Question à TQS

fœticide [fé-ti-sid'] n. m. Action de tuer le produit de la conception dans la matrice. Mot usité surtout en médecine légale.
fœtus [fé-tuss] n. m. (m. lat.). Produit de la conception non encore arrivé à terme, mais ayant déjà les formes de l'espèce. (Quelques-uns écrivent FÉTUS.)
- ENCYCL. La démarcation entre l'état d'embryon et l'état de fœtus ne présente rien d'absolu. C'est généralement vers la fin du troisième mois de la vie intra-utérine que le nom de fœtus est appliqué à l'espèce humaine. A la fin du troisième mois, on distingue le sexe, et les traits du visage sont bien dessinés. Le fœtus est viable à partir de six mois environ, surtout si l'on utilise la couveuse d'enfants après la naissance. A partir de sept mois, la viabilité dans ces conditions est la règle, à moins que le fœtus ne soit malade.

Ce matin, selon la tradition TQS, Richard Desmarais et Guy Fournier se font aller contre la religion catholique et les croyants en général, mais toujours sans donner le microphone à un véritable croyant. Fournier a déjà accusé l’Église catholique d’avoir tuer 40 000 000 millions de personnes. Il n’est pas capable de le prouver, mais cela ne fatigue pas le maçon.

Desmarais, lui, demande pourquoi, si Dieu existait, permettrait-Il les morts d’enfants? Richard a du toupet et je vais lui répondre. Il pourra demander à saint Raymond Gravel l’absolution...

Premièrement, qui sont ces gens en faveur de l’avortement? Vous avez bien deviné; il s’agit de Richard Desmarais et Guy Fournier et la grande famille TQS. Pourquoi ces gens sont-ils en faveur du fœticide et de l’infanticide, sans oublier le meurtre qu’ils appellent affectueusement l’euthanasie? Avant de blâmer Dieu pour les maux causés par la religion humaniste, ils devraient se regarder le nombril.

Au Québec seulement, sur 90 000 naissances annuelles, 30 000 000, soit le tiers, sont des avortements. Pourquoi Desmarais-Fournier inc. non seulement le permettent, mais en font la promotion?

Répondez à cette question, messieurs les grands humanistes!

Avec la religion catholique, les Canadiens français ont grandi et se sont multipliés. Avec la religion humaniste, ils disparaissent et sont remplacés par des immigrants qui gardent leurs valeurs et se rient des Canadiens français, sachant fort bien qu’à chaque jour leur nombre diminue et que ce n’est qu’une question de temps avant de les stationner dans une réserve spécialement aménagée pour eux.