Libellés

Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

mardi, octobre 07, 2008


KARL MARX
chevelu-barbu typique de la secte satanique de Johanna Southcott

Marx (Karl), philosophe socialiste allemand, né à Trèves, mort à Londres (1818-1883); auteur d'un ouvrage remarquable, le Capital, et fondateur de l’Internationale. Le marxisme, appliquant à la science des faits la logique hégélienne, donne de l'histoire une explication matérialiste, et, avec la lutte des classes comme moyen, propose l'établissement du collectivisme comme terme fatal et nécessaire de l'évolution des sociétés.

hégélianisme Doctrine de Hegel.
- La philosophie de Hegel a été appelée «Idéalisme absolu» parce que, dans ce système, l'absolu est l'idée, la pensée pure (avant toute chose pensée), l'abstraction logique. Cet absolu n'est pas immuable. Il est d'abord pensée pure et immatérielle; il est ensuite existence extérieure à la pure pensée; c'est la nature. La pensée revient ensuite à elle-même, prend conscience d'elle-même et devient esprit pensant. Tout ce qui est est rationnel, car il est une manifestation de la logique absolue de l'Idée. L'histoire est le développement de l'idée dans le temps. La force qui triomphe est le symbole du droit, car elle est l'idée, le rationnel manifestés. La force crée donc le droit. Telles sont les doctrines essentielles de l'hégélianisme. Ajoutons que la marche de la pensée (qui reproduit le développement de l'être absolu) procède, chez Hegel, par trois étapes: la thèse, l'antithèse et la synthèse, qui réunit les deux premières (par exemple, l'idée, la nature, l'esprit pensant).
idéal Qui n'existe que dans l'idée: personnage idéal. Qui possède la suprême perfection: beauté idéale. Nom masculin. Perfection suprême ou typique qui n'existe que dans l'imagination: l'artiste doit viser à l'idéal. Ensemble des intérêts moraux, intellectuels, qui s'opposent souvent à ceux de la vie matérielle: vivre pour l'idéal. Modèle: cet homme est l'idéal des fonctionnaires. PI. des idéals (langage courant) ou idéaux (philosophie et mathématiques).

idéalisme Doctrine philosophique qui nie la réalité individuelle des choses distinctes du «moi» et n'en admet que l'idée: l'idéalisme kantien. Poursuite de l'idéal dans les œuvres d'art: l'idéalisme s’oppose au réalisme.

- L'idéalisme est la théorie philosophique qui nie l'existence du monde extérieur. Les premiers idéalistes appartiennent à l'école d'E1ée (Xénophane, Parménide, Zénon). Descartes peut être considéré comme le fondateur de l'idéalisme moderne. Après Descartes, l'idéalisme suit deux directions: l'une empirique, l'autre rationaliste. L'idéalisme empirique (qui critique la perception externe) est représenté par Berkeley. Hume, Stuart Mill; l'idéalisme rationaliste (qui critique la raison), par Kant et ses successeurs, Fichte, SchellLng, Hegel. Les théories idéalistes peuvent être encore réparties en idéalism6 subjectif (Berkeley, Fichte), suivant lequel c'est le moi qui engendre le non-moi; idéalisme critique ou transcendantal (Kant). Qui admet l'existence des choses en soi ou noumènes, mais restreint notre connaissance aux phénomènes; idéalisme objectif ou absolu (Hegel). Qui attribue aux choses comme explication et comme origine l'idée pure, en dehors de laquelle rien n'existe.
------------------------------------------------------------------

En étudiant bien les termes, il est clair que cette philosophie est l’invention du cercle vicieux et du pelletage de nuage. Ce qu’ils appellent des faits ne sont que le fruit de l’imagination.

Je peux inventer une objet, faire un pogramme pour un ordinateur, etc. Ce n’est pas ce que professent ces gens. Une invention quelconque ne nie pas la réalité; elle met ensemble différents éléments qui auront une fonction, une apparence dans le vraie vie.

C’est que ces soi-disant scientifiques affirment par exemple, qu’il suffit de changer une loi, par exemple stipuler que le bébé dans le ventre de sa mère n’est pas une personne - ils disent pas une personne, pas un être humain - et de droit, le bébé n’est pas une personne et n’a aucun droit. C'est cela l'umanisme! C’est la même chose pour le mariage homosexuel. Pierre Trudeau disait que ce n’était pas un homme et une femme, mais deux personnes adultes, peu importe le sexe, qui sont en amour et qui par conséquent ont le droit de se marier. Stéphane Gendron, le pape innocent III de TQS, dit que c’est une question de droit. Peu importe que ce soit contre-nature, c’est le droit qui prime sur le bien général et la loi naturelle. Les conséquences sont terribles pour la société.

Fait à noter, après l’adoption des unions civiles pour légaliser le soi-disant mariage homosexuel, Gendront disait que le monde ne s’était pas effondré. Innocent III, avec innocent II et innocent III, oublient que les conséquences surviennent avec les ans. Ils résonnent comme des tambours.

Pour croire à cette théorie et y adhérer, il faut croire qu’un tremblement de terre qui cause un raz de marée se produit d’abord dans la pensée, que la vague va traverser les océans à vitesse grand V (instantanément), que le tremblement et l’inondation arrivent au même moment. Dans le cas contraire, i.e. que la vague meurtrière ne va frapper qu’un certain temps après le tremblement, ce n’est pas réel. Les trois papes innocents, la fédération des folles du Québec, les partis politiques de la gaugauche humaniste et leurs amis vont alors parler de rat de marée et non de raz de marée, et blêmer le Pape.
----------------------------------------------------------------------------------


*


À l'époque où il écrit cela, Marx, génie précoce, n'a pas vingt ans. Il a déjà fait le programme de sa vie. Pas un mot sur le service de l'humanité, le prolétariat ni le socialisme. Il veut mener le monde à sa perte. Il veut se bâtir un trône «qui aura pour rempart le frisson des hommes».

De ce temps-là également datent certains passages à mots couverts de la correspondance échangée entre Karl Marx et son père. Le fils écrit: «Le rideau est tombé. Mon Saint des Saints s'est déchiré et il a fallu installer de nouveaux dieux.» Ces lignes du 10 novembre 1837 sont d'un jeune homme qui, jusque-là, avait fait profession de christianisme. Il avait déclaré précédemment que le Christ était dans son cœur. Il n'en est plus ainsi désormais. Qui sont «les nouveaux dieux» installés à sa place? Son père lui répond:
Je me suis abstenu d'insister pour avoir une explication sur une question très mystérieuse, bien qu'elle me paraisse fort douteuse.
Quelle était cette question mystérieuse? Aucun des biographes de Marx n'a encoredonné l'interprétation de ces mots étranges.

Werner Blumeberg, dans son livre Portrait de Marx, cite une lettre du père de Marx à son fils. Elle est datée du 2 mars 1837:
Ton avancement, l'espoir de voir un jour ton nom hautement réputé et ton bien-être en ce monde ne sont pas les seuls désirs de mon cœur. Ce sont là, il est vrai, des rêves longtemps caressés; je puis cependant t'assurer que leur réalisation ne m'aurait pas rendu heureux. Mais si ton cœur demeure pur, s'il bat avec humanité et si nul démon ne réussit à le priver de ses sentiments les plus nobles, alors seulement je serai parfaitement heureux.
Qu'est-ce qui a soudain poussé le père à exprimer sa crainte d'une influence démoniaque sur son jeune fils bon chrétien jusque-là? Était-ce les pièces de vers qu'il avait reçus de lui comme cadeau d'anniversaire pour ses cinquante-cinq ans?

Voici une autre citation où Marx, dans son poème Sur Hegel, révèle lui-même sa pensée, inspirée de Hegel:«
J'enseigne des mots enchevêtrés dans un embrouillamini diabolique, ainsi chacun peut croire vrai ce qu'il choisit de penser.
Ailleurs, dans le poème La vierge pâle, il avoue:
Ainsi j'ai perdu le ciel,
Je le sais très bien.
Mon âme naguère fidèle à Dieu
A été marquée pour l'enfer.
Cela se passe de commentaire.

Au début, Marx avait des ambitions d'artiste. Mais ses poèmes et drames, dépourvus de valeur littéraire, ne connurent aucun succès; ils sont cependant utiles pour nous dévoiler l'état de son cœur.

L'échec en peinture et en architecture nous a donné un Hitler. L'échec dans le genre dramatique, un Goebbels. L'échec en philosophie et en peinture nous a valu respectivement deux autres criminels de guerre, Rosenberg et Streicher. Quant à Marx, obligé de renoncer à la poésie, il entre au nom de Satan dans une carrière révolutionnaire contre une société qui n'avait pas su apprécier ses œuvres. Evidemment il ne s'agit là que d'un motif - entre autres - de sa révolte absolue. Une autre cause: il était méprisé en tant que juif.

Deux ans plus tard le jeune Marx écrit La différence entre la philosophie de la nature chez Démocrite et chez Épicure où il fait sienne, dans la préface, la déclaration d'Eschyle: «Je nourris de la haine pour tous les dieux.» Il atténue quelque peu cette affirmation en disant qu'il est contre tous les dieux sur terre et dans le ciel qui ne reconnaissent pas comme déité suprême la conscience de l'homme.

Marx était l'ennemi déclaré de tous les dieux - lui qui avait acheté son épée au Prince des ténèbres. Il s'était fixé comme but d'entraîner l'humanité tout entière dans l'abîme de perdition et de l'y rejoindre en ricanant.

Marx a-t-il réellement acheté son épée à Satan?

Dans un livre intitulé The moor and the general. Remembrances about Marx and Engels, (Editions Dietz, Berlin 1964) sa fille Eleanor nous dit que lorsqu'elles étaient petites, elle et ses sœurs, leur père se plaisait à leur raconter des histoires. Il y en avait une surtout qu'elle aimait entre toutes; il y était question d'un certain Hans Röckle. Mais laissons-lui la parole:
Le récit en durait des mois et des mois car c'était une histoire
très longue et qui n'en finissait plus. Hans Röckle était un sorcier... il avait un magasin de jouets... et beaucoup de dettes!... Malgré sa qualité de sorcier, sa caisse était toujours vide, aussi fut-il contraint de vendre au diable, pièce par pièce, toutes ces jolies choses qui lui appartenaient... Plusieurs de ces aventures étaient terrifiantes et nous faisaient dresser les cheveux sur la tête.
Est-ce normal qu'un père de famille parle ainsi à des jeunes enfants de choses horribles ayant trait à la vente au démon de ce qu'ils ont de plus cher? Robert Payne dans Marx (Simon and Schuster, New-York, 1968) fait allusion à cela avec abondance de détails ressemblant à ceux fournis par Eleanor. Il insiste sur le fait que Röckle, le magicien, était très malheureux et que c'est bien à contrecœur qu'il finissait par consentir à céder ses jouets, cherchant jusqu'au dernier moment à les retenir. Mais son pacte avec le diable était signé et il n'y avait donc pas moyen d'y échapper.

L'auteur ajoute:
Ces histoires interminables étaient, selon toute probabilité, une autobiographie... Marx avait la vision du monde propre à Satan; il en avait aussi la malignité. D'ailleurs il semble bien parfois être conscient de faire l'œuvre du Mal.
Quand il terminait Oulanem et les autres écrits de jeunesse où il avoue avoir fait alliance avec le diable, Marx ne pensait pas du tout au socialisme. Il l'avait même combattu. Il était rédacteur d'une revue allemande, Rheinische Zeitung,
qui n'accorde même pas de valeur théorique aux idées communistes sous leur forme actuelle et qui souhaite encore moins leur réalisation pratique, la trouvant, de toutes façons, impossible... Des tentatives de la part des masses en vue de promouvoir ces idées communistes sont à accueillir par une canonnade dès qu'elles deviennent un danger...
Parvenu à ce stade, Marx rencontre Moses Hess, l'homme qui jouera dans sa vie le rôle le plus important, celui qui lui a fait embrasser l'idée socialiste. Mais ce n'est pas ce que dit Hess à son sujet:
Docteur Marx - mon idole - qui donnera le coup de pied fatal à la religion et à la politique du Moyen Age.
«Donner un coup de pied à la religion» est donc bien son but principal. Un autre ami de Marx à cette époque, Georges Jung, écrit d'une manière encore plus claire en 1841:
Marx va sûrement chasser Dieu de son ciel et il fera lui-même son procès. Il prétend que la religion chrétienne est l'une des plus immorales (Conversations avec Marx et Engels. Insel éditeur, Allemagne, 1973).
Rien d'étonnant puisque Marx croyait que les premiers chrétiens avaient même égorgé des hommes et mangé leur chair.

Telles étaient donc les prévisions de ceux qui avaient initié Marx aux arcanes du satanisme. Il est absolument faux, par conséquent, qu'il nourrissait le grand idéal social d'aider l'humanité et que, la religion étant à ses yeux un obstacle à la réalisation de cet idéal, il avait adopté pour cela une attitude anti-religieuse. C'est tout le contraire. Marx haissait tous les dieux sans exception et jusqu'à la notion même de dieu. Il s'était porté volontaire pour «chasser Dieu à coups de pied.» Le socialisme ne constitue pour lui qu'un appât pour attirer prolétaires et intellectuels à cet idéal diabolique. Lorsque les Soviets, au début, prirent comme slogan: «Chassons les capitalistes de la terre et Dieu du ciel», ils étaient simplement fidèles à l'héritage reçu de Marx.

Archives du blogue