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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

mardi, décembre 29, 2009

Politique de privatisation du climat

Le 24 décembre 2009

Mises Daily
TRADUCTION, CLIQUEZ ICI POUR LE TEXTE EN AMÉRICAIN

Graham Dawson

La politique de changement du climat doit être privatisée. Tous les instruments politiques du gouvernement, incluant les impôts, les subventions, le règlement et le commerce d'émissions pour atténuer le changement climatique doivent être supprimés. Au lieu de cela, les droits de propriété à un climat inchangé par l'activité humaine doivent être protégés par la responsabilité délictuelle en partant du principe de la responsabilité absolue soit appropriée.

Il n'y a aucune base sûre dans la science climatique pour la rhétorique de politique actuelle; les gouvernements ne savent pas comment faire fonctionner la politique de changement climatique efficacement. De plus, la politique est basée sur la supposition d'économie néoclassique que le changement climatique est un cas d'échec du marché. Cependant, ce ne sont pas les marchés qui ont échoué, mais les gouvernements en ne protégeant pas les droits de propriété.

Le climat de la terre a toujours été susceptible aux changements causés par des facteurs naturels sur lesquels les humains n'ont aucun contrôle. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) use de son pouvoir monopoliste en disséminant sa propre version politiquement éditée de la science climatique pour avancer l'hypothèse que le changement climatique soit causé par l'utilisation de carburant fossile. Même les scénarios du GIEC du réchauffement de l'air superficiel moyen de la terre au prochain siècle s'étendent des augmentations douces de température qui augmenteraient la production des aliments monde à ceux qui auraient des effets catastrophiques sur la vie humaine. Nous faisons face à l'incertitude totale plutôt qu'à un risque calculable.

La privatisation de la politique de changement climatique entraîne l'abolition de toute la législation existante. Le traitement fiscal des sources d'énergie fossile doit être révisé pour éliminer toutes les contributions fiscales qui avait été imposées avec l'intention de réduire les émissions carboniques. Les règlements visés réduisant les émissions carboniques doivent être annulés. Les systèmes nationaux ou supranationaux d'échange des certificats de pollution doivent être arrêtés. Il ne doit pas simplement y avoir une politique publique pour le changement climatique.




Une perspective autrichienne et libertaire sur la politique
climatique
Une structure alternative pour la formulation de la politique climatique, basée sur une approche autrichienne à l'économie environnementale (Cordato, 2004) et informée par une philosophie libertaire politique, (Nozick, 1974) voit le changement climatique anthropique (CCA) comme un conflit interpersonnel plutôt qu'un échec du marché. Le CCA est un exemple possible de conflit interpersonnel sur l'utilisation des ressources dans la mesure où quelques individus emploient l'atmosphère comme un lavabo carbonique, changeant le climat et le rendant ainsi impossible pour d'autres individus de compter sur un climat inchangé comme une ressource pour la récolte en croissance et même le peuplement d'emplacements particuliers.

Il appartient aux cours de décider, en écoutant le témoignage de témoins experts, si des émissions de dioxyde de carbone sont responsables du mal en causant le dangereux changement climatique anthropique. Le litige ou sa menace persuaderaient les sociétés employant des procédés de production carboniques intensifs de financer la recherche dans la science climatique, défiant ainsi le monopole du GIEC et stimulant le progrès scientifique.

Ce serait aux individus ou aux organisations qui croient que le changement climatique viole leurs droits de propriété de chercher réparation devant les cours.

L'utilisation de sources d'énergie fossile, comme autre activité économique, doit être soumise aux contraintes conçues pour éviter l'infraction d'autres droits de propriété populaires. La responsabilité délictuelle sur la base de la responsabilité stricte protégerait les gens contre ceux touchant leur climat. Les cours créeraient un corps de droit coutumier et établiraient des précédents pour guider les actions des utilisateurs des sources d'énergie fossile - une politique privatisée.

Nul besoin de nouvelles nominations de droits afférents à des biens immobiliers. Si l'utilisation de sources d'énergie fossile de l'un cause des dommages à la terre de l'autre par inondation ou désertification, c'est évidemment un tort. En général il semble que la présente législation soit adéquat et les droits de propriété attendent simplement d'être appliqués ou protégés. Supposer que les individus doivent laisser les gouvernements faire face à la menace perçue de changement climatique est un produit de la culture de dépendance.



Les bénéfices de privatiser la politique climatique
Sous une politique de changements climatique privatisée, le litige n'imposerait pas de nouveau fardeau d'intervention d'état sur l'industrie. D'abord, tandis que quelques sociétés feraient face au litige, tous seraient libres des impositions de politique de changement climatique existante. Deuxièmement, il n'y aurait aucune présomption de culpabilité. Troisièmement, le processus d'établir la culpabilité ou l'innocence, probablement par une série de litiges, prendrait du temps.

La privatisation de la politique de changement climatique retardera les réductions sévères d'émissions carboniques. Ce résultat est bénéfique. Si les émissions carboniques causent les changement climatiques, c'est leur concentration atmosphérique s'accumulant pour une durée de temps qui fait ainsi et pas le carbone complémentaire émis en n'importe quelle année. Il est raisonnable d'exploiter cette occasion d'ajouter à la connaissance humaine des effets possibles d'émissions carboniques sur le climat mondial et réduire ainsi le risque d'encourir des dépenses inutiles par l'action immodérée collective.

Le litige améliorerait la compréhension du public de la science dds changements climatiques. Les rapports du témoignage d'une gamme de témoins experts répandrait un compte plus équilibré de la science climatique que l'influencé et le dogme artificiellement construit du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Le litige ferait avancer la science climatique elle-même. Il réaliserait ce but valable en augmentant la compétition parmi les hypothèses scientifiques concernant les changements climatiques, pour que les hypothèses falsifiées puissent être réfutées et d'autres acceptés comme provisoirement vraies.



Le litige comme un bien public
Les cours appelleraient des témoins experts. Donc les sociétés auraient un motif pour financer la recherche dans beaucoup d'incertitudes des changements climatiques. Cela remonterait le moral au nombre en croissance des sceptiques du climat et défierait la position monopoliste du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. L'avantage du litige consiste en ce qu'il reproduirait le processus de compétition, la coopération amical mais encore hostile des scientifiques que Popper soutenait. Comment! Vous ne connaissez pas Karl POPPER??!! Vite! (L'encyclopédie Agora) ici.

Le litige offre aussi la perspective d'action de la part de ceux sans ressources d'entreprendre eux-mêmes. En effet, le litige est un bien public, dans lequel ses bénéfices sont, et un bien collectif et un partenariat. Le litige est un partenariat qui comprend un plaignant qui doit démontrer que le présumé responsable l’est vraiment responsable d'un effet environnemental donné, ce qui n'entraîne pas qu’il y est moins de litiges restants pour les autres. Au contraire, il peut y avoir des effets de train en marche.


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Les bénéfices possibles du litige concernant les changements climatiques putatifs seraient un bien public. Les changements climatiques, si c'est vraiment un problème, est un problème dans le monde entier. Si des émissions carboniques causent en effet les changements climatiques dangereux, il n'importe pas où ils sont réduits; partout où les réductions arrivent, la concentration carbonique planétaire atmosphérique sera finalement réduite.

Le litige sur la base de la responsabilité stricte protégerait le droit à un climat libre de l'intervention humaine si le climat a besoin de protection et, dans le cas où il ne fait pas, il sauverait l'activité économique à travers le monde de l'imposition de dépenses inutiles. En fournissant une arène publique pour la mise à l'épreuve compétitive d'hypothèses scientifiques concernant les changements climatiques, le litige promouvrait aussi l'avancement de la science climatique.

jeudi, décembre 24, 2009

La police de l'utérus

La Chine dit toujours qu'un enfant, c'est assez (avec citation des autorités)

27 juillet 2009

Anne Morse

TRADUCTION


Le romancier britannique P.D. James a écrit The Children of Men en 1992- une terrifiante et soudain infertilité mondiale et ses conséquences.

Les femmes pouponnent des poupées, les couples baptisent des chatons et les vieux, n'ayant pas de plus jeunes pour prendre soin d'eux, sont forcés par le gouvernement de se suicider.

Il est peut-être temps pour James d'écrire un autre roman, cette fois ce qui arrive quand le gouvernement d'un pays empêche ses citoyens d'avoir plus d'un enfant. Il serait en concurrence avec The Children of Men dans l'horreur extra-fine.

Reggie Littlejohn pourrait aider James; elle a déjà fait la recherche. Littlejohn est la présidente des Droits de la femme sans frontières et une experte de la politique destructrice d'un enfant de la Chine, que les capitaines communistes de la Chine ont instituée en 1979 pour artificiellement faire baisser le taux de natalité de la Chine.

Mais 30 ans plus tard, nous apprenons de nouveau que quand nous essayons de violer l'ordre naturel, les conséquences sont prévisibles, si non voulues. Comme Littlejohn l'a déclaré dans un discours au Parlement de l'Union européenne l'année dernière, les résultats de la politique à un enfant de la Chine ont été sévères, engendrant «au moins 10 autres violations sérieuses des droits de l'homme

Parmi eux, l'avortement forcé, même au neuvième mois, et la stérilisation forcée. Beaucoup de femmes subissent des ravages permanents à leur santé causés par ces stérilisations, qui sont souvent exécutées par des personnes disqualifiées plutôt que des gynécologues formés.

Les lmeneurs de la Chine prétendent qu'aucune femme ne soit forcée de subir un avortement. Si c'était vrai, donc pourquoi les bureaux d'orthogénie ont-ils des cellules? La mère d'une femme illégalement enceinte ou la soeur ou d'autre parent sont enfermés à clef et traités brutalement avant que la femme enceinte (qui peut être en fuite) n'entre volontairement pour se faire avorter, Littlejohn a expliqué à la Heritage Foundation.

La politique à un enfant a aussi mené directement au trafic humain et à l'esclavage sexuel. Les dirigeants de la Chine ont reconnu qu'il y a maintenant environ 35 millions d'hommes qui ne se marieront jamais parce que leur femme future a été avortée. Ce déséquilibre des sexes est une force puissante agissant sur le trafic des femmes et l'esclavage sexuel partout en Asie, maintient Littlejohn.

Les avortements obligatoires traumatisent les femmes et sont une cause principale du fait qu'environ 500 Chinoises se suicident chaque jour, Littlejohn croit que c'est le taux le plus haut dans le monde. Un incroyables 56 pour cent de tous les suicides féminins dans le monde entier se produisent en Chine.

La politique à un enfant a aussi mené à meurtre basé sur le sexe. La préférence culturelle de la Chine pour les garçons signifie que les couples avortent fréquemment les filles. Dans les secteurs ruraux, où on permet souvent aux couples d'avoir deux enfants si le premier enfant est une fille, l'utilisation les ultrasons permet aux parents de déterminer le sexe du deuxième bébé et d'avorter presque par habitude les filles. Cela signifie que dans quelques provinces, le deuxième enfant est un garçon huit fois sur cinq.

La politique a aussi mené à un commerce actif dans l'enlèvement d'enfants, quelque 70 000 par l'an. Les parents qui ont une fille, mais veulent un garçon, voleront un garçonnet; les parents sont parfois stérilisés après avoir eu un enfant, mais si cet enfant meurt, ses parents par affliction peuvent enlever le garçonnet quelqu'un d'autre.

Alors il y a les enfants abandonnés, dont les parents divorcent et épousent quelqu'un d'autre. Souhaitant avoir un enfant avec la nouvelle flamme, mais toujours limités à un seul enfant, ils peuvent «abandonner l'enfant de leur premier mariage,» dit Littlejohn. Alors ces enfants errent dans les rues, dans la misère. Tragiquement, ces enfants sont souvent trop vieux pour faire appel aux couples ayant très envie d'un enfant (ou d'un deuxième enfant).

La Chine est aussi pleine d'enfants illégaux, nés sans permis. Le gouvernement chinois leur refuse les soins de santé et l'éducation. Sans existence officielle, ils ne pourront pas trouver un emploi ou se marier à l'âge adulte.

La politique à un enfant a mené aux troubles et à la violence comme les zones rurales se rebelles contre la politique. L'année dernière, dans la province de Guangxi, des milliers de villageois se sont heurtés violemment avec la police après une mesures de répression de deux mois contre ceux qui avaient défié la politique à un enfant. Selon le Los Angeles Times, les fonctionnaires de l'orthogénie "ont poursuivi les gens dans les rues et dans les champs." Les hommes et les femmes «ont été regroupés pour se faire stériliser obligatoirement» tandis que les femmes illégalement enceintes ont été de force avortées. La police a imposé de lourdes amendes aux couples qui ont osé avoir un deuxième enfant; ceux qui ne pouvaient pas payer ont eu leurs biens confisqués et leurs maisons détruites.

La Chine a employé la politique à un enfant pour aider résoudre d'autres problèmes perçus. La Chine a employé «la tromperie, la pression et la menace,» selon le Projet des droits de l'homme Uyghur, transférer des centaines de milliers de jeunes femmes Uyghures de l'Est du Turkistan vers d'autres provinces, où elles ont marié des Chinois ou bien ou bien forcées à se prostituer. En attendant, avec tant de femmes disparues au Turkistan, les hommes ont de plus en plus de misère à se marier, tournant la politique à un enfant en un outil de génocide.

Les États-Unis ne peuvent pas faire grand-chose pour forcer la Chine à renoncer à la politique à un enfant, que même les activistes pro-choix appellent une forme de torture contre les femmes. Mais il y a une lueur d'espoir que l'administration Obama se soucie de cette question. Il y a quelques jours Littlejohn a été invitée à parler à la Maison Blanche de la politique à un enfant. Étaient présents les membres du Conseil de la Maison Blanche sur les femmes et les filles, le Conseil de sécurité nationale, du Pentagone et du Bureau du directeur du renseignement national. «Je ne leur ai dit qu'aucune politique du gouvernement, n'importe où dans le monde, ait causé plus de souffrance aux femmes et aux filles que la politique à un enfant de la Chine,» m'a dit Littlejohn .

La secrétaire d'État Hillary Clinton s'est aussi prononcée fortement sur cette question. Clinton doit maintenant découvrir (comme elle doit le faire conformément à la loi) si les 50 millions de $ que les États-Unis ont alloués au Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) ont été employés pour un programme en Chine, ce qui est interdit. Si l'UNFPA a en effet dépensé certains de ces fonds en Chine, on exige que Clinton l'annonce au Congrès. La somme des fonds que l'UNPFA a dépensés en Chine serait alors déduite des fonds rendus disponibles à l'UNFPA.

Des observateurs, incluant le Times of London, disent que la Chine s'éloigne de sa politique à un enfant et que même elle encourage les couples à avoir un deuxième enfant. Mais selon Littlejohn, le titre du morceau de Times, La Chine recule sur la politique à un enfant, est trompeur: si vous n'êtes pas dans un groupe spécifique, si vous ne vivez pas à Shanghai, par exemple, où la population âgée augmente rapidement, vous avez toujours besoin d'un permis de naissance, et la police de l'utérus éditera toujours un ordre d'avortement pour votre enfant à naître.

Les Américains qui n'ont aucun désir de financer l'abus en cours des Chinoises et de leurs familles doivent entrer en contact avec le Département d'État et demander poliment à Clinton quand elle projette de poursuivre jusqu'au bout ses demandes de la loi.

Trente ans après que la politique à un enfant a été imposée, la population de la Chine vieillit. Après 2030, Littlejohn dit: «La proportion des retraités comparée aux travailleurs augmentera au point que la jeune population rétrécie ne sera pas capable de supporter les retraités dans leur vieillesse.»

The Children of Men de P.D. James nous donne une vue terrifiante de ce qui attend les Chinois vieillissants qui ont été empêchés, par les capitaines qui se prennent pour Dieu, d'avoir les enfants qu'ils voulaient.

mercredi, décembre 23, 2009

Comme des porcs dans un abattoir

Avortement obligatoire en Chine

Chuck Colson

14 décembre 2009

Autant qu'il soit douloureux de parler de l'avortement obligatoire, nous devons nous prononcer quand nous voyons un mal si monstrueux. Découvrez comment vous pouvez faire votre entendre votre voix.

Écoutez Téléchargez

Pendant l'Avent, les Chrétiens aiment raconter à leurs enfants l'histoire de Marie, splendide avec l'enfant, arrivant à Bethléem pour donner naissance à son Fils.

C'est une image réconfortante. Mais pour beaucoup de Chinoises, cela leur rappelle d'horribles souvenirs. Les souvenirs de leur propre grossesse qui a fini, pas par l'accouchement, mais par la mort de leur bébé par l'avortement obligatoire.

Une femme chinoise appelée Wujian - pas son vrai nom - a récemment témoigné devant la Commission des droits de l'homme de Tom Lantos sur la politique brutale d'un enfant de la Chine. Il y a quatre ans, Wujian est tombée enceinte d'un bébé illégal conçu sans permis.

Voulant protéger son enfant, Wujian s'est cachée dans une cabane d'un secteur éloigné. Elle était seule et effrayée, mais prenait plaisir à sentir son bébé commencer à bouger dans son sein.

Mais quand les fonctionnaires de l'orthogénie ont appris où elle était, ils ont fait irruption dans la maison et ont traîné Wujian dans un fourgon. Elle a été amenée à un hôpital, où elle a trouvé des douzaines d'autres femmes qui venaient de subir des avortements obligatoires. Certaines pleuraient, certains criaient et une agonisait en se roulait le plancher. Elles étaient, comme l'a dit Wujian, «comme des porcs dans un abattoir.»

Et ensuite ce fut le tour de Wujian. Comme l'infirmière l'a préparait à se faire piquer à l'oxytocin pour provoquer l'avortement, Wujian l'a pria de ne pas le faire. L'infirmière se fâcha. Elle dit à Wujian qu'elle faisait ces procédures chaque jour et que ce n'était apas u;ne grande affaire. «Elle introduisit l'aiguille dans mon utérus,» a dit Wujian. «Ce fut la fin du monde pour moi.»

Le soir suivant, Wujian fut transférée dans une chambre avec des empreintes digitales sanglantes sur le mur laissées par d'autres femmes. Puisque l'injection n'avait pas fait son oeuvre, les docteurs ont opté pour une procédure chirurgicale qui m'est simplement trop horrible à décrire en direct.

Consiente pendant la procédure, Wujian décida alors de mourir. À la fin de la chirurgie, l'infirmière lui montra les restes de la procédure et ensuite, qui furent tout simplement jetés dans une corbeille.


Au fil des mois, la souffrance émotionnelle de Wujian augmenta. Elle ne se pardonnait pas de n'avoir pu sauver son enfant. Wujian fut sauve, cependant, seulement quand ell fut guéri en acceptant le Christ.

Elle a dit la Commission de Lantos: «Je crois que je rencontrerai mon bébé de nouveau au ciel. Si Dieu le permet, je demanderai pardon à mon bébé quand je le verrai dans le ciel.»

Wujian n'est qu'une des centaines de millions de Chinoises qui supportent le mal de l'avortement forcé - ce que le membre du Congrès Chris Smith appelle: «Le viol le plus grave des droits de la femme dans l'histoire de l'humanité.»

Le gouvernement chinois affirme avoir adouci sa politique d'un enfant. C'est un mensonge. En allant sur notre site Web,
BreakPoint.org et nous vous dirons comment signer une pétition demandant au le gouvernement chinois de mettre fin à cette pratique barbare une fois pour toutes.

Et comme nous nous préparons à célébrer la naissance du Christ, nous devons prier pour les femmes comme Wujian, ces mères qui souffrent de voir tous ces bébé chéris assassinés chaque année.

mardi, décembre 22, 2009

Élimination par triage des humains défectueux

Écologisme misanthrope

Chuck Colson


4 février 2009

TRADUCTION


Mardi, j'ai dit aux auditeurs de BreakPoint que, selon James Hansen de la NASA, le Président Obama a juste quatre ans pour sauver le monde des effets catastrophiques du changement climatique anthropique.

Écoutez en ligne téléchargez

Bien, au moins un vénéré écologiste n'est pas d'accord. James Lovelock pense que c'est déjà trop tard. Tout ce que nous pouvons faire c’est d’essayer de le faire par «élimination par triage». Vous m'avez entendu correctement, «élimination», comme dans, «réduire la taille d'un troupeau en tuant ses membres plus faibles

Et dans ce cas, le troupeau étant sélectionné est l'humanité elle-même. Lovelock est l'homme qui a formulé la théorie Gaia, qui voit les composants organiques et inorganiques de la planète Terre comme un simple système autorégulé.

Récemment Lovelock a dit au New Scientist magazine qu’il n'y a aucun espoir de nous sauver des changements climatiques. Il a dénoncé les solutions technologiques proposées comme une gigantesque escroquerie." Et c'est un écologiste renommé!

Selon Lovelock, les gens ne peuvent pas réagir assez vite et ne sont pas assez intelligents pour gérer ce qui arrive, particulièrement parce qu’il y a déjà trop de personnes sur Terre. Il s’attend à une élimination énorme pendant ce siècle pouvant aller jusqu'à 90 pour cent. C'est la sp;ution de Gaia de réduire la population humaine à un niveau où ils peuvent finalement contribuer au bien-être planétaire.

Quoique le mot élimination" de Lovelock soit ahurissant, cela n’étonne pas. C'est seulement une version moins polie de la vue misanthrope du monde derrière la pensée environnementale, particulièrement quand il s’agit du changement climatique anthropique.

Cette vue du monde voit les gens, particulièrement prospères, sains, bien alimentés et heureux, comme le problème. La solution serait d'en avoir moins et qu’ils soient plus pauvres. Chris Rapley, le directeur du changement climatique anthropique l'a résumé gentiment:
«Si nous croyons que le bilan humain du dioxyde de carbone soit un problème sérieux, alors il est raisonnable de s’occuper de la gestion de la population.»

Pour être juste, dans beaucoup de cercles écologistes, la question n'est pas la gestion de la population, mais à quel point les gouvernements doivent être coercitifs et contraignants pour, au nom de la défense de Gaia, solutionner" le réchauffement planétaire.

Je dis Gaia au lieu Terre ou planète pour souligner la qualité quasi-religieuse de l’écologisme. Cette qualité est une raison pourquoi la preuve impressionnante contre le changement climatique anthropique et les modèles climatiques sur lesquels c’est basé est ignorée. Vous ne voulez pas écouter les hérétiques.

C’est pourquoi les sceptiques du réchauffement planétaire, incluant des scientifiques renommés, ne sont pas traités comme des collègues de qui on peut apprendre, mais sont au lieu de cela comparés à des négateurs de l'Holocauste. Dans ce cas, l’homme est déjà coupable de dépouiller la planète et le plus tôt il est réduit en nombre, métaphoriquement ou littéralement, le mieux se portera la terre entière.

Au contraire, le souci chrétien pour l'environnement, incluant la volonté de se sacrifier en son nom, est enraciné dans une vue glorifiée, pas rabaissée, de l'homme. L'homme, créé à l'image de Dieu, est appelé à gérer de façon à protéger l'environnement et à promouvoir la prospérité humaine.

C'est la différence entre prendre soin du troupeau et être le troupeau.

samedi, décembre 19, 2009

LA VÉRITÉ DÉRANGEANTE


Voici la traduction de l’article du Financial Post, un journal canadien des finances, qui vient clairement expliquer les plans de la Haute Finance en ce qui concerne les buts du Nouvel Ordre Mondial. Ils ont changé la date butoir de 2050 à 2075 pour en arriver à leur fin: réduire la population pour mieux la contrôler. Ce texte est un modèle de propagande et de sophismes. Il prouve aussi que la Haute Finance et le communisme font bon ménage. On y mentionne clairement que ce n’est pas le réchauffement ou un nouvel ère glacial qui préoccupent ces maîtres, mais bien la peur de la population; moins il y en a, plus les gens sont faciles à contrôler. C’est noir sur blanc, sans aucun détour, dans le Financial Post. Ils le font maintenant à visage découvert.


http://www.financialpost.com/story.html?id=2314438#ixzz0ZTj8oMJS


Le monde doit adopter la politique d’un enfant de la Chine

Diane François, Financial Post
8 décembre 2009

Ironiquement la Chine, malgré ses centrales thermiques sales au charbon, est le meneur mondial en termes de modeler la politique pour combattre la dégradation environnementale, grâce à son décret d’un enfant.

La vérité dérangeante qui plane au dessus de la conférence de Copenhague de l'ONU n'est pas que le climat se réchauffe ou se refroidisse, mais la surpopulation humaine mondiale.

Une loi planétaire, comme la politique d’un enfant de la Chine, est la seule façon de changer complètement le taux de naissance désastreux mondial actuellement, qui est un million de naissances au quatre jours.

Le autres espèces planétaires: végétation, ressources, océans, terres arables, eau et atmosphère, sont détruites et disparaissent suite au taux de reproduction en hausse de l'humanité.

Ironiquement, la Chine, malgré ses centrales thermiques au charbon, est le meneur mondial en termes de modeler la politique pour combattre la dégradation environnementale, grâce à son décret d’un enfant.

Voici la logique du raisonnement:

- Si seulement un enfant par femme nait maintenant, la population mondiale baisserait de 6,5 milliards à 5,5 milliards en 2050, selon une étude faite pour l'académie scientifique Vienna Institute of Demography.

- En 2075, il y aurait 3,43 milliards de gens sur la planète. Cela aura des effets immédiats positifs pour les forêts, les autres espèces, les océans, la qualité atmosphérique et le niveau de vie.

- Ne rien faire, par contraste, aboutira à une population non durable de 9 milliards en 2050.

Les humains sont les seuls animaux raisonnables, mais doivent-ils encore le prouver. Des avances médicales et autres scientifiques ont fait baisser des taux de mortalité infantile aussi bien qu’augmenter la longévité. Les deux sont bienvenus, mais l'humanité n'a pas encore réajusté son comportement pour prendre acte du fait que le monde ne peut pas supporter autant de personnes, particulièrement si des milliards ont de la plomberie intérieure et des voitures.

Le remède est simple. C'est une mesure énergique. Et encore les dirigeants du monde n'ont pas cela en tête à Copenhague. Au lieu de cela, il y aura des séances photographiques, des prises de pose, des gros plans, du baratin à propos de la science et de la fraude climatiques, des annonces d’éoliennes, alors des subventions pour le système de plafonnement et d'échanges de droits d'émission de gaz à effet de serre.

Tout cela restera vain sans qu'une politique chinoise d’un enfant ne soit imposée. Malheureusement, il y a des adversaires puissants. Les chefs des grandes religions mondiales fondamentalistes prêchent en faveur de la procréation et s'opposent avec acharnement à la régulation des naissances. Et la plupart des responsables politiques dans les économies émergentes perpétuent un désastreux impasse : Beaucoup d'enfants (i.e. des fils) trompe la privation en l’absence d'un filet de développement social ou économique de sécurité, qui, à son tour, empêche les protections ou le développement.

La Chine a prouvé que le contrôle des naissances soit une politique intelligente. Sa classe moyenne grandit, tous ses citoyens ont un logement, des services médicaux, l'éducation et l'alimentation et la personne sur cinq qui vie là ne surpeuple pas la planète.

Pour ceux qui changent d'avis au sujet de la notion que les gouvernements doivent contrôler la nombre d’enfants de la famille, attendez seulement que la population humaine en croissance transforme deux fois plus de pâturage en déserts comme c’est maintenant le cas, ou quand l'Amazonie ne soit plus, les éléphants disparus pour de bon et que les guerres éclatent à cause des réserves d'eau, des maigres ressources et des besoins spatiaux.

C'est que les sujets de conversation de Copenhague sont tout à fait inutiles.

Le seul remède est que tous les pays réduisent résolument leur population, nettoient leurs gachis et imposent des mesures de contrôles des naissances obligatoires.

dfrancis@nationalpost.com

SACRIFICES HUMAINS POUR GAIA

L’écologisme à son pire

Je me demande pourquoi les pays en voie de développement sont sortis de la conférence sur le climat mondial. Ils ne sont pas imbéciles.


Ceux qui se tiennent régulièrement informés savent que les écologistes sont prêts à tout pour sauver la planète.

Certains ont proposé de taxer les parents des nouveau-nés de plusieurs milliers dollars pour décourager la maternité et réduire ainsi les émissions de dioxyde de carbone. D'autres ont parlé d’éliminer les sujets humains malsains ou trop nombreux de la surface de la terre.

Ces propositions ont en commun, en plus de leur sang-froid, que les écologistes dans la ligne du courant dominant continuent à assurer que ce sont des points de vue marginaux. Bien, des déclarations récentes de sources "respectables font mentir ces revendications. Et ils doivent rappeler aux chrétiens pourquoi la sainteté de la vie humaine doit être notre plus grande priorité.

Pendant le récent sommet de l'ONU à Copenhague, la Chine a subit les invectives pour réduire ses émissions de dioxyde de carbone. Cependant, la Chine avait au moins un défenseur: le journal Financial Post du Canada.

Selon le journal, la Chine est le chef de file mondial en termes de modeler la politique pour combattre la dégradation environnementale. On se calme! Comment l'émetteur mondial de dioxyde de carbone qui détient les 16 des villes mondiales les plus polluées, peut-il être un meneur mondial?

Très simple: sa politique d'un enfant. Selon le Financial Post, «la vérité dérangeante que les humains sont trop nombreux sur terre plane au dessus des débats à Copenhague.» Ce qui rend nécessaire pour le monde entier d’embrasser la politique d’un enfant de la Chine.

Cette mesure simple et drastique réduirait la population mondiale de 50 pour cent en 2075. Selon le papier, ne pas considérer une telle mesure à Copenhague est la preuve que les capitaines mondiaux ne sont pas sérieux en regard du réchauffage planétaire. Ce n‘est pas une blague. Cliquez ici pour le lien électronique du papier.

Préconiser une politique mondiale d’un enfant ne rend pas le Financial Post aussi diabolique que le gouvernement chinois, il le rend pire. La politique chinoise était un effort inhumain, brutal et totalitaire de faire face aux problèmes historiques posés par la population énorme de la Chine.

Au contraire, le Post et d'autres commu lui sont motivés par une vue du monde qui voit les humains comme une sorte de virus infectant Terre mère. Pour l'amour de Gaia, ils veulent contrôler la population humaine - même aux dépens de la liberté humaine et de la vie elle-même.

Après la Déclaration de Manhattan, certaines personnes ont mis en doute notre centre sur des questions de la vie. Elles se sont demandées pourquoi nous n'avons pas inclus d'autres soucis, comme l'environnement.

Voici pourquoi. La sainteté de la vie humaine est sous assaut continu. Cet assaut n'est pas limité à l'avortement, le mépris de l'euthanasie pour la vie humaine elle-même est devenu respectable. Pour la planète, on nous demande de résolument réduire notre nombre.

Mais les écologistes radicaux ne veulent pas dire les gens comme eux-mêmes, après tous, leur mère patrie à chacun, à l'exception des États-Unis, perd sa population. Ils veulent dire les gens les plus pauvres et les plus vulnérables de la planète. Ce n'est pas une coïncidence qu'une annonce récente dans un journal britannique du lien entre les émissions de dioxyde de carbone et le contrôle de la population montrait 12 bébés africains.

C'est la vérité dérangeante qui plane sur le débat des questions environnementales.

Et c’est pourquoi la sainteté de la vie humaine est si importante. Si vous ne l'avez pas fait, cliquez sur ManhattanDeclaration.org, signez la déclaration et demandez à vos amis de faire la même chose.

jeudi, décembre 17, 2009

Adorez la terre ou allez en prison

http://noapologies.ca/?p=237



Traduction


Tim Bloedow


11 février 2008

Un des plus grands nigauds jamais vus au Canada - très dangereux, quoique que de très petite taille - a décidé d’enchérir la semaine dernière dans sa campagne pour interdire toute critique scientifique du royaume environnemental. Il veut maintenant jeter ses adversaires en prison. Ouais, c’est comment se comporte ce bonze intellectuel! C’est prétentieux. Malheureusement, cet expert a tellement perdu les pédales cette fois que je ne suis plus le seul à le qualifier de fasciste. Bien sûr, la personne en question est le grand prêtre de l’intolérance du fondamentalisme écologique: David Suzuki.

M. Suzuki est si inattaquable qu’il veut faire maintenant emprisonner ses adversaires. Hitler et Staline auraient adoré l’avoir au temps d’amadouer la gueusaille. Ah oui, Staline n'a pas dû amadouer la plèbe, il a juste tués les misonéistes. La législature devrait interdire spécifiquement à M. Suzuki de posséder toute arme, incluant les pétales de pâquerette et l'écorce d'arbre - sans insinuation.

Malheureusement, M. Suzuki n'est pas le seul jean-jean admirateur de la Terre avec des pulsions totalitaires. L'auteur environnementaliste David Shearman a écrit en janvier un article préconisant l'autoritarisme sur la liberté individuelle et louangé la Chine pour agir de même. Il a loué la Chine pour l’interdiction de sacs en plastique, et a ensuite dit:
Mais ce qui est importe dans la décision, c’est que la Chine peut le faire par décret et fermer les usines. Ils n’ont pas à s’inquiéter de la perte de dons politiques ou des chômeurs temporaires...

L'expert en bioéthique Wesley Smith a fait des remarques notamment sur cet article: «Maintenant, un auteur environnementaliste du nom de David Shearman a écrit un article hystérique pressant que nous rejetions la démocratie et adoptions l'autoritarisme du monde de mettre à exécution (sic) le consensus scientifique sur le réchauffement mondial et d'autres cas prétendus d'urgence du monde. Et il présente la Chine tyrannique (des avortements obligatoires, des infanticides, des meurtres de prisonniers pour leurs organes, la répression des dissentiments, la Place Tiananmen, etc. à nous en donner la nausée) comme l'exemple à suivre parce qu'elle a interdit les sacs en plastique! J'ai averti que certains parmi nous adorent à l'autel du scientisme et qui veulent instituer une scientocracie où les scientifiques feront main basse sur nos vies en condamnant nos opinions... J'ai averti à plusieurs reprises que nous souffrons de l'expertite, mon terme pour la tendance de remettre les décisions politiques les plus importantes à des experts.

De retour à Son Éminence grise du Canada...

Qu'a exactement dit Suzuki? Selon un article du National Post, vers la fin de son discours, le docteur Suzuki a dit:
«Nous ne pouvons plus tolérer ce qui se passe à Ottawa et Edmonton.»,

et ensuite encourager les participants à tenir les politiciens à une plus grande norme verte:

«Je vous exhorte à faire beaucoup d'efforts afin de trouver un moyen légal dejeter en prison nos chefs prétendusoarce ce qu’ils font est est un acte criminel.»,

a dit le docteur Suzuki, un ancien membre de la Canadian Civil Liberties Association.
«C'est un crime intergénérationnel face à toute la connaissance et la science pour plus de 20 ans.»

Ainsi où a-t-il dit cela? Dans la boutique arrière d’un club anonyme noir de fumé du monde criminel? C’est proche. En réalité, il parlait devant à la McGill Business Conference on Sustainability. C'est une collection de luminaires célestes, s’il en fut jamais. Comment le sais-je? Bien, parce qu'ils ont applaudi quand le Grand Prêtre du culte Vert a suggéré la prison pour ses adversaires. C'est la sorte d'intelligence supérieure que nous formons dans les écoles publiques ces jours-ci. Le Canada doit faire l'objet d'envie d'autres grandes nations du monde ces présentement: des places comme Cuba, la Corée du Nord et le Zimbabwe!

Heureusement, des gens se prononcent déjà pour condamner les visions bizarres de David Suzuki. Un député conservateur de l'Ontario - entre autres - l'a traité de fasciste. Ce serait Randy Hillier, le vigoureux avocat des droits de la propriété privé qui est devenu infâme comme fondateur et le chef de la Lanark Landowners’ Association des propriétaires terriens. Où pouvons-nous trouver plus de politiciens comme lui?

Et l'hôte provocateur de la parlote hertzienne de la Saskatchewan, John Gormley, a aussi écrit une chronique envoyant au diable M. Suzuki, soulignant entre autre que si un autre au Canada préconisait d’emprisonner les gens pour le crime de

«discordance avec eux, ils seraient correctement appelés des fanatiques, des fascistes ou ignorés en tant que drôles d’individus.»

Un porte-parole du chef du Culte Vert prétend maintenant que Suzuki plaisantait seulement. Ben voyons! Arrêtez de rire. J’ai presque fini...

Je viens d'achever d'écrire un livre qui frappe au coeur du fondamentalisme religieux et de l'extrémisme anti-scientifique des gens comme David Suzuki. Mon nouveau livre aborde l’environnementalisme d'une perspective théologique, faisant le point que l'approche exclusivement religieuse de David Suzuki à la question à cette heure justifie une réponse chrétienne responsable et complète. Nous espérons que ce livre sera disponible vers la fin de mars. Il ajoutera à la nouvelle preuve à un point central dans mon premier livre, l'État contre l'Église: que la liberté civile sociale, la liberté personnelle et la liberté économique sont toutes enracinées dans une vue du monde judéo-chrétien; et que toute autre vue du monde est une menace totalitaire à cette vision de liberté.

Tim Bloedow est l'auteur de State vs. Church: What Christians Can Do to Save Canada from Liberal Tyranny. Il a travaillé comme chercheur, auteur de discours et coordonnateur de médias pour deux membres du parlement. Tim a aussi travaillé comme un auteur indépendant et chercheur et membre d'un groupe de pression pour la Campaign Life Coalition. Tim, marié avec deux enfants, a aussi l'offre de candidature comme candidat du Parti Héritage Chrétien du Canada.

Ce que les dénigreurs des changements climatiques contestent vraiment

Voici comment répondent la gaugauche de la verdure quand ils sont attaqués.

Griffin, Palin et d'autres font preuve de narcissisme enfantin, dit le psychanalyste du The First Post

Coline Covington

LE 17 DÉCEMBRE 2009

Dans un discours au Parlement européen le mois dernier, Nick Griffin, le chef du Parti national britannique (British National Party, BNP), a traité les scientifiques et les politiciens qui recommandent vivement des contrôles internationaux pour refréner les effets des changements climatiques «d'originaux». Griffin, qui est maintenant un membre du Parlement européen à Copenhague, a déclaré qu'un consensus orwellien avait été atteint, basé pas sur l'unanimité scientifique, mais par l’intimidation, la censure intimidante et la statistique frauduleuse.

Ce que Griffin revendique est presque exactement contraire à la vérité. Tandis qu'il y a la preuve scientifique accablante que les changements climatiques arrivent et que nous les influençons activement pour le pire, il n'y a aucun consensus scientifique pour le contraire. La censure intimidante à laquelle il se réfère a eu lieu dans les cambriolages de laboratoire et le piratage informatique employé pour acquérir la preuve sélective, qui est alors prise hors contexte pour soutenir la thèse des dénigreurs.

Bref, Griffin et ses disciples diffament leurs adversaires en les salissanat avec ce qui est en effet leur propre désir de déformer la vérité pour soutenir leur propre plan.

Les partisans des changements climatiques sont maintenant aussi étiquetés comme "les nouveaux rouges". Dans le même discours, Griffin a dit: «Les maniaco-intello anti-occidentaux de la gauche ont subi une panne collective quand le communisme s'est effondré. Les changements climatiques sont leur nouvelle théologie... Mais les hérétiques auront une voix à Copenhague et la vérité sortira. Les changements climatiques sont employés pour imposer une utopie anti-humaine aussi mortelle que tout ce qu’ont conçu Staline ou Mao.»

C'est la rhétorique de la Guerre froide. Les "maniaco-intello anti-occidentaux " doivent être supprimés et la pureté de l'état occidental préservé. Sans surprise, cela s'accorde avec la politique d'anti-immigration dure de Griffin. On voit la menace à l'instinct de conservation venir "des intellectuels" qui veulent, dans l’esprit de Griffin et d'autres, établir un état totalitaire qui a le contrôle complet de l'individu.

Le contrôle est le problème-clé pour les dénigreurs des changements de climat - le contrôle sur la façon que nous vivons et comment nous employons les ressources mondiales. Sarah Palin, autre dénigreuse de la preuve des le changements climatiques, a ironiquement appelé à la meilleure preuve scientifique: la preuve qu'elle espère résistera aux découvertes que nous avons maintenant et manifestons que les restrictions de notre utilisation de l'énergie est simplement un moyen de contrôle politique plutôt que basé sur la réalité de limiter les dégâts.

Palin, comme d'autres politiciens qui nient les changements climatiques, tient beaucoup parce qu'elle voit le débat des changements climatiques comme non seulement ayant des implications mondiales, mais comme conférant plus de pouvoir sur l'avenir de nos vies. Et elle a raison.

Les changements de climat menacent notre omnipotence narcissique. Les dénigreurs ne veulent pas se fairre dirre qu’ils ne peuvent pas conduire de grosses voitures ou faire fonctionner deux réfrigérateurs. Ils veulent s'accrocher à la croyance que non seulement la mère terre a des ressources illimitées, mais que ces ressources doivent rester entièrement sous leur contrôle.

C'est une mentalité ressemblant au narcissisme des petits enfants qui veulent garder leur illusion d'omnipotence et le contrôle de la mère. Toute menace à leur position est éprouvée comme une blessure narcissique qui est tolérable seulement à la mesure que leur attachement à la mère est relativement sûr.

Cela fait partie du premier développement normal que nous tous passons. Le narcissisme à cette étape est une défense nécessaire contre la vulnérabilité réelle de l'enfant en bas âge qui pourrait autrement être accablant. Il sert aussi à protéger l'enfant de l'inquiétude de la séparation et la perte. Dans notre esprit, c'est un état "de faire un avec la mère et le monde. Comme nous grandissons, les limites de la réalité défient inévitablement notre omnipotence et nous apprenons comment accepter des restrictions externes avec notre propre vulnérabilité et la mort ultime.

Les négateurs des changements climatiques représentent une partie de notre psychisme du monde qui essaye désespérément de maintenir l'illusion narcissique que nous pouvons continuer à piller les ressources mondiales sans conséquences: autrement dit, que le sein de la mère est là pour être tété.

Cependant, comme le sein du monde commence à se tarir, l'inquiétude de la perte, la vulnérabilité et notre propre destructivité deviennent de plus en plus insupportable. Une façon de contrôler l'inquiétude est de nier la réalité. La réalité elle-même devient l'ennemi qui défie cette hégémonie narcissique et doit être attaqué en conséquence. Le besoin de maintenir le contrôle se transforme alors en paranoïa.

Tandis que les scientifiques sont accusés de préparer une conspiration de déformer la vérité pour contrôler les autres, c'est précisément ce que les négateurs des changements climatiques font.

mardi, décembre 15, 2009

Climategate: Le monde du réchauffement climatique révélé au grand jour

Montréal, 15 décembre 2009 • No 273

OPINION
Climategate: Le monde du réchauffement climatique révélé au grand jour *


« Les deux MM cherchent depuis des années à obtenir les données des stations du CRU. S'ils apprennent jamais qu'il existe une loi sur l'accès à l'information aujourd'hui au Royaume-Uni, je pense que je vais effacer les fichiers au lieu de les envoyer à qui que ce soit. Nous avons également une loi sur la protection des données, derrière laquelle je vais me cacher. »

Voilà en apparence ce qu'a écrit Phil Jones, le directeur de l'Unité de recherche climatique (CRU – Climate Research Unit) de l'Université d'East Anglia et l'un des climatologues les plus en vue de la planète, dans un courriel envoyé en 2005 à « Mike ». Selon ce que l'on peut en déduire à partir des échanges de courriels, il s'agit de Michael Mann, qui est directeur du Centre des sciences de la terre de l'Université de Pennsylvanie. Nous avons déniché ce petit morceau intéressant dans la pile de plus de 3000 courriels et documents dévoilés la semaine dernière après que les serveurs du CRU aient été piratés et que des messages échangés par certains des climatologues les plus influents du monde aient été diffusés sur Internet.

Les « deux MM » sont presque certainement Stephen McIntyre et Ross McKitrick, deux Canadiens qui ont consacré des années à essayer d'obtenir les données brutes et les codes utilisés dans les graphiques et modèles servant à étudier l'évolution du climat, puis à vérifier les conclusions publiées sur cette base – une tâche méticuleuse qui nous apparaît clairement comme un service d'utilité publique et d'intérêt scientifique. M. Jones n'a pas répondu à nos questions et l'université a déclaré qu'elle ne pouvait confirmer l'authenticité des courriels, même si elle a reconnu que ses serveurs ont bel et bien été la cible d'une attaque.

On découvre beaucoup de choses même en passant en revue une fraction des courriels. Les scientifiques semblent occupés à s'exhorter les uns les autres à présenter une perspective « unifiée » sur la théorie des changements climatiques provoqués par l'homme tout en discutant de l'importante de leur « cause commune »; à se donner des conseils sur les façons d'arranger les données pour ne pas compromettre leur hypothèse préférée; à discuter des moyens à prendre pour exclure les points de vue opposés des revues les plus prestigieuses; et à s'échanger des trucs sur les façons de «masquer le déclin» des températures dans certaines séries de données dérangeantes.

Certaines des personnes mentionnées dans les courriels ont répondu à nos demandes d'entrevue en disant qu'elles devaient d'abord consulter leurs avocats. D'autres ont répondu par des menaces de poursuites et des insultes personnelles. D'autres encore n'avaient rien à dire. Celles qui ont bien voulu commenter ont insisté sur le fait que les courriels ne révèlent rien de plus que des divergences de vue sans importance sur certains chiffres et des débats de procédure.

Tous ces refus de répondre ont toutefois pour effet de souligner ce qui pourrait bien être l'aspect le plus révélateur de cette histoire: le fait que ces scientifiques considèrent que le public n'a pas le droit de savoir sur quoi ils se basent pour faire leurs prévisions sur les changements climatiques, même lorsque les gouvernements se préparent à adopter des lois qui entraîneront des coûts ahurissants en réponse à ces prévisions.

« Tous ces refus de répondre ont toutefois pour effet de souligner ce qui pourrait bien être l'aspect le plus révélateur de cette histoire: le fait que ces scientifiques considèrent que le public n'a pas le droit de savoir sur quoi ils se basent pour faire leurs prévisions sur les changements climatiques, même lorsque les gouvernements se préparent à adopter des lois qui entraîneront des coûts ahurissants en réponse à ces prévisions. »

Voyez par exemple ce message qui semble avoir été envoyé par M. Jones à M. Mann en mai 2008: « Mike, peux-tu effacer tous les courriels que tu aurais pu envoyer à Keith concernant AR4? Keith va faire de même. Peux-tu aussi écrire à Gene pour lui demander de faire la même chose? » AR4 est le terme diminutif pour désigner le Quatrième Rapport d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), présenté en 2007 comme un consensus sur l'état de la situation présumément devenue très critiques sur le plan des changements climatiques causés par l'homme.

Dans un autre courriel qui aurait été envoyé en septembre 2007 à Eugene Wahl du Programme de paléoclimatologie de l'Agence nationale de recherche océanique et atmosphérique (National Oceanic and Atmospheric Administration) ainsi qu'à Caspar Ammann de la Division des dynamiques climatiques et planétaires du Centre national pour la recherche atmosphérique (National Center for Atmospheric Research's Climate and Global Dynamics Division), M. Jones écrivait: « Essaie de modifier la date de réception! Ne donne pas à ces sceptiques quelque chose avec lequel ils pourront s'amuser. »

Lorsque les tentatives d'effacer, de falsifier ou de retenir de l'information ne suffisaient pas, M. Jones a suggéré une solution de rechange dans un courriel d'août 2008 à Gavin Schmidt de l'Institut Goddard pour les études spatiales de la NASA, également envoyé à M. Mann en Cc: « La réponse toute faite que nous utilisons tous sur la loi d'accès à l'information est celle-ci, écrit-il. Le GIEC est exempté de toute loi nationale d'accès à l'information – c'est ce qu'on a dit aux sceptiques. Même si nous... gardons possiblement des renseignements pertinents, le GIEC n'entre pas dans le cadre de nos attributions (déclaration de mission, objectifs, etc.) et nous n'avons donc aucune obligation de fournir les renseignements. »

Il semble également que M. Mann et ses amis n'hésitaient pas à mettre sur une liste noire les scientifiques qui contestaient certaines de leurs affirmations, ou les revues qui publiaient leurs travaux. « Je pense que nous devons cesser de considérer Climate Research comme une revue légitime qui fait une révision par les pairs », lit-on dans un courriel apparemment rédigé par M. Mann et envoyé à plusieurs destinataires en mars 2003. « Il faudrait peut-être encourager nos collègues dans la communauté de la recherche sur le climat à ne plus soumettre des articles à cette revue, ni citer ceux qui y sont publiés. »

Le principal reproche de M. Mann était que la revue en question avait publié plusieurs articles remettant en question certains aspects de la théorie du réchauffement planétaire anthropogénique.

Pour la petite histoire, lorsque nous avons par le passé demandé à M. Mann ce qu'il pensait de l'accusation selon laquelle lui et ses collègues empêchent les points de vue opposés de s'exprimer, il nous a dit que « cette question n'est même pas digne d'une réponse ». Concernant nos plus récentes questions à propos des courriels piratés, il a dit qu'il n'a « d'aucune façon manipulé quelque donnée que ce soit », mais a refusé de répondre à des questions plus spécifiques. Précisons que notre objectif n'est pas de nier la probité du travail de M. Mann, et encore moins son droit de garder le silence.

Nous disposons toutefois maintenant de centaines de messages qui donnent clairement l'impression que des climatologues renommés ont cherché de manière concertée et coordonnée à adapter les données pour qu'elles correspondent à leurs conclusions, tout en essayant de faire taire et de discréditer leurs critiques. Au palmarès des vérités qui dérangent [Note du trad.: le titre du film d'Al Gore est Une vérité qui dérange], celle-ci mérite sûrement que les médias, le Congrès américain et d'autres instances d'enquête s'y penchent plus sérieusement.

*Éditorial publié le 23 novembre dans le Wall Street Journal Europe sous le titre « Global Warming With the Lid Off ». Traduction de Martin Masse.

lundi, décembre 14, 2009

DÉNONCIATION TROUBLANTE DU TAMIFLU DE ROCHE

Le médicament anti-virale Tamiflu dénoncé comme une mystification complète; Les études de Roche sont une fraude scientifique

(NaturalNews) Quand il en vient à vendre des produits chimiques qui prétendent soigner la grippe porcine H1N1, les options de l'industrie pharmaceutique se limitent à deux: vaccins et anti-viraux. Le plus populaire anti-viral, et de loin, est le Tamiflu, un médicament qui est en réalité tiré d'une herbe de la médecine traditionnelle chinoise appelée l‘anis étoilé.

Mais le Tamiflu n'est pas une herbe. C'est une concentration potentiellement fatale des composants chimiques isolés qui ont essentiellement été bio piratés de la médecine chinoise. Et quand vous isolez et concentrez des produits chimiques spécifiques dans ces herbes, vous perdez la valeur (et la sécurité) du plein spectre de la phytothérapie.

Cela n'a pas arrêté le fabricant du Tamiflu, Roche, d'essayer de trouver un marché de multi milliards de dollars pour son médicament. Pour percer dans ce marché, cependant, Roche a eu besoin de rassembler quelques preuves que le Tamiflu était et sécuritaire et efficace.



Roche se commet dans la fraude scientifique

Roche prétend qu’il y a dix études prouvant que le Tamiflu est et sûr et efficace. Selon la société, Tamiflu a toutes sortes de bénéfices, incluant la réduction de 61 % d'admissions à ;’hôpital par ceux qui attrapent la grippe et qui ensuite sont sur le Tamiflu.

Le problème avec ces revendications consiste en ce qu'elles ne sont pas vraies. Elles ont été simplement inventées par Roche.

Un article révolutionnaire récemment publié dans le British Medical Journal accuse Roche d’induire les gouvernements et les médecins en erreur et des sur les bénéfices du Tamiflu. Des dix études citées par Roche, seulement deux ont été publiées dans des revues scientifiques. Et où sont les données originales de ces deux études? Perdues.

Les données ont disparu. Les fichiers ont été jetés. Le chercheur d'une étude dit qu'il n’a jamais même vu les données. Roche s'est occupé de tout cela, explique-t-il.

Ainsi la Cochrane Collaboration, chargée d’examiner les données derrière le Tamiflu, décidé d’investiguer. Après des demandes répétées à Roche pour les données d'étude originales, elles sont restés cachées. Les seules données complètes qu'ils ont reçues provenaient d'une étude non publiée sur 1 447 adultes qui ont montré que le Tamiflu n'était pas meilleur que le placebo. Les données des études qui ont revendiqué que le Tamiflu était efficace sont apparemment perdues pour toujours.

Comme le rapporte l'Atlantic, c'est quand les anciens employés d'Adis International (essentiellement une grosse agence pharmaceutique de relations publiques) a choqué le monde médical en annonçant qu’ils avaient été embauchés pour écrire les études pour Roche.

Encore mieux, Roche a dit à ces chercheurs quoi écrire!

Comme un de ces nègres écrivains a dit au British Medical Journal:


«La filière Tamiflu contenait une liste de messages clefs que vous deviez entrer. Le service de commercialisation [Roche] dirigeait l’affaire et vous lui étiez redevables. Dans l'introduction... je devais dire quel grand problème la grippe était. Je devais aussi en arriver à la conclusion que le Tamiflu était la réponse.»


Autrement dit, le service de commercialisation de Roche dirigéait la science et disait aux chercheurs quelles conclusions tirer des expériences cliniques. Les chercheurs engagés pour conduire la science étaient contrôlés par les marionnettistes du service de commercialisation. Peu importe ce qu'ils trouvaient dans la science, ils avaient déjà été ordonnés de conclure que: «Le Tamiflu est la réponse

Maintenant, je ne sais pas ce que vous en dites, mais d’où je viens nous appelons cela de la fraude scientifique. Et comme de nombreuses enquêtes de NaturalNews l’ont révélé, cela semble être le statu quo dans l'industrie pharmaceutique.

Pratiquement on ne peut avoir confiance à la science" conduite par l'industrie pharmaceutique parce que ce n'est pas vraiment la science en premier lieu. C'est juste la propagande maquillée pour ressembler à la science.

Tristement, même cette duperie d'expérience clinique a mystifié le CDC. Comme le dénonce l’auteur Shannon Brownlee dans le The Atlantic:


«Le Centers for Disease Control and Prevention semble fonctionner dans un autre univers, où la science valable n'importe plus à la politique publique. Les recommandations à propos de la grippe de l'agence sont synchronisées avec les revendications de Roche que le médicament peut sauver des vies - malgré les découvertes du FDA et malgré le manque d'études pour prouver une telle revendication. Qui plus est, ni le CDC ni la FDA n'ont exigé les types d’études scientifiques qui pourraient définitivement déterminer si vraiment les revendications de la société sont vraies: ce Tamiflu réduit le risque de complications sérieuses et sauve des vies. Nancy Cox, qui est à la tête du programme de la grippe du CDC, nous a dit plus tôt cette année qu'elle s'oppose à une étude contrôlée de placebo (dans laquelle on donnerait à la moitié des patients le Tamiflu et on l'autre moitié du placebo), parce que les bénéfices du médicament sont déjà prouvés.»


Avez-vous capté la dernière phrase? Le CDC n'est pas intéressé à mettre à l'épreuve le Tamiflu parce que les bénéfices du médicament sont déjà prouvés. Sauf qu’ils ne le sont pas. Mais c'est comment l'industrie pharmaceutique fonctionne:


Étape 1) Fabriquer la preuve que votre médicament soit efficace.

Étape 2) Utiliser cette preuve frauduleuse pour faire approuver votre médicament.

Étape 3) Utiliser cette preuve frauduleuse pour créer une demande pour votre médicament (et encourager les gouvernements à en faire ample provision).

Étape 4) Éviter toute étude réellement scientifique en revendiquant que le médicament a déjà prouvé son efficacité (et citer vos études originales frauduleuses comme preuve).
C'est la recette le CDC suit en ce moment même avec le Tamiflu. C'est une recette de stupidité scientifique et de logique qui tourne en rond, bien sûr, mais cela semble être drôlement commun dans la communauté médicale ces jours-ci.

Même la FDA dit que le Tamiflu n’est pas efficace

La FDA, notablement, n'a pas entièrement été mystifiée par le Tamiflu. Ils ont exigé que Roche imprime le déni suivant sur l’étiquette du Tamiflu - un déni qui admet ouvertement que le médicament n'a jamais été prouvé efficace:


«Le Tamiflu n'a pas prouvé avoir un impact positif sur les conséquences potentielles (comme des hospitalisations, la mortalité, ou un impact économique) de la grippe aviaire ou pandémique saisonnières.»


Même plus que cela, un porte-parole de la FDA a dit au British Medical Journal:
«Les expériences cliniques... n’ont pu démontrer aucune différence significative dans les taux d'hospitalisation, des
complications, ou de mortalité chez kes patients recevant ou bien le Tamiflu ou bien un placebo.»


C'est le même message à maintes reprises, comme un disque phonographique balafré: le Tamiflu ne protège pas. Et la science qui dit le contraire est une histoire inventée de toute pièce depuis le début.

Le scandale de l’accumulation de réserves de Tamiflu

La fausse science est cependant est assez bonne pour le gouvernement américain. Basé sur rien de moins que la preuve fabriquée et la grande propagande pharmaceutique, le gouvernement américain a dépensé 1,5 milliards de $ en réserves de Tamiflu. Ce s'est avéré être une très bonne affaire pour Roche, mais un pauvre investissement pour les citoyens américains qui en fin de compte ont gaspillé des sommes énormes un médicament inefficace.

Comme l’écrit The Atlantic:

«Les Gouvernements, les agences de santé publique et les corps internationaux comme l'Organisation mondiale de la santé, ont tous basé leurs décisions de recommander et d’entasser le Tamiflu sur les études qui semblaient indépendantes, mais qui avaient en fait été financées par la société et conçues presque entièrement par des employés de Roche ou des consultants universitaires payés.»


Même si le Tamiflu était efficace, il y a des sources de virus d'H1N1 qui résistent au Tamiflu en circulation maintenant. Cliquez ici. L'article est en anglais.

En fin de compte les gouvernements dans le monde entier ont jeter des milliards de dollars par la fenêtre en entreposage d’un médicament inefficace - un médicament promu par la propagande et la fraude scientifique.

Ce n'est pas la première fois que le gouvernement gaspille l’argent des contribuables, bien sûr (ce semble être ce que le gouvernement américain fait le mieux), mais cet exemple est particulièrement inquiétant étant donné que cela a été fait avec l'excuse que les remèdes naturels sont inutiles et que seulement les vaccins et le Tamiflu peuvent vous protéger d'une pandémie.

C'est pourquoi tant de gens informés ont dans le monde entier se tournent vers la vitamine D, l'ail, les teintures anti-virales et les compléments alimentaires pour se protéger d'une potentielle pandémie que la plupart des gouvernements du monde ne savent pas comment empêcher.

Je trouve fascinant que les gouvernements du monde accumulent des médicaments inopérants, tandis que les gens de santé naturels du monde se procurent des remèdes naturels actifs. Si une réelle pandémie frappait jamais notre monde, nous savons qui survivra (ce ne seront pas les ignorants faisant le pied de grue attendant leurs pilules de Tamiflu...).

Quels remèdes sont vraiment efficaces pour augmenter la fonction immunitaire et protégent le corps des maladies infectieuses? J'ai publié un rapport spécial révélant mes cinq remèdes le plus recommandés: cliquez ici, article en anglais.

En plus des remèdes mentionnés dans ce rapport, je recommande aussi la vitamine de dose forte de vitamine D aussi bien que le produit de défense viral de http://www.plantcures.com/

Je n'ai aucun lien financier à aucune des sociétés dont je recommande les produits ici. À la différence de l'industrie pharmaceutique, je ne fonctionne pas purement pour le profit. Mon travail est d’informer les gens - information qui peut aider à sauver des vies et réduire la souffrance. C'est le travail que la FDA et le CDC doivent faire, mais qu’ils ont depuis longtemps abandonné dans leur trahison du peuple américain.

Sources: cliquez sur la source!
http://www.theatlantic.com/doc/200912u/tamiflu

http://www.bmj.com/cgi/content/full/339/dec07_2/b5106

http://www.bmj.com/cgi/content/full/339/dec10_2/b5405

vendredi, décembre 11, 2009

CUBA ET LA LIBERTÉ RELIGIEUSE

Cuba: Le pape salue les progrès de la liberté religieuse

Le pays s’ouvre au monde et le monde à Cuba


ROME, Jeudi 10 décembre 2009 (ZENIT.org) - Benoît XVI a salué les progrès de la liberté religieuse à Cuba et reprend le vœu de Jean-Paul II: que Cuba continue de s'ouvrir au monde et le monde à Cuba. Il voit dans le dégel avec les Etats-Unis un pas dans la bonne direction.

Le pape a reçu ce matin en audience au Vatican le nouvel ambassadeur de Cuba près le Saint-Siège, M. Eduardo Delgado Bermúdez, qui lui a présenté ses lettres de créance.

Pour Benoît XVI en effet, le vœu exprimé par Jean-Paul II en 1998, dans l'avion pour Cuba, lors de l'échange avec la presse, a commencé à devenir réalité, en dépit des difficultés.

Benoit XVI a constaté que Cuba «assume un rôle décisif, en particulier dans le contexte économique et politique des Caraïbes, et de l'Amérique latine».

Mais il relève surtout l'ouverture avec les Etats-Unis comme un signe historique: «Certains signaux de dégel dans les rapports avec les Etats-Unis voisins feraient présager de nouvelles occasions pour une approche réciproquement avantageuse, dans le plein respect de la souveraineté et du droit des Etats, et de leurs citoyens».

Le pape a souligné la collaboration de Cuba avec de nombreux Etats dans des «domaines vitaux comme l'alphabétisation et la santé» et dans la promotion de la coopération et de la solidarité internationale», en dépit de la situation internationale marquée par la «grave crise économique et financière» à laquelle les Etats doivent remédier sans pour autant «négliger les besoins fondamentaux des citoyens».

Le pape a fait observer que Cuba n'est pas épargnée, surtout les plus nécessiteux: «Comme de nombreux autres pays le vôtre aussi subit les conséquences de la crise mondiale qui, unie aux effets dévastateurs des catastrophes naturelles et de l'embargo économique, frappe surtout les personnes et les familles les plus pauvres».

«Dans cette situation complexe se manifeste une fois encore la nécessité urgente d'une économie construite sur des bases éthiques solides et qui place la personne et ses droits, son bien-être matériel et spirituel au centre de ses intérêts».

Dans ce contexte, le pape a souligné que l'Eglise cubaine se sent «proche de la population» et veut apporter sa «contribution par une aide modeste et efficace».

Le pape a aussi rappelé que l'Eglise cubaine se prépare à célébrer, en 2012, le 4e centenaire de la découverte et de la présence de l'image bénie de la Vierge de la Charité, Mère et patronne de Cuba.

Le pape a constaté que la consolidation de la coopération avec les autorités du pays a permis «la réalisation des grands projets et de l'assistance à la reconstruction, en particulier durant les catastrophes naturelles».

«J'espère, a souhaité Benoît XVI, que des signaux concrets d'ouverture pour l'exercice de la liberté religieuse continueront de se multiplier, comme ce fut le cas ces dernières années, par exemple avec la possibilité de célébrer la messe dans certaines prisons, de réaliser des processions religieuses, de pourvoir à la réparation et à la restitution de certaines églises, et la construction de maisons religieuses, ou la possibilité de disposer de protections sociales pour les prêtres et les religieux».

«La communauté catholique peut ainsi exercer plus librement son rôle pastoral spécifique», s'est réjoui le pape.

Benoît XVI n'a pas caché que ses «antiques racines chrétiennes» ont conféré à Cuba «un patrimoine spirituel et moral extraordinaire qui a contribué de façon décisive à créer «l'âme» cubaine , en lui donnant un caractère et une personnalité propre».

Elles lui ont enseigné, a précisé le pape, ces valeurs morales et spirituelles que sont par exemple «le respect de la vie, de sa conception à la mort naturelle », qui « rendent l'existence humaine plus digne».

C'est pourquoi le pape a souhaité que le dialogue avec les autorités cubaines - comme cela se fait avec d'autres nations - conduise à la définition d'un cadre normatif pour « le rapport correct et jamais interrompu entre le Vatican et Cuba », de façon à garantir un «développement adéquat de la vie et de l'activité pastorale de l'Eglise dans cette Nation».

Benoît XVI a encouragé le travail de pardon et de réconciliation en disant : « Le principal service fourni par l'Eglise catholique cubaine est l'annonce de Jésus Christ, et son message d'amour, de pardon et de réconciliation dans la vérité. Un peuple qui avance sur ce chemin d'harmonie est un peuple qui nourrit l'espérance d'un avenir meilleur ».

Anita S. Bourdin

REVENIR AUX VRAIES VALEURS

Lutter contre les changements climatiques en revenant aux vraies valeurs

Déclaration du président de la COMECE

ROME, Jeudi 10 décembre 2009 (ZENIT.org) - Les représentants des 27 Etats membres de l'Union européenne doivent faire leur possible pour garantir que la conférence de Copenhague adopte un accord courageux, juste et compréhensif, pour protéger le climat et promouvoir un retour aux valeurs non matérielles.

C'est l'appel lancé par le président de la Commission des épiscopats de la Communauté européenne (COMECE), Mgr Adrianus van Luyn, juste avant la rencontre, les 10 et 11 décembre, du Conseil européen à Bruxelles.

«La communauté mondiale ne saura faire face aux changements climatiques que si toutes les personnes politiquement responsables s'unissent, affirme-t-il dans une déclaration. A Copenhague, le bien commun mondial doit prévaloir sur les intérêts purement nationaux. Le temps presse. Au lieu de tactiques incertaines, ce qu'il faut c'est une action décisive».

Lançant un appel particulier à l'Union européenne, le président de la COMECE a demandé aux «décideurs» de reprendre à Copenhague le rôle que l'Union européenne avait su assumer par le passé, se montrant «capable de guider les forces mondiales dans la lutte contre les changements climatiques».

La question des changements climatiques est de plus en plus une question de survie pour les générations futures. Pour cette raison, Mgr van Luyn encourage les décideurs à prendre à cœur l'appel de Benoît XVI qui invite à « laisser la terre aux nouvelles générations dans un état tel qu'elles puissent l'habiter décemment et continuer à la cultiver» (Caritas in veritate, n. 50).

Dans un contexte où beaucoup de pays pauvres souffrent déjà des conséquences climatiques sans avoir de ressources pour affronter le nombre croissant des inondations, les périodes de sécheresse, le manque d'eau et les mauvaises récoltes, «ce n'est pas faire acte de charité, mais de justice, que de rendre les pays en voie de développement capables, grâce à un important soutien financier, de s'adapter aux effets nuisibles des changements climatiques, et de vouloir leur offrir des perspectives de croissance écologiquement durables» .

«Nous sommes fermement convaincus qu'un accord mondial sur le climat doit tout faire pour atteindre cet objectif qui consiste à limiter la hausse de la température mondiale à moins de 2°C. Pour obtenir cela, les pays industrialisés, mais aussi les pays émergents, doivent s'engager à réduire considérablement leurs émissions de gaz à effet de serre sur la base des recommandations de la communauté scientifique».

Un accord sur la protection du climat, a relevé Mgr van Luyn, doit également prévoir des objectifs obligatoires pour les pays développés concernant le transfert de technologie et le soutien financier aux pays pauvres.

L'aide économique permettra des investissements pour développer l'efficacité énergétique, les énergies renouvelables et les technologies durables, en finançant aussi des mesures pour aider les pays en voie développement à s'adapter aux changements climatiques.

Cette aide spécifique devrait s'ajouter à l'aide au développement déjà objet d'accords

Mgr van Luyn encourage donc les fidèles et toutes les personnes de bonne volonté à adopter un style de vie écologiquement durable, caractérisé par un retour aux valeurs non matérielles et à un esprit de modération volontaire.

«Aujourd'hui plus que jamais, nous avons besoin d'une vision de la vie qui soit holistique, non pas fondée sur la richesse matérielle, mais sur la richesse des relations humaines et sur les valeurs culturelles et spirituelles», a-t-il conclu.

IRAK

VIOLENCE FAITE AUX CHRÉTIENS QUE LES FÉMINAZISTES DEVRAIENT RECEVOIR

«Violences antichrétiennes en Irak: deux frères tués à Mossoul»

Au lendemain du massacre de Bagdad


ROME, Jeudi 10 décembre 2009 (ZENIT.org) - «Violences antichrétiennes en Irak: deux frères tués à Mossoul» proteste Radio Vatican ce 10 décembre.

«La violence antichrétienne ne cesse pas en Irak, explique Radio Vatican, dans son édition de la mi-journée en italien. La police a retrouvé, hier soir, les cadavres de deux frères, des chrétiens de Mossoul».

Ils ont été tués tous les deux d'un coup d'arme à feu à la tête: ce qui ressemble à une exécution, peut-être due aux «sunnites extrémistes» qui ont déjà attaqué des chrétiens par le passé, précise la même source.

Ils étaient originaires de Batnaya, un village chrétien situé à 20 km au Nord de Mossoul. Ils se trouvaient dans la zone industrielle de la ville pour réparer leur camion citerne.

Le 8 décembre, à Bagdad, 127 personnes ont déjà péri dans un attentat qui a fait également quelque 500 blessés : une attaque terroriste revendiquée par al Qaeda, demandant l'application de la charia en Irak.

Mais le Premier ministre Nouri al Maliki a limogé le chef des forces de sécurité et il a lancé cet avertissement : ne pas politiser les attentats.

Pour sa part, un haut fonctionnaire accuse Damas et Riyad de « complicité » dans ce massacre.

Le directeur général des forces de sécurité irakiennes, le général Jihad al-Jabiri, estime qu'une telle opération suppose des «capitaux immenses» et qu'ils viennent de Syrie et d'Arabie, et pas à l'insu des gouvernants respectifs. Toujours selon lui, le matériel explosif employé «vient de l'étranger».

dimanche, décembre 06, 2009

La dépression oubliée de 1920

Cet aarticle est une ébauche seulement

La dépression oubliée de 1920

Cet article a été d'abord publié dans la à l'automne 2009 dans The Intercollegiate Review.

C'est un cliché que si nous n'étudions pas le passé nous sommes condamnés à le répéter. Il est presque aussi certain que s'il y a des leçons à être apprises d'un épisode historique, la classe politique va en tirer les mauvaises conclusions, et cela souvent sciemment.

Loin de voir le passé comme une source potentielle de sagesse et perspicacité, les régimes politiques ont l'habitude d'employer l'histoire comme une arme idéologique, en féformant les faits, tout cela dans le but de manipuler les gueux pour satisfaire leurs propres intérêts mesquins de l'heure. C'est ce que Winston Churchill voulait dire quand il a décrit l'histoire de l'Union soviétique comme "imprévisible".

Pour cette raison, ne souons pas étonnés que nos capitaines politiques ont agi de même et avec transparence idéologique suite à la crise financière présente à la fin de 2007. Selon l'opinion commune et souvent répétée, la Grande Dépression des années 1930 était le résultat du capitalisme se débridé et seulement les sages interventions des politiciens progressifs vont remener la prospérité.

Beaucoup d'entre ceux qui concèdent que les programmes du New Deal seuls n'ont pas réussi à remettre l’économie sur les rails continuent néanmoins à dire que les dépenses massives gouvernementales pendant la Deuxième Guerre mondiale ont fait sortir de la crise économique. [1] (Même quelques fines lames du libre marché le revendiquent, ce qui apporte de l’eau au moulin des promoteurs de la théorie du stimulus fiscal.)

Le rapport entre cette version de l'histoire et les événements d'aujourd'hui est assez évident: de nouveau, le capitalisme financièrement douteux a créé un désordre énorme et de nouveau, seulement une combinaison de stimulus fiscaux et monétaires peut nous sauver.

Pour s'assurer que cette version des événements soit gobée, on ne fait pas souvent mention publiquement de la dépression de 1920. Et pas étonnant - que l'expérience historique dégonfle les ambitions de ceux qui nous promettent des solutions politiques aux déséquilibres réels au coeur des crises économiques.

L'opinion commune est qu'en l’absence de politiques anticycliques d'investissements publics fiscales ou monétaires (ou les deux), nous ne puissions pas rétablir l’économie - au moins, pas sans un intolérable long retard. Encore est-il que des politiques contraires appliquées pendant la dépression de 1920-1921 ont rapidement corriger la situation.

La situation économique en 1920 était terrible. En cette année le chômage avait sauté de 4 pour cent à presque 12 pour cent et le revenu national brut avait décliné de 17 pour cent. Pas étonnant, alors, qu’Herbert Hoover, le ministre du Commerce - faussement caractérisé comme un partisan du laisser faire économique de laissez faire - Président pressé Harding pour considérer un tableau d'interventions pour tourner l'économie autour. Hoover a été ignoré.

Le Laissez-faire est un courant de pensée économique et politique primitivement né en opposition au mercantilisme. De nos jours il s'oppose en économie aux politiques interventionnistes. Le terme représente également un principe dans la philosophie chinoise.

Comme courant de pensée économique, l'expression a circulé au XVIIIe siècle pour obtenir du pouvoir monarchique la disparition des obstacles à la création de nouvelles entreprises (suppression des privilèges exclusifs accordés à des compagnies monopolistiques, à des villes portuaires, à des corporations de manufacturiers), mais aussi levée des interdits faits aux nobles et au clergé régulier de s'adonner aux activités productrices marchandes. Vincent de Gournay, qui avait demandé, en 1752, à Trudaine de libérer le commerce du blé entre les provinces et qui s'inquiète de la contrebande, complète la formule en « laisser faire, laisser passer » (à l'infinitif). Après sa mort en 1759, elle a été reprise comme un système par les physiocrates doctrinaires (à l'impératif).

Au lieu "du stimulus fiscal," Harding coupe le budget du gouvernement presque de moitié entre 1920 et 1922. Le reste de l'approche d'Harding était également le laissez faire. Les taux fiscaux ont été réduits pour tous les groupes de revenu. La dette nationale a été réduite du tiers.

L'activité de la Réserve Fédérale, de plus, n’était pas considérable. Comme le décrivain historien en économie: «Malgré la sévérité de la contraction, le gouvernement fédéral n'a pas utilisé ses pouvoirs pour dépenser de l'argent pour combattre la contraction.» [2] À la fin de l'été 1921, les signes de rétablissement étaient déjà visibles. L'année suivante, le chômage était descendu à 6,7 pour cent et à seulement 2,4 pour cent en 1923.

Il est instructif de comparer la réponse américaine dans cette période à celle du Japon. En 1920, le gouvernement japonais a présenté les principes de base d'une économie planifiée, avec le but de tenir des prix artificiellement hauts, selon l’économiste Benjamin Anderson,

Les grandes banques, les industries concentrées et le gouvernement se sont réunies, détruit la liberté de commerce, arrêté la chute des prix et tenu les prix japonais plus hauts que ceux du monde en crise pendant sept ans. Pendant ces années le Japon a souffert de stagnation industrielle chronique et à la fin, en 1927, il avait une crise bancaire d'une telle sévérité que beaucoup de grands systèmes bancaires s’effondraient, aussi bien que beaucoup d'industries. C'était une politique stupide. Dans l'effort de prévenir des pertes sur l'inventaire représentant la production d'une année, le Japon a perdu sept ans. [3]

Les États-Unis, au contraire, ont permis à son économie de s’ajuster. «en 1920-21, écrit Anderson, nous avons subi nos pertes, nous avons rajusté notre structure financière, nous avons supporté notre dépression et en août 1921 nous avons commencé à remonter de nouveau. Le rassemblement dans la production et l'emploi qui a commencé en août 1921 était profondément basé sur un nettoyage résolu de la faiblesse du crédit, une réduction résolue des dépenses de production et sur le jeu de la libre entreprise privée. Ce n'était pas basé sur la politique gouvernementale conçue pour faire arranger les affaires.
Ce matin à Radio-Canada, la fine lame communiste, le chef du Bloc Québécois Gilles Duceppe, se faisait aller le clapet selon la tradition marxiste. La fine lame est stupéfaite des soi-disant tortures commises contre des prisonniers afghans révolutionnaires qui tuent nos soldats. Charité bien ordonnée commence par soi-même.

Le grand humaniste communiste oublie les 35 000 bébés tués dans le ventre de leur mère chaque année dans la seule province de Québec. Qui plus est, le marxiste trouve dangereux ceux qui combattent le meurtre de masse de nos enfants, payé par nos taxes, que nous soyons d’accord ou pas avec la tuerie.

L’agneau blanc Duceppe accuse le présent gouvernement de tous les maux. Il dit que le gouvernement a toujours raison. Duceppe habite une maison de verre et il devrait se regarder dans une glace.

Ses amis féministes célèbrent le malheureux massacre de la polytechnique. Ces féministes enragés font de la propagande pour désarmer le peuple selon la tactique communiste. Le premier à avoir passé une telle loi était Hitler. Lépine était probablement sur les antidépresseurs qui changent l’état d’esprit. Au Québec, les médecins donnent ces médicaments comme des bonbons à l’Halloween. Le problème n’est pas le contrôle des armes comme le contrôle des malades mentaux.

Un autre point qui démontre à quel point ces gens déforment la réalité c’est bien sur la torture des prisonniers. Ce maudit bon monde voit la guerre comme une joute sportive avec des règles à suivre et des punitions données par des arbitres. Il faut vraiment être naïf, menteur, ignorant ou communiste pour voir la réalité d’une façon aussi grossièrement déformée. La guerre ne fait pas de quartier, mais des massacres terribles. Au front, les soldats se battent pour demeurer vivant. La meilleure manière de ce faire est de tuer l’ennemi. Tous les moyens sont bons pour s’informer des ennemis. Ceux qui prétendent le contraire devraient plutôt s’engager pour l’Afghanistan d’abord et parler ensuite.

Le récent massacre aux Philippines vient justement démontrer que les lois de contrôle des armes à feu ne servent à rien, sauf à mettre un cataplasme sur une jambe de bois.

La Fédération des femmes du Québec devrait s’attaquer à la violence faite aux bébés (filles et garçons) qui sont tués par milliers dans les abattoirs d’enfants.

59 personnes viennent de se faire massacrer aux Philippines. Les femmes ont été violées avant de se faire abattre. Mais hommes et femmes ont été massacrés. La vie d’une femme vaut-elle plus cher que celle d’un enfant ou d’un homme?


Massacre aux Philippines : un notable arrêté

Le maire d'une commune des Philippines est le principal suspect du massacre qui a fait 57 morts, lundi, dans le sud du pays. Le gouvernement philippin a annoncé jeudi qu'Andal Ampatuan Junior avait été arrêté et serait transféré vers Manille pour y être interrogé. Son père, le puissant gouverneur de la province de Maguindanao sur l'île de Mindanao, qui est soupçonné d'être le commanditaire de cette tuerie, a rejeté les accusations.

Il n'y a rien de vrai dans tout cela», a-t-il déclaré.

Une rivalité pour le pouvoir

Pour l'armée et les proches des victimes, le gouverneur aurait organisé le massacre, perpétrée par des miliciens, pour empêcher un rival, Esmael Mangundadatu, chef d'un autre clan, de se porter candidat au poste de gouverneur lors d'élections prévues l'an prochain. Le gouverneur actuel souhaitait voir son fils assurer sa succession.

Une enquête a été ouverte à l'encontre de tous les fonctionnaires de police d'une commune sous le contrôle du suspect numéro un, a ajouté le gouvernement. «Tous les policiers du poste contrôlé par Ampatuan font l'objet d'une enquête, soupçonnés de complicité dans le crime», a déclaré le secrétaire à l'Intérieur, Ronaldo Puno.

Le père du suspect allié de la présidente

Le père d'Andal Ampatun est membre de la coalition de la présidente Gloria Arroyo, qui a promis mercredi que les responsables du massacre n'échapperaient pas à la justice. Le directeur général de la police nationale Jesus Verzosa a annoncé plus tôt qu'un certain nombre, non précisé, de meurtriers présumés avaient déjà été arrêtés. «Nous n'avons pas le nombre exact mais nos policiers sur le terrain en ont arrêté plusieurs», a déclaré le directeur général de la police Jesus Verzosa.

Une centaine d'hommes de main d'Ampatuan ont stoppé lundi un convoi de politiciens rivaux du clan d'Esmael Mangudadatu, qui comprenait un groupe de journalistes. Ils ont été enlevés, tués et enterrés à proximité d'une ferme. Les victimes, dont au moins 14 femmes, ont été découvertes le corps criblé de balles. Parmi les 57 victimes figurent 13 journalistes. La zone où l'état d'urgence a été décrété, a été bouclée jeudi par les forces de sécurité.

lundi, novembre 16, 2009

Un pédiatre dénoncent les mythes du vaccin

Mis à jour vendredi le 28 novembre à 09:27 heures

AVERTISSEMENT

Cette adaptation française est une ébauche seulement et pas encore complète. L'entrevue est long et je résume la pensée du pédiatre. Quand le texte sera final, cet avertissement ne sera plus.

Le pédiatre LARRY PALEVSKY dénonce les mythes du vaccin

Écrit par le docteur Mercola

Le 14 novembre 2009

Le docteur en médecine Larry Palevsky est un pédiatre de la New York School of Medicine et un des médecins d’avant-garde dans le pays qui, de mon avis, est en réalité capable de donner l’heure juste sur le vaccin.

La différence entre la théorie et la pratique

Docteur Palevsky: «À la faculté de médecine, on m'a appris que les vaccins étaient complètement sans danger et complètement efficaces et je n'avais aucune raison de croire le contraire. C’était ce que toutes les universités enseignaient et que la documentation médicale écrivait dans le monde entier. Je
n'avais aucune raison de ne pas le croire.

Au cours des an, j'ai continué à prescrire les vaccins comme appris à l’université. Mais ce que les parents me rapportaient était en contradiction avec ce que j’avais appris.

…Mais la documentation, les confidences des parents et des
autres médecins me démontrait que les vaccins n'avaient pas été complètement sans danger ou même complètement efficace, basé sur la documentation présente.

… Il ne paraissait pas que les études scientifiques aient été
convenablement conçues pour prouver et évaluer la sécurité et l'efficacité.

J’ai découvert des ingrédients incorrectement évalués, des échantillons déficients et des conclusions sur l’efficacité et la sécurité contraires standards scientifiques.»
Les vaccins étaient-ils vraiment efficaces contre les maladies passées?

La médecine conventionnelle montre que la poliomyélite et les épidémies de variole ont été vaincues par les vaccins ainsi que la plupart des maladies du 20ème siècle aux États-Unis cause du pouvoir, de la force et la mise en oeuvre de la politique du vaccin.

En attendant, il y a un numéro significatif d'études médicale qui montrent en réalité que beaucoup d'autres facteurs ont vaincus ces maladies infectieuses.

Par exemple, un article publié en 2000 dans le Pediatrics Journal décrit comment, avant la Deuxième Guerre mondiale, la majorité des maladies infectieuses étaeint soignées aux États=Unis - comme la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, la grippe, la tuberculose et la scarlatine - ont été toutes réduites avant la Deuxième Guerre mondiale et AUPARAVANT que n’existent les antibiotiques et les vaccinations contre ces maladies.

Les raisons pour les réductions de taux d'incidence et de la mortalité de ces maladies étaient principalement dues à la mise en oeuvre de stratégies de santé publique, incluant:

- de l’eau potable;
- de meilleures conditions de vie;
- d’un meilleur assainissement;
- d’une meilleure nutrition.

Il y a beaucoup d’autres exemples.

Les études appropriées de sécurité ont-elles été faites?

Ainsi, pourquoi n’y a-t-il pas unanimité parmi la communauté scientifique sur les vaccins?

Docteur Palevsky: «La plupart de mes collègues vous diront qu’ils s’instruisent auprès de l’American Academy of Pediatrics, de l’ AMA, du CDC et leurs journaux.

Mais je défie mes collègues de vérifier par eux-mêmes les études pour vérifier l’échantillonnage.

Qu’en est-il des adjuvants?

Y a-t-il une différence entre l'exposition à un virus, une bactérie, un métal lourd ou la toxine dans l'air, l'alimentation, vos intestins et votre peau, comparé à une injection dans le corps?

Savons-nous vraiment ce qui arrive aux adjuvants une fois injectés dans un corps d’enfant? Est-ce qu'un anticorps est suffisant pour protéger un enfant contre la maladie?

De plus en plus d’études montrent que:

- les études appropriées n'ont pas été faites;
- les anticorps ne sont pas la seule cure contre la maladie;
- qu'il y ait une différence entre comment les enfants assimilent ce qui entre par l'air et l'alimentation et ce qui entre par injection;

- il y a des particules dans les vaccins qui s'accumulent dans votre corps et qui causent des dommages dans votre système immunitaire;
- il y a des particules dans les vaccins qui entrent dans votre cerveau, et;
- Il y a les particules d'ADN étrangères qui entrent dans votre corps.

Pour beaucoup de professionnels de la santé c'est un choc de découvrir qu'il y a un tel manque d'information sur la sécurité et l'efficacité et un degré montant d'information qui lève en réalité des soupçons sur la sécurité et l'efficacité des vaccins et si vraiment ils ont été correctement étudiés

Nous avons actuellement une politique unilatérale qui empêche un débat honnête. La science est un domaine où vous posez une question, vous trouvez une réponse et vous n'avez pas d'idées préconçues ou d'influence qui changent la réponse ou la conclusion. Ce n'est pas le cas avec les vaccins.

J'ai récemment reçu la récompense visionnaire Visionary Award Visionnaire à la conférence du National Vaccine Information Center (NVIC) à Washington. Dans mon discours d'acceptation, je me tombé en larmes quand j'ai dit à l'auditoire comment je me suis senti quand je me suis rendu compte qu'en vaccinant par habitude des milliers d'enfants innocents à ma clinique, j'avais probablement fait beaucoup de tort à plusieurs d'entre eux. C'était très difficile à accepter intellectuellement et émotionnellement.

Comment un médecin qualifié accepte-t-il que les vaccins peuvent causer du tort

Le docteur Palevsky a commencé son enquête sérieusement il y a environ 10 ans parce que les parents se plaignaient et s’inquiétaient de ce qui était arrivé à leurs enfants après la vaccination.

Ce qui est intéressant, c'est que c’est de même que j’ai appris sur le vaccin - par l’inquiétude d'une mère très patiente dont je suis le médecin. Elle a patiemment persisté à me renseigner et, Dieu merci, j'ai écouté!

Tragiquement, la plupart des docteurs sont trop arrogants pour même considérer la possibilité qu'il que quelque chose ne tourne pas rond avec les vaccins.

La plupart des pédiatres sont endoctrinés à simplement dire aux parents que tout effet secondaire suite à un vaccin soit une simple coïncidence. Mais comment se fait-il qu'il y ait tant de coïncidences?

Palevsky: «C'est déchirant, parce que je vois beaucoup de ces gosses qui étaient se développaient normalement, qui réussissait, qui parlaient, qui ont perdu la voix et la vue, qui ont eu des crises cardiaques, qui sont devenus asthmatiques et allergiques. Ils n'ont nulle part dû aller parce que des docteurs leur ont dit qu'ils ne savent pas de quoi ils parlent. Ces gosses existent pour vrai.

La bibliographie montre qu'il y a des changements du système immunitaire des enfants qui sont vaccinés, particulièrement si nous les vaccinons avant l'âge d’un an ou même agé d’un jour.

La bibliographie existe. C'est de la bonne documentatio scientifique et elle montre que de plus en plus de ces gosses qui souffrent de maladies chroniques sont victimes des dommages causés à leur système immunitaire.

Si les vaccins causent ou contribuent, la bibliographie montre que les vaccins jouent un rôle dans l’affaissement du système immunitaire des enfants.

… Quand je regarde les études que l'académie américaine de pédiatrie, la American Academy of Pediatrics, et le CDC sortent, disant qu'il n'y a aucune corrélation entre la vaccination et l'autisme et l'asthme, je dois dire que les études ne sont pas selon les standards scientifiques.

Vous ne pouvez pas avoir un échantillonnage de 25 enfants dans une étude et annoncer ensuite que cela prouve qu'aucun enfant ne devient autistique à cause des vaccins. C'est ce que les médias font: ils prennent ces conclusions et les publient à la une dans les journaux en disant: «Les vaccins ne causent pas l'autisme.»

Quand vous regardez vraiment les études - et il n'y a pas de groupe témoin approprié et il y a seulement 25 personnes - vous ne pouvez pas extrapoler à la population en général parce que vous avez étudié 25 enfants



Le plan de NVIC pour la recherche d’un nouveau vaccin sécurité

Le National National Vaccine Information Center (NVIC) a ramassé 100 000 $ jusqu’à présent dans sa campagne de levé de fonds pour permettre à des chercheurs indépendants de de faire de la recherche sur un vaccin sécuritaire.

Une étude publiée dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology en avril 2005 a étudié les résultats sur la santé des enfants qui sont entièrement vaccinés, partiellement vaccinés et pas vaccinés du tout.

Tous les investigateurs ont demandé aux parents de faire rapport sur les maladies atopiques. Une maladie atopique signifie des allergies, l'asthme, l'eczéma et le rhume des foins. Les chercheurs ont été aveuglés, signifiant qu’ils ne savaient pas à quelle catégorie les participants appartenaient.

Quand ils ont évalué les données, ils ont constaté que le plus grand nombre des enfants avec une maladie atopique étaient les enfants complètement vaccinés, ensuite ceux partiellement vaccinées, et en dernier les les enfants non vaccinés…

Les investigateurs ont fait une analyse statistique pour voir si les données étaient basées sur la chance ou sur des différences réelles statistiques et ont constaté qu’il y avait des différences statistiquement significatives entre ces groupes. Ils ne pouvaient pas comprendre comment c'était possible, parce que le consensus généralement admis consiste en ce que les vaccins sont complètement sûrs et complètement efficaces.

Basé sur cette découverte initiale, nous devons clairement faire des études complémentaires pour demander la même question à maintes reprises; répétez cette sorte d'enquête avec des populations différentes à travers les parties différentes du pays, déterrer la vérité!

Palevsky: «Certainement, la question a été soulevée à propos des intérêts spéciaux, de l'argent, des politiques, des profits que font les fabricants de vaccin, des docteurs qui prennent des décisions sur des vaccins et combien d'argent ils veulent faire. Mais nous avons besoin de la science et pas de cette théorie de la conspiration...

C’est avec la science qui fait présentement défaut que nous comprendrons qu’il faille faire plus.

Nous n'avons pas fait assez
Est-ce que certains vaccins sont plus sûrs que d'autres?

La réponse du docteur Palevsky en éteonnera plus d’un:

«… Dans ma recherche sur les vaccins et de la microbiologie et de la virologie élémentaires que nous avons apprises, je ne peux pas comprendre comment un vaccin avec un virus peut être sûr
Que la plupart des personnes ne savent pas est qu'un virus n'est pas vivant, en soi.

C'est simplement une partie d'A.R.N. ou bien d'ADN. Et de soi, un virus ne peut faire rien.

De plus il est si minuscule que l'on peut seulement le voir avec un microscope électronique. C'est beaucoup plus petit que des bactéries, que l'on peut seulement voir avec un microscope régulier. Donc les virus ne peuvent pas être isolés quand vous faites un vaccin viral. Tout ce qui peut être isolé est le tissu, si c'est le tissu humain ou le tissu animal que l'on croit avoir été infecté par ce virus spécifique que vous essayez d'isoler.

Ainsi quand une culture virale ou un ensemble de cultures sont faites incluant le virus spécifique, vous allez avoir l'ADN des gens ou les animaux qui ont été déjà infectés. Ces cellules sont alors prises et cultivé sur des cellules animales, si ce sont des cellules de rein de singe ou des cellules d'embryon de poulet.

Quand mélangées ensemble, ces cellules épisseront et se recombineront, ce qui signifie que l'ADN des cellules animales va se mélanger avec l'ADN des cellules connues infectées avec le virus.

Alors, par définition, un vaccin viral contient un animal étranger et, même probablement, de l'ADN étranger humain. C'est pourquoi si vous avez une allergie aux oeufs, vous ne devez pas recevoir certains vaccins parce que l'on sait qu'il va y avoir de la protéine d'oeuf dans le vaccin.

Donc la question est, jusqu’à quel point est-il sécuritaire de se faire injecter un produit viral qui est incorporé dans l'ADN de cellules d'ADN étrangères?

Quelles études ont été faites pour en réalité évaluer si l'ADN étranger entre dans votre corps, s'il reste dans votre ADN, s'il entre dans votre cerveau, et s'il y a les virus étrangers d’animaux qui sont en soi présent dans l'ADN animal tout d'abord?

Les dangers des adjuvants

Les adjuvants sont employés dans les vaccins pour créer une réponse immunologique suffisamment forte. Les adjuvants augmentent votre réponse immunologique.

Mais il y a la preuve claire que les adjuvants, comme l'aluminium et le squalène détériorent votre système immunitaire.

Ainsi tandis que vous pouvez recevoir les anticorps désirables, vous faites tort en même temps à votre système immunitaire. En particulier pour les enfants, cela peut les faire développer une maladie chronique.

Insister pour un consentement informé

Ainsi, il ne faudrait jamais se faire vacciner?

Palevsky: «C'est une décision qui doit être la décision des parents. Je suis vraiment un partisan du consentement informé et je suis vraiment un ami des familles qui ont fait leurs devoirs et qui ont été capables de faire le choix.

Quel est le risque possible de maladie? Qu’arrive-t-il si votre enfant attrape une de ces maladies?

Que savez-vous des risques des vaccins sur la santé quand les enfants sont vaccinés contre plusierus maladies?

Et quand on montre les deux côtés de la médaille aux parents, c’est à eux de faire ce choix informé.

Ce n'est pas à moi de faire le choix du vaccin à recevoir parce que chaque parent doit faire un choix informé basé sur sa compréhension de comment les maladies arrivent ou pas, de la science disponible et s'ils sont à l’aise avec ce qu’ils savent et ne savent pas.
»
En ce qui concerne le vaccin de grippe porcine?

Pour me faire l’écho des opinions de beaucoup d'autres professionnels de la santé, m'incluant, l'inquiétude du docteur Palevsky est qu'il n'y a pas eu suffisamment d’études scientifiques pour en réalité être capable de dire que les vaccins sont sûrs, ou même efficaces.

Palevsky: «Si vous lisez l'emballage du vaccin de la grippe porcine, il est écrit spécifiquement que le vaccin de la grippe porcine ou de la grippe H1N1 a été fabriqués dans le même processus industriel que le vaccin de la grippe. Donc puisque nous croyons que le vaccin de la grippe a été suffisamment évalué pour être sûr, nous pouvons alors conclure que le vaccin H1N1 est sûr.

Mais le public doit savoir que bien que nos autorités nous assurent que le vaccin H1N1 est sûr, les études appropriées n'ont pas été faites.

… Et il est injuste de dire aux parents ou au public que si vous attrapez une maladie pseudo-grippale, cela doit être le H1N1. Dans les études qui ont été faites, les gens qui avaient la grippe et s’essuyaient le nez étaient considérés des victimes de la grippe H1N1.

Ce qui manque dans ces données est une population des gens sains qui n'ont pas eu de symptômes de grippe - pour en réalité voir si leurs nez portaient la H1N1 - parce que si quelqu'un en dans le nez le virus H1N1, cela ne signifie pas que la H1N1 cause la maladie.

Vous devez vraiment prendre un groupe témoin approprié pour voir si les gens sont atteints du virus même quand ils ne sont pas malades.

Donc nous n'avons pas que de données; nous ne savons pas vraiment. Je ne pense pas que nous pouvions dire avec certitude scientifique que les gens qui tombent malades de la grippe et qui sont diagnostiqués avec la H1N1 ont en réalité la H1N1 pour coupable.»


D'autres façons de vous protéger de la grippe

La bibliographie prouve de nouveau que l'hygiène, le sommeil, le régime, les suppléments comme la vitamine D (pour d’abord maintenir un niveau acceptable en vitamine D) et peut-être la vitamine C, peuvent en réalité vous empêcher d'attraper la grippe.

D,aucuns prétendent que les vaccinés protègent les non vaccinés contre le virus de la grippe - en essence, récoltant l'avantage de la protection qu'ils se refusent, en mettant en même temps les autres en danger.

Mais comment cela peut-il être logique?

Palevsky: «Comment se faure vacciner contre le virus de la grippe vous empêche de porter le virus de la grippe dans vos passages nasaux?»
Et pourtant, c'est ce que beaucoup croient.

Le ballon d'immunité de groupe éclaté!

Un des arguments primaires qui sont employés pour justifier ce fol comportement est l'immunité de groupe.

Le fait est que cette vaccination ne vous empêche pas de porter des bactéries ou des virus dans le nez, dans la gorge, dans les intestins, dans les voies respiratoires, sur la peau, ou dans le corps.

D'autres ne comprennent pas la signification de ce fait et sont portés à croire que si vous êtes vaccinés, vous ne portez pas de virus et donc, d'aucuns seront protégés parce que vous êtes vaccinés.

Comme telle, cette croyance n'est pas fondée sur les faits scientifiques.

Palevsky: «Ce concept entier d'immunité de groupe est très intéressant, parce que l'on nous a appris que l'immunité de groupe arrive parce qu'un certain pourcentage d'une population se fait donner une maladie active. Donc un certain pourcentage qui se fait injecter la maladie active protège ceux qui ne n'ont pas
encore attraper la maladie.

Et donc le groupe qui attrape la maladie, répand la maladie et protège ceux qui ne l'ont pas attrapée.

Dans la science du vaccin, nous extrapolons ou concluons que si nous vaccinons un certain pourcentage des gens, nous protégeons ceux qui n'ont pas été vaccinés. Et on ne l'a pas démontré, parce que la vraie immunité de groupe dans la théorie est fondée sur une MALADIE ACTIVE et nous savons que malgré ce que l'on nous apprend, la vaccination n'imite pas la maladie naturelle.

Donc nous ne pouvons pas employer le même modèle d'immunité de groupe dans une maladie naturelle dans la politique de vaccination. Mais malheureusement, nous l'employons bien qu'il ne puisse pas être employé parce qu'il n'a pas de base scientifique.

Ce qui est le plus intéressant pour moi, c’est que le concept entier d'immunité de groupe ne reconnaît pas qu'il y ait un cycle propre de vie des virus et des bactéries et ce qui les déclanche et les arrête peut avoir aucun rapport avec le pourcentage des gens qui ont été infectés.

Regardez l’épidémie du syndrome respiratoire aigu sévère(SRAS). Ce virus que l'on devions tant craindre n'a pas infecté 70 ou 80 pour cent de la population, ce qui aurait immunisé les 20 ou 30 pour cent qui n'ont pas attrapé la maladie.

C'est parce que le virus lui-même avait un cycle propre de vie. Et donc il est venu et parti sans qu’un pourcentage de la population soit protégée. Il n'y avait pas d'immunité de groupe et encore le virus s'est éteint tout seul.

Nous ne reconnaissons pas que les virus ont un cycle de vie et qu'ils sont en interaction avec nous et d'autres organismes. Quelque chose les active et quelque chose les arrête en réalité et cela est sans rapport avec le pourcentage des gens qui auraient la maladie ou qui aurait été vacciné.

… Il est absurde de penser qu'un enfant qui est vacciné ne porte plus les bactéries ou les virus contre lesquels ils ont été vaccinés. Si, en fait, les enfants sont vaccinés, donc pourquoi les parents et les autorités de la santé publique ont-ils peur que les enfants non vaccinés portent d'une façon ou d'une autre quelque chose que leurs enfants n’ont pas, quand ils devraient se sentir à l’aise que leurs enfants soient vaccinés?

Vous ne pouvez pas avoir tout à la fois.

Vous ne pouvez pas vacciner en croyant que vos enfants sont protégés et craindre ensuite que vos enfants ne sont pas protégés parce que d'une façon ou d'une autre, qu’un enfant non vacciné porte quelque organisme secret que ne porte pas une autre personne.

C’est illogique.
»

La différence entre l’immunité naturelle et l’immunité du vaccin

Il importe de comprendre que la maladie naturelle a une plus grande influence sur votre santé, selon le docteur Palevsky:

«À la faculté de médecine, les mentors que j'avais ont vu des enfants dans leurs pratiques dans les années 40, les années 50 et 80 ayant ces maladies soi-disant grippales qui ont été correctement soignés avec du repos, des liquides et des
suppléments appropriés.

Ces gosses avaient des poussées de croissance liées au développement après leur guérison.

Il y a quelque chose à dire de ces maladies virales qui communiquent une certaine augmentation du système immunitaire de vos enfants. Et si nous ne les laissons pas avoir ces maladies, que faisons-nous à leur système immunitaire? Ne nuisons-nous pas à leur santé?
»

Vous devez comprendre qu'il y a une différence significative entre l'immunité naturelle et l'immunité de vaccination.

Quand les enfants naissent, ils développent une immunité naturelle aux centaines, milliers, millions et même trillions de microorganismes qu'ils inspirent, mangent et entre en contact avec la peau. Leur système immunitaire sur les parois de leur système respiratoire, intestin et sur la peau les protègent activement du monde extérieur.

Ces systèmes immunitaires qui sont intrinsèquement et spécifiquement placés sur les parois sont très importants pour créer la mémoire et la protection contre les organismes qu'ils continuent à respirer, manger et toucher.

Cette réponse du système immunitaire a alors un effet de domino en créant d'autres mémoires et réponses immunisées qui protègent le corps.

C'est une étape très important dans le développement du système immunitaire des enfants. Dès parois, le système immunitaire reçoit l'information, transmet des signaux à toutes les autres parties du système immunitaire et crée une réponse immunitaire, une mémoire et des anticorps.

D'autre part, quand vous injectez des matières dans le corps, vous contournez la première étape cruciale appelée la ligne primaire de défense.

Avec la vaccination vous créez juste un anticorps. Cela ne communique pas l'immunité à long terme parce qu'il ne crée pas la sorte de mémoire que quand vous respirez, le mangez, ou êtes exposés par la peau et passez ensuite le cours de la maladie naturelle.

Certaines personnes soutiendront que c'est pourquoi nous avons des vaccins de vaporisateur nasaux.

Cependant, de nouveau, vous supposez ne oas avoir déjà été exposé au virus à quelque point et aussi que l'exposition mène automatiquement à l'infection.

L'exposition ne mène pas nécessairement à l'infection. Cela dépend beaucoup de l’état de votre système immunitaire.

Les dangers des vaccins se combinant

Une question qui est fréquemment ignorée est le mal potentiel de la synergie des combinaisons de vaccins, qui n'ont jamais été étudiés.

Personne ne sait s'il y a de l'interaction entre les bactéries et les virus dans les vaccins administrés comme partie du programme de vaccination de l'enfance, ou s'il y a de l'interaction dans le thimérosal - benzoate de sodium employé comme antiseptique sous forme de solutions, émulsions, pommades, crèmes, ovules, collyres - (qui est toujours présent dans certaines des fioles de certains vaccins), ou la grande quantité d'aluminium qui est dans beaucoup d'entre eux.

Palevsky: «Il y a un scientifique nommé Boyd Haley, qui a examiné certains des ingrédients de vaccin et (1) ce qui arrive aux cellules nerveuses quand vous les injectez en laboratoire aux ingrédients de vaccin spécifiques et (2) ce qui arrive aux cellules nerveuses quand vous continuez à ajouter un autre ingrédient
de vaccin.

Il a spécifiquement montré qu'en présence de thimerosal, il y
a beaucoup de dégâts aux cellules nerveuses. Quand vous ajoutez l'aluminium au thimérosal, vous avez besoin de moins de thimérosa pour créer des dégâts aux cellules nerveuses et immunitaires en présence d'aluminium.

Alors quand vous ajoutez de la néomycine - un antibiotique aminoside isolé des cultures de Streptomyces fradiae Waksman, administré par voie buccale comme antiseptique
intestinal ou en applications locales - un antibiotique dans certains des vaccins - cela augmente la puissance de dégradation des cellules nerveuses avec l’aluminium et le mercure ensemble.

Et quand vous cultivez les cellules nerveuses et la testostérone, versus l’œstrogène, et vous les exposez à certains des ingrédients de vaccin comme le thimérosal, vous voyez en réalité que les cellules nerveuses qui sont exposées à la testostérone sont plus endommagées dans des quantités plus grandes que les cellules nerveuses qui sont baignées dans l’estrogène.

Cela inquiète parce que nous voyons que les enfants avec des désordres neurodéveloppementaux sont de quatre fois plus élevés chez les garçons que chez les filles.

Donc vous devez demandez si la testostérone rend en réalité les enfants plus vulnérables à l'exposition aux toxines comme le mercure, l'aluminium ou leur combinaison?

Aucune de ces études n'a été faite chez les humains. Les gens disent: «Nous ne pouvons pas faire ces études.» Et je dis: «Pourquoi pas?» Ils disent: «C'est contraire à la morale.»

Je dis: «Bien, s'il est contraire à la morale de faire ces études sur des ingrédients de vaccin et entre eux, alors il est contraire à la morale de donner les vaccins en général.»

Donc nous manquons beaucoup de données importantes que nous ne croirons pas et nous manquons aussi beaucoup de données importantes que nous n’accumulerons pas parce que la plupart des études qui sont faites le sont par les fabricants des vaccins eux-mêmes
Docteur Lawrence B. Palevsky, docteur en médecine, Fellow of the American Academy of Pediatrics (F.A.A.P.)

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