaient pris aux chrétiens ou amassés au moyen de l'usure, et d'utiliser ce qu'il en tirerait au bénéfice ou à l'avantage de la religion.

Quant à nous, dans cette question, comme en toutes les autres, Nous suivons la ligne de conduite adoptée par nos Vénérables Prédécesseurs, les Pontifes Romains. Alexandre III (1159-1181) a interdit aux chrétiens, sous des peines sévères, d'entrer au service des juifs, pour n'importe quel laps de temps assez long, ou de devenir leurs domestiques dans leurs foyers. "Ils ne doivent pas, écrit-il, servir les juifs pour une rémunération de forme permanente". Le même Pontife explique comme suit la raison de cette prohibition: "Nos modes de vie et ceux des juifs sont extrêmement différents, et les juifs pervertiront facilement les âmes des gens simples à leur superstition et à leur incrédulité, si ces gens Vivent continuellement et en intime conversation avec eux". Cette citation au sujet des juifs se trouve dans la Décrétale "Ad haec". Innocent III (1198-1216), après avoir mentionné que les juifs étaient de plus en plus admis par les chrétiens dans leurs villes, fit remarquer aux chrétiens que le mode et les conditions d'admission devaient être tels qu'on évitât que les juifs rendissent le mal pour le bien. "Quand ils sont admis ainsi par pitié aux relations familières avec les chrétiens, ils récompensent leurs bienfaiteurs, comme dit le proverbe, comme le rat caché dans le sac, ou le serpent dans le sein, ou le tison ardent dans le giron de quelqu'un". Le même Pontife dit qu'il est adéquat que les juifs servent les chrétiens, mais non que les chrétiens servent les juifs, et il ajoute. "Les fils de la femme libre ne doivent pas servir les fils de l'esclave. Au contraire, les juifs, comme serviteurs rejetés par ce Sauveur dont ils ont malignement préparé la mort, devraient se reconnaître eux-mêmes, de fait et de droit, serviteurs de ceux que la mort du Christ a libérés, de la même façon qu'elle en a fait des esclaves". On peut lire ces paroles dans la Décrétale "Etsi Judaicos". D'une manière identique, dans une autre Décrétale, "Cum sit nimis", sous le même titre "De judaeis et Saracenis", il interdit de concéder des charges publiques aux juifs: "Nous interdisons de nommer des juifs à des postes publics, parce qu'ils profitent des occasions qui se présentent ainsi à eux pour se montrer ainsi amèrement hostiles aux chrétiens". A son tour, Innocent IV (1243-1254) écrivit à Saint Louis, roi des français, qui envisageait d'expulser les juifs de ses domaines, en approuvant le dessein du roi, puisque les juifs n'observaient pas les conditions que leur avaient imposées le Siège Apostolique. "Nous, qui désirons de tout Notre cœur le salut des âmes, Nous vous accordons pleine autorité par les présentes lettres pour exiler les juifs ci-dessus mentionnés, soit par votre propre personne, soit par l'intermédiaire d'autres, spécialement parce que, selon ce dont Nous avons été informés, ils n'observent pas les règlements rédigés pour eux par ce Saint Siège". On peut trouver ce texte dans Raynaldus, en l'an du Christ 1253, numéro 34.

Ainsi donc, si quelqu'un demandait ce qui est prohibé par le Siège Apostolique aux juifs habitant dans les mêmes villes que les chrétiens, Nous répondrons qu'il leur est interdit de faire précisément les mêmes choses qu'on leur permet dans le royaume de Pologne, c'est-à-dire toutes les choses que Nous avons énumérées. Pour se convaincre de la vérité de cette assertion, il n'est pas nécessaire de consulter nombre de livres. Il n'est que de relire la Section des Décrétales "De Judaeis et Saracenis", et de lire les Constitutions des Pontifes Romains, Nos prédécesseurs, Nicolas IV (1288-1294), Paul IV (1555-1559), Saint Pie V (1566-1572), Grégoire XIII (1572-1585), et Clément VIII (1592-1605), qu'il n'est pas difficile d'obtenir, puisqu'on les trouve dans le Bullarium Romanum. Vous cependant, Vénérables Frères, il n'est pas nécessaire que vous en lisiez autant pour voir clairement comment sont les choses. Vous devez seulement voir les Statuts et Régulations dictés dans les Synodes de vos prédécesseurs, puisqu'ils ont eu grand soin d'inclure dans leurs Constitutions tout ce que les Pontifes Romains ont ordonné et décrété au sujet de cette question.

L'essentiel de la difficulté, cependant, réside dans le fait que les Décrets Synodaux ou bien ont été oubliés, ou bien n’ont pas été appliqués. Il vous incombe pourtant, Vénérables Frères, de les restaurer dans leur vigueur première. Le caractère de votre office sacré requiert que vous luttiez avec zèle pour les faire imposer. Il est idoine et adéquat, en ce sujet, de commencer par le clergé; en voyant qu'il est de son devoir de montrer aux autres comment agir droitement et illuminer tous les hommes de son exemple. Nous avons confiance - et cela Nous est agréable - que par la grâce de Dieu le bon exemple du clergé ramènera de nouveau le laïcat dévoyé du bon chemin. Tout cela, vous pouvez le commander et l'ordonner avec une plus grande facilité et en toute sécurité, parce que, d'après ce qu'on Nous a dit, vous n'avez pas affermé vos biens ou vos droits aux juifs et vous avez évité tout commerce avec eux en ce qui concerne le prêt ou l'emprunt. De cette façon, vous êtes, ainsi qu'on Nous l'a laissé entendre, complètement libres et débarrassés de tout contrat de négoce avec eux.

La façon systématique de procéder, prescrite par les saints Canons pour exiger l'obéissance des réfractaires, dans des questions de grande importance comme celle-ci, a toujours comporté l'usage de censures, et la recommandation d'ajouter au nombre de cas réservés ceux que l'on prévoit pouvoir être une cause prochaine de danger ou de risque pour la Religion.

Vous savez très bien que le saint Concile de Trente fit toutes prévisions pour renforcer votre autorité, spécialement en reconnaissant votre droit à réserver des cas. Le Concile non seulement s'est abstenu de limiter votre droit exclusivement à la réserve des crimes publics, mais il est allé beaucoup plus loin et l'a étendu à la réserve des actes décrits comme les plus sérieux et les plus détestables, pour autant que ces actes ne fussent pas purement internes. En différentes occasions, en différents décrets et lettres circulaires, les Congrégations de Notre Auguste Capitale ont établi et décidé que sous le titre de "plus sérieux et détestables délits", il faut inclure ceux auxquels l'humanité est le plus inclinée, et qui sont préjudiciables à la discipline ecclésiastique ou au salut des âmes, confié au soin pastoral des évêques. Nous avons traité ce point en le développant quelque peu dans Notre Traité du Synode Diocésain, Livre V, chapitre V.

Nous nous permettons de vous assurer que toute aide que Nous puissions vous donner sera à votre disposition pour assurer le succès dans cette question.

En outre, pour faire front aux difficultés qui inévitablement se présenteront, si vous devez procéder contre des ecclésiastiques exempts de votre juridiction, nous donnerons à Notre Vénérable Frère, l'Archevêque de Nicée, Notre Nonce en votre pays, des instructions appropriées à ce sujet, de manière que vous puissiez obtenir de lui les facultés requises pour traiter les cas qui pourraient se présenter. En même temps, Nous vous assurons solennellement que lorsqu'il se présentera une occasion favorable, Nous traiterons de ce sujet avec tout le zèle et, l'énergie que Nous pourrons réunir, avec ceux par le pouvoir et l'autorité de qui le noble royaume de Pologne peut être nettoyé de cette tache sale. Avant tout, Vénérables Frères, suppliez avec toute la ferveur de votre âme l'aide de Dieu, qui est l'Auteur de tout bien. Implorez son aide aussi, dans une prière sérieuse, pour Nous et pour ce Siège Apostolique. Vous embrassant avec la plénitude de la charité, Nous vous accordons avec beaucoup d'amour, tant à vous qu'aux troupeaux confiés à votre soin, la Bénédiction Apostolique.

Donné à Castelgandolfo le 10 Juin 1751, en la onzième année de Notre Pontificat.

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